Bonjour Tristesse

tenable. L'agitation du personnage est accentué par la présence d'un champ lexical de la peine, l'anaphore de « pauvre sot », « écrasé », « le bâtard », « l'âme torturée », «  les yeux en pleurs », « suicide », « fardeau », « la tristesse », « la mélancolie »... La tristesse du personnage est dupé par son amour. Et par dessus ça, Antony se reproche d'avoir été dupé, en d'autre terme il se rend compte de son triste sort, il s'est fait prendre par les illusions, « qui te fiais à son sourire, à sa voix

sentiment de gêne s’est aussitôt emparé de moi sans raison. Une fois, je suis allée « visiter » un ex-copain. Le fait de revoir le parloir sécuritaire m’a refait vivre plusieurs émotions et sentiments… Sentiments de honte, de rage, de colère, de tristesse étaient tous de la partie. C’est bouleversant !!! 4. Éléments (2) qui m’ont surprise, impressionnée ou déçue : J’ai été surprise et impressionnée de voir, dans la salle de conférence, l’armoire contenant tout ce qui a été saisi chez les détenus

d’associer inconsciemment et automatiquement un état interne à un stimulus sensoriel extérieur (image, son, contact odeur…). Notre vie est constituée de succession d’ancrage : voix, situation… nous rapportant invariablement à des états internes (joie, tristesse, motivation, conviction…) lorsque nous établissons ce lien entre stimulus extérieur et état interne, nous créons ce qui se nomme un ancrage en programmation neurolinguistique. Dès que l’ancre est stimulée, nous retrouvons l’état interne associé.

attendre. Je suis en dépression, à cause d'elle. Je suis fou amoureux d'elle, et j'arrive pas à me remettre sur les rails, et le problème c'est que je l'ai rencontrée sur la toile, et elle habite loin donc vous pouvez comprendre ma connerie et ma tristesse là, mais c'est pas tout. Ça remonte à peu près à 10 mois, mes potes se sont cassés en vacances donc moi j'étais seul, puis j'ai rencontré cette fille, que je connaissais déjà un peu avant en fait, et puis j'ai commencé à passer du temps avec elle

personne (forte implication de celui qui parle) - Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) | Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) | Pathétique | - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) | Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. | Polémique | - Marques de

bonne heure Pour moi ça aurait été fatal Parfois un peu tard Je me serais embêté Sans toi mon amour qui m’est si vital La tristesse N’attend pas pour frapper Elle arrive à toute vitesse

douzième porte, jaune, semblait joyeuse et des rayures créaient en elle une forme de sourire. La huitième colorée d’un rouge sanguin attirait ma colère. Toutes ces portes me faisaient ressentir des sentiments, la joie, la peur, la colère ainsi que la tristesse … Il me semblait donc plus judicieux de choisir celle qui me faisait ressentir le meilleur sentiment, suivant mon instinct je choisi celle de départ, la onzième qui ne m’inspirait que du courage.

le plus important car il représente la victoire tant espérée, après l'attente, le stress, le désespoir. Dans ce livre, il y a: de la tendresse ( extrait p.76-77...), de la détresse ( extrait p. 65...), de la joie ( extrait p. 75...), de la tristesse ( extrait p. 11...), de l'espoir ( extrait p. 47-48) … .Je trouve dommage que certains passages que je trouve importants ( le procès … ) soient survolés. Je trouve aussi que la fin est trop triste ( la mort de Mélina: extrait p.85) alors que, dans

les termes suivants selon leur degré puis donner des mots de même famille en précisant leur nature. Colère – rage - irritation - fureur – agacement – courroux – exaspération Trouver trois mots synonymes de tristesse et de désir. 4. Relever les mots qui composent le champ lexical de la tristesse dans cet extrait des confessions de Jean-Jacques Rousseau. Je n'ai pas su comment mon père supporta cette perte, mais je sais qu'il ne s'en consola jamais. Il croyait la revoir en moi, sans pouvoir oublier

d’un quelconque couple durant la guerre. La guerre manifeste un sentiment d’impuissance au poète face à la situation dramatique qu’elle a commise. Le vers 45 « oh Barbara » traduit les sentiments d’impuissances du poète face à la situation, la tristesse et la nostalgie qui resurgisse, puis les sentiments de regrets du passé, du temps d’avant. Et le sentiment de dégoût face à la guerre, de colère du vers 38. Ainsi le poète met un terme aux souvenirs de l’époque, au temps d’avant. Jacques Prévert