Boniface IV

40.04. M. COURTIAU - M. VOLKMANN (PA) - Mme BARCLAY (Resp. Classes Prépas.) Lycée HELENE BOUCHER 75, cours de Vincennes 75971 Paris Cedex 20 Tél. 01.55.25.65.00. - Fax. 01.43.72.20.44. M. MINNE - Mme LAGARDE (PA) & (Resp. Classes Prépas.) Lycée HENRI IV 23, rue Clovis 75231 Paris Cedex 05 Tél. 01.44.41.21.21. - Fax. 01.43.29.95.21. M. CORRE - M. BONNOT (PA) & (Resp. Classes Prépas.) Lycée HONORE DE BALZAC 118, boulevard Bessières 75849 Paris Cedex 17 Tél. 01.53.11.12.13. - Fax. 01.53.11.12.00. M. TETREL

Philippe V en 1322, n’ayant que des filles c’est son frère Charles IV qui lui succéda sans contestation. Puis à la mort de Louis XII en 1515, nul ne songera à ses filles, et encore à la mort de François II en 1560, la couronne passant à ses frères Charles IX puis Henri III. b. La seconde étape : l’exclusion des parents par les femmes. Les principes de masculinité et de collatéralité se sont affinés plus encore à la mort de Charles IV, qui lui aussi n’avaient que des filles. Trois prétendants se

accéder au trône de France. Ce précédent ne tarda pas à devenir une règle puisque à la mort de Philippe V en 1322, deux filles se présentèrent à la succession, mais ce fut le dernier fils de Philippe le Bel qui succéda à son frère sous le nom de Charles IV. La coutume d’exclusion des femmes se trouve donc définitivement acquise. Dès lors, la dévolution de la couronne n’est plus entièrement calquée sur celle des fiefs. La royauté française est à l’image du titre pontifical et relève désormais d’un monopole

développées. Mais cette unité ne résiste guère et très vite on retrouve des émirats turcs ou arabes. Dans les années qui suivent, les Seldjoukides poursuivent leur progression en Asie Mineure byzantine et, le 19 août 1071, ils battent l'empereur grec Romain IV Diogène à la bataille de Mantzikert. Profitant ensuite des divisions byzantines, ils conquièrent pratiquement toute l'Asie Mineure. Antioche passe sous leur contrôle ; ils rejettent également les Fatimides d'une partie de la Palestine et deviennent

Les doléances Sous l'ancien Régime, on désignait par états généraux les assemblées exceptionnelles convoquées par le roi de France pour traiter d'une crise politique, en général une guerre ou une question diplomatique et décider d'une aide militaire ou fiscale. Véritables assemblées des représentants des peuples du royaume, fondées sur le principe fondamental selon lequel ils ne sont pas des peuples tributaire, mais libres, et qu'aucune contribution ne peut être exigée d'eux sans leur consentement

en 1303. Acte célèbre, plusieurs fois repris et confirmé par ses successeur, il sert de référence durant tout le XIVe siècle et se trouve renouvelé pas moins de 24 fois jusqu'au règne de Charles V. Par la suite, surtout à partir du règne de Charles IV le Bel, des personnages apparaissent ans les textes, qualifiés de « réformateurs », « réformateurs généraux », « commissaires et réformateurs », et plus rarement, « inquisiteurs et réformateurs » (formule qui apparaît en 1323). Investis par la puissance

ouvertement l’élection d’un Roi car le seul héritier à la mort du roi était, selon la loi salique son neveu Henri hérétique (=protestant). Mais ils se terminèrent dans la confusion, ridiculisé par des pamphlets et rendus inutile par l’abjuration de Henri IV le 25 juillet. Les Etats généraux de 1614 sont assez différents de ceux du XVI° siècle. Ils sont convoqué à la suite de révoltes nobiliaires et alors que Louis XIII vient tout juste de proclamer sa majorité ; cependant le roi apparait comme un arbitre

Né en 1866, petit-fils d'instituteur, fils d'un professeur de collège devenu principal, il étudie au lycée Henri-IV où il se fait remarquer par son esprit d'indépendance. Après avoir échoué à deux reprises au concours d'entrée à l'École normale supérieure (1885 et 1886), il passe l'agrégation des lettres à laquelle il est reçu 12e en 1889. Jeune professeur de 23 ans, il débute au lycée de Nice. Sa carrière est fulgurante : lycée de Nice (1889), lycée de Bordeaux (1892), lycée de Poitiers (1893),

Le mouvement de 1314-1315 Forte réaction nobiliaire face à la politique centralisatrice de PIV. * Campagne de Flandres 1314-1315= malgré la fin de la campagne, les agents royaux continuent de percevoir les taxes= absence de fondement. Les nobles sont soutenus par le clergé et par le commun. * Les barons du nord comme ceux du sud font pression sur le roi pour qu’il se débarrasse de ses mauvais conseillers. * 1314 : le roi demande la fin de la levée des taxes : trop tard. Forte réaction

à venir. 4) LA FIN DES CAPETIENS DIRECTS : Louis IX ou St Louis (1226 – 1270), figure parmi les plus grands de nos rois. Il était très pieux, charitable et épris de justice, mais aussi ferme et respecté des autres souverains. Philippe IV le Bel (1285 – 1314) a été le dernier des grands Capétiens. Il a consolidé les limites du royaume, mais après sa mort et celle de ses trois fils, une crise de succession débouchera sur un très long conflit avec l’Angleterre : La Guerre de Cent Ans