Boue

qu'il a vécu. Pour échapper aux tourbillons, les bras se raidissent et les doigts veulent désespérément agripper le vide. Dans la partie inférieure, les jambes d'un corps en partie enseveli reposent sur des masses arrondies brunes qui évoquent la boue des tranchées ou des casques gisant au sol. Aucun uniforme ne permet d'identifier une armée ou une époque. L'artiste donne ainsi à son œuvre une dimension universelle. 3)la composition de la peinture est dynamique. Les gestes de l’artiste sont

y a 5500 ans, les Sumériens, un peuple d'agriculteurs vivant en Mésopotamie, ont inventé l'écriture. Pour écrire leur texte, ils se servaient des tablettes d'argile. L'argile est composé essentiellement de boue et les Sumériens en avaient beaucoup dans leurs plaines alluviales. Avec de la boue, ils préparaient des tablettes sur lesquelles ils gravaient des figures et des symboles tant que l'argile restait humide et mou. Ils les laissaient sécher afin que les signes gravés soient préservés plus longtemps

confrères ont des nerfs sensibles de jeune fille" = métaphore: compare les critiques à des jeunes filles sensibles "de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter a la face au nom de la morale" = métaphore: compare les critiques qu'il a reçu a une poignée de boue qu'on lui jette a la face "cette grêle de coups qui me tombent bêtement sur ma tête, comme des tuiles, sans que je sache pourquoi" = métaphore "grêle de coups" pour parler des critiques qu'on

violence et les actes meurtriers mais aussi le feu. Le marron pour la boue qui était le quotidien des soldats. Signification Gauche:Nombre indéfini de soldats partant au front, voit pas leurs visages dissimulés derrière la brume. Ces soldats pourraient être n'importe qui. Centre:Champ de bataille ou nous pouvons voir des cadavres à peine identifiables, des entrailles étalées dans la boue au 1er plan, il y a aussi des structures brûlées ou effondrées. Un cadavre

dans la boue liquide de latérite ocre. Franchissement du ruisseau sur un rondin pas très catholique. Retour sur cinquante mètres. Il faut appuyer sur la droite. Nous montons sur un tronc mort qui enjambe une excavation crée par les orpailleurs. Une sorte d'étang d'une surface d'un demi hectare. Le tronc surplombe la boue. En effet, ce n'est pas de l'eau qui se trouve sous nos pieds. Tronqueiro, un brésilien baragouinant l'anglais nous dira plus tard qu'il y a trois ou quatre mètres de boue mouvante

comptent et comptent leurs écus A tous ceux-là je dresserai Le monument qui leur convient Avec la schlague, avec le fouet Avec mes pieds avec mes poings Avec des mots qui colleront Sur leurs faux-plis sur leurs bajoues Des larmes de honte et de boue. Guerre A tous les enfants, Boris Vian 1954-1959 Introduction : Boris Vian est un jazzman, trompettiste, romancier et auteur compositeur du XX° siècle. Figure marquante de St Germain des Près, écrivain engagée, ainsi l’écrivain écrit : «  A tous

lumière » (v.12). Le poète nous montre une face positive et une autre négative du crapaud, il lui associe l’ombre et la lumière, la laideur et la beauté: il se contredit. « Rossignol de la boue » (v.10) est un oxymore car le poète rapproche le rossignol et la boue alors que le rossignol représente la beauté, et la boue représente la saleté. Le crapaud est un animal énigmatique. La première ambiguïté dans le poème au vers 9 : « Vois-le, poète tondu, sans aile ». On se sait pas si le poète tendu est « le »

ahuri de Rose) de la terre entourée d'eau… vous ne savez pas ce que c'est ? ROSE : (ébahie)  De la terre entourée d'eau ? FOLLAVOINE : Oui ! De la terre entourée d'eau, comment ça s'appelle ? ROSE : De la boue ? FOLLAVOINE : (levant les yeux aux ciel) Mais non, pas de la boue ! C'est de la boue quand il n'y a pas beaucopu de terre et pas beaucoup d'eau ; mais quand il y a beaucoup de terre et beaucoup d'eau, ça s'appelle des îles ! ROSE : (toujours ébahie)  Ah ? FOLLAVOINE : Eh bien, les Hébrides

rien dans la jambe. Je suis fatigué. Mais je sais qu’il ne faut pas dormir. Je le sais. Ça aussi on le dit aux types qu’on tient bien serrés dans les bras. Il faut que je parle. Il ne faut pas que je m’endorme. Bien calé, là, le dos contre la boue, je dois rester aux aguets. Je ne dois pas lâcher le fusil. Pas cesser de regarder. Je dois reprendre des forces. Tout doucement. À mon rythme. Dès que ça ira mieux, je me lèverai, et je me traînerai jusque là-bas. Et là encore, nom de Dieu

sans doute devant l'horreur de ce qu'il voit. À l'arrière-plan, on peut voir un soldat en portant un autre inconscient, essayant de gravir une immense colline de boue et de débris en tout genre. Ils sont entourés de morceaux de bombe, de tôles, de ferrailles, de fusils, de grenades et de casques. La plupart de ces hommes ayant de la boue jusqu'aux genoux. Le soldat au centre de l'image essaye de se dégager, on peut voir qu'il porte un masque sur son visage destiné à le protéger des matières chimiques