Bonne ville

la police est inefficace: a) Les ZUS : Avant tous, définissions le terme de ZUS : Une zone urbaine sensible (ou ZUS) est un territoire infra-urbain défini par les pouvoirs publics français pour être la cible prioritaire de la politique de la ville. Les quartiers sensibles ou quartier ZUS : Les zones urbaines sensibles formalisent la notion de quartier en difficulté . Définies dans la loi de novembre 1996, elles sont caractérisées par la présence de grands ensembles ou de quartiers d'habitat

IMPOSER DES CONTRAINTES Ou peut on construire : constructibilité géo Que peut on : constructibilité fonctionnelle : elle connaît des limites : limites fixées par le code Deux objectifs: + 1ER OBJECTIF : esthétique : police de l’esthétique : ville harmonieuse et remarquable : donc urbanisme = police de l’esthétique → administration a un pouvoir discrétionnaire sur « le beau ». on peut refuser un permis si l’administration considère que ce n’est pas esthétique. On peut interdire ou imposer

développement citoyen de l'enfant prend tout son sens dans cette configuration. Compte tenu de sa proximité avec Genève, plus de la moitié de la population active travaille en Suisse.Ce qui est important de connaitre par rapport au budget de la ville qui découle bien évidement en grande partie des revenus des salariés Suisses. Gaillard appartient aussi à la Communauté d’Agglomération "Annemasse-Les Voiron-Agglomération" regroupant 12 communes. Le centre de loisirs fut jadis un groupement

document 2, la photographie est ici censée être représentative d’une ville du Nord ; Las Vegas, ville des Etats-Unis, première puissance économique mondiale, est tout à fait bien choisie pour mettre en évidence l’extension spatiale des villes du Nord. Sur la photographie on doit mettre en évidence au moins deux éléments : ● Les banlieues qui s’étendent à perte de vue et occupent un très grand espace à la périphérie de la ville ; ces banlieues sont des banlieues pavillonnaires, caractérisées par

l’art au front de mer d’Oran CENTRE DES ARTS sommaire I. Phase introductive II. A. ANALYSE FORMELLE Situation Historique des lieux Composition urbaine Façade urbaine autour du site Introduction générale :retour à la ville Problématique Un support de réflexion. III. B. ANALYSE dynamique PHASE PROJECTION A. PHASE ANALYSE Introduction Les points de repères Analyse séquentielle.  les percées visuelles. Les contraintes et les éléments intéressants

LAGOS NAIROBI LIMA SAO PAULO RIO DE JANEIRO 00 Sommaire / Guide de la mobilité urbaine 04.05 01 Introduction Microcosme urbain 02 Confort Pour rester détendu aux heures de pointe 03 Environnement Pour rouler vert dans les rues de la ville 04 Sécurité Une conduite sûre dans une voiture sûre 06 L’ADN métropolitain 22 Stationnement facile 32 smart intelligent drive 42 La sécurité selon smart 20 L’ADN smart fortwo 24 L’espace à vivre selon smart 34 Moteurs 44 Sécurité passive

dans les « gated communities » en Californie du Sud ● Entre le devoir de préserver et droits d'user, compromis territorial sur la côte mégalopolitaine ● Le redéveloppement urbain de « Mission bay » à San Francisco ● Toronto ou l'émergence d'un ville-monde ● (Thèse: Touristicité idéale: Hawaii, un parcours utopique) Mars 2006: ● Regard rétrospectif sur l'étude des risques en géographie ● Construire l'acceptabilité du risque, une priorité pour les communs? ● La reconquête des anciens

sociologues. Et c’est en nous appuyant sur cette dernière et sur les théories respectives de Simmel et Sennett que nous allons procéder à l’analyse d’une dérive en milieu urbain. LA DERIVE La dérive s’est effectuée en en plein cœur urbain de la ville de Grenoble en choisissant de déambulant tel un flâneur se laissant guider par les sensations qui lui sont soumises. La marche commence à rue d’Agier. Nous flânons en nous laissant guider par les bruits et les ambiances environnantes. Le bruit est

THILL, Jean-Paul LEONIS 10 / 2001 Ce que l’on appelle l’urbanisation prend des proportions gigantesques en Algérie comme dans la majorité des pays du Sud. La ruralisation de la ville confère à l’espace urbain un visage nouveau mêlant modernité et tradition. On oublie souvent ce caractère rural qui est paradoxal pour la ville. Mais il faut savoir que, dans le Sud, celles qui sauvent les villes commes les sociétés, ce sont les femmes. Or, elles sont souvent cantonnées dans la sphère domestique et dans

pour asseoir une action. Elle est dans ce cas instrumentalisée pour la mise en place d’un projet quelconque. Elle peut au contraire être pensée comme véritable objectif politique et sociologique pour instaurer un débat démocratique sur un projet de ville, de développement, une gestion urbaine réellement décentralisée. Gestion ou participation ? Toute tentative d’analyse du contenu de la participation communautaire suppose de pouvoir délimiter les tâches entre sensibilisation, éducation et management