Bonjour Paresse

moi, je restais sur mon banc de pierre, encadré par mes deux sacs. Je regardais. C'est merveilleux : partout où il y a des femmes partout où il y a des hommes, partout il y a la vie. J'aurais dû me lever. Leur tendre la main. Leur dire : « Salut. Bonjour ! J'existe. Et vous ? Vous existez ? » Je suis resté assis. Le plus souvent, c'est ainsi que les choses se passent 14       “Il s’en passe des choses dans ma cité”, La Ville des Poètes, Guy Foissy, 1997 La cité natale Heureux qui dans sa ville

quelque part dans la maison sans doute! Jersey, Marine-Terrace, 4 septembre 1852. V Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait et disait: "Bonjour, mon petit père;" Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et

dans la maison sans doute! Jersey, Marine-Terrace, 4 septembre 1852. V Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait et disait: "Bonjour, mon petit père;" Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue

Ex : père, chat, arbre - Le nom commun ne prend pas de lettre majuscule sauf s’il est utilisé en apostrophe. Il prend toujours un déterminant sauf dans certains cas. Ex : Un professeur veut vous parler Bonjour, Professeur Cette femme, mère de cinq enfants, travaille dans la même entreprise que moi. -Le nom propre qui s’applique à une personne, un animal ou une chose bien définie. Il prend toujours la majuscule Ex : Marie, Médor…

d’avance. — Il connaît très bien les défauts et les taches de son livre, s’il n’a pas évité les uns et enlevé les autres, c’est qu’ils sont tellement inhérents à sa nature, qu’il ne saurait exister sans eux, du moins c’est l’excuse qu’il donne à sa paresse. Quant aux utilitaires, utopistes, économistes, saint-simonistes et autres qui lui demanderont à quoi cela rime, — Il répondra : Le premier vers rime avec le second quand la rime n’est pas mauvaise, et ainsi de suite. À quoi cela sert-il ? — Cela

Le romantisme va être naître à travers de quelques artistes qui ont été des élèves de David. Le romantisme est un mouvement intellectuel et artistique européen qui né au milieu du 18eme siècle en réaction au rationalisme des lumières fondé sur le culte de la raison. Cette pensée s’appuie sur des nouvelles idées philosophiques qui insistent sur l’importance de dialogue avec le monde de la sensibilité. Cette pensée va connaitre une accélération avec la révolution qui donne naissance au sentiment d’individualisme

dans le jardin pour fuir les rires de son entourage. Et, elle vit venir un homme très bien vêtu mais laid... Riquet à la houppe, bien sûr. Il avait entendu parler de la beauté de la princesse et il en était tombé naturellement amoureux. -« Bonjour. -Méé bonjour, méé ...  -Vous pleurez ? -Mée... Ils ne font rien que s'moquer de moi ! Ils me traitent d'oie. -Les oies sont belles cette année. -Vous voyez, vous aussi. -Si vous acceptez d'être ma femme, vous deviendrez savante et sage ! -Méé... Je veux

ASTROV. – Raconte-nous donc quelque chose, Ivan Pétrovitch. VOÏNITSKI, mollement. – Que te raconter ? ASTROV. – N’y a-t-il rien de neuf ?VOÏNITSKI. – Rien. Tout est vieux. Je suis le même que j’étais ; peut-être suis-je devenu pire, parce que je paresse, ne fais rien, et que je grogne comme un vieux barbon. Maman, ma vieille pie, parle toujours de l’émancipation des femmes. D’un oeil elle regarde la tombe, et de l’autre elle cherche dans ses livres savants l’aube d’une vie nouvelle. ASTROV. – Et

maison sans doute ! Jersey, Marine-Terrace, 4 septembre 1852. – 19 – V. Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin ; Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère ; Elle entrait et disait : « Bonjour, mon petit père « ; Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s’asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s’en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon œuvre interrompue, et, tout

à faire. Et puis il ressort du compartiment des WC, il regagne ce qu’il croit être sa place. Il s’assoit et il dit : « Tiens, j’ai dû me tromper. Je suis en première. » Guy Montagné : C’est un mec qui arrive chez l’ophtalmologiste. « Bonjour, docteur, bonjour. Voilà, je suis souffrant, j’ai un truc très très bizarre. – Ah bon, et c’est quoi ? Vous souffrez de quoi ? – Attendez, je vais vous montrer. » Il baisse son pantalon. Il fait un énorme caca au milieu du cabinet du médecin, un énorme caca