Borbalan

conçoit et tel qu’il se veut (…) ; l’homme n’est rien d’autres que ce qu’il se fait ». Cela signifie que l’homme doit poser certains actes avant de se définir et donc, il rejoint l’idée d’une réalisation de soi par l’action qui est décrit par Ruano-Borbalan comme « du devenir soi-même à travers des activités ». Mais ces activités doivent être choisi personnellement ou être dicté par quelqu’un d’autre ? Une petite leçon d’histoire donné par Bruckner ne nous ferait pas de mal pour comprendre le lien

King". Luc Levaillant montre que dans cette situation le sport est un modèle pour notre société, généré par des athlètes à qui l'on veut ressembler. Dans l'article de presse, intitulé les violences cachées du sport publié en septembre 2004, J-C Ruano-Borbalan montre que le sport en général nécessite des contraintes, des règles, des efforts. Le sport est un espace qui permet de libérer ses émotions, d'apprendre à ce connaitre. Pour devenir un sportif de haut niveau, il ne suffit pas d'avoir des qualités

Aujourd'hui, le sport est présent dans de nombreux domaines et renvoi à une image de sacrifice, de dépassement de soi et d'efforts mais parfois malheureusement de violence et de haine entre les individus. Certains auteurs tels que Jean-claude Ruano-Borbalan nous démontre que l'agressivité est présente partout dans le sport et qu'elle est encouragé notamment à cause des faits de la société actuelle. D'autres comme Georges Perec compare le sport à la guerre et à une souffrance perpétuelle dans le but

souhaitait abolir. Selon Ruano-Borbalan (2002), la définition du pouvoir qui fait référence aujourd’hui est celle de Robert Dahl (1971) qui « dit en substance qu’un individu (seul ou représentant d’une organisation, d’un État,…) exerce un pouvoir sur un autre individu, dans la mesure où il obtient de ce dernier des comportements, des actions, voire des conceptions, que celui-ci n’aurait pas eus sans cette intervention. » (Ruano-Borbalan, 2002, p. 3). Ruano-Borbalan (2002, p. 10) indique que selon

explications sur la culture de cette religion. Elle nous explique qu’est-ce que le voile signifie pour ces femmes, pourquoi est-il une partie intégrale de leur culture. D. Aucune enquête n’a été faite, il s’agit d’un article. A. Jean-Claude Ruano-Borbalan est co-fondateur du magazine Sciences Humaines, directeur de l’université Demos, professeur au Conservatoire National des Arts et Métiers et il a également dirigé plusieurs ouvrages. B. Ses concepts portent sur l’importance de la religion autour

peuplés. Ces deux conditions ne seront remplies qu’avec les grandes découvertes du XVIème siècle qui, pour les historiens et les géographes, marquent le point de départ de la mondialisation. Dans cette perspective, S.Allemand et JC Ruano-Borbalan distinguent plusieurs processus de mondialisation dans l’histoire [1] interrompus par des périodes de stagnation : la première, la mondialisation européenne, la seconde, la mondialisation américaine et enfin, la mondialisation totale de la fin du

bénéficiaire à tous. Sources : * La mondialisation ; Sylvain Allemand,Jean-Claude Ruano-Borbalan * http://ouattara.unblog.fr/la-mondialisation/ * http://www.isesco.org.ma/francais/publications/islamtoday/20/P1.php * http://www.toupie.org/Dictionnaire/Mondialisation.htm * http://www.patwo.com/attac/avantages_et_inconvenients.htm * La mondialisation Par Sylvain Allemand,Jean-Claude Ruano-Borbalan * http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2011/06/30/une-mondialisation-plus-juste_1542750_3232

extension, la globalisation sont complexes. Quant à la légitimité de ces motifs, elle s’avère discutable. Une chose est certaine, c’est que la montée du nationalisme est souvent une réponse à l’homogénéisation du monde. Alors, quant à l’affirmation de Borbalan (1997) à l’effet que la globalisation ne doit pas empêcher les individus et les communautés de choisir leur rapport à la modernité, je suis d’accord. Mais comment cela peut-il se faire tout en maintenant la paix dans le monde ? Par le biais de

Selon J-C RUANO-BORBALAN, l'identité personnelle renverrait au sentiment de son individualité « je suis moi », de sa singularité  « je suis différent des autres, j'ai telle spécificité », et d'une continuité dans l'espace et le temps « je suis toujours la même personne ». L' identité se situe entre la similitude et la différence, entre ce qui fait qu'on est semblable aux autres et que dans un même temps nous sommes un individu singulier et unique. Ainsi, selon J-C RUANO-BORBALAN: « L'identité se

5. * FROMME E. (1978), Avoir ou être ? , Paris, éd. Laffont, « Réponses », pp. 107-108 * DUBAR CL. (2005), la socialisation, Paris, Armand Colin, p.108 * JOURNET N. (2004) “Métissage: confrontation ou mélange”, in HALPERN C. et RUANO-BORBALAN J.-CL. (dir), Identité(s), Paris, Editions Sciences Humaines, p.254 -------------------------------------------- [ 1 ]. Le Grand Robert de la Langue Française (2001), Tome III [ 2 ]. Ibidem [ 3 ]. Le Grand Robert de la Langue Française (2001)