Boue

des planches au sol pour éviter la boue. La vie au quotidien dans les tranchées Les tranchées, c’est l’endroit où les soldats passent le plus de temps. Ils s’y battent mais passe le plus de temps à y dormir, manger et s’y distraire. La vie dans les tranchées a souvent été très dure : le danger permanent, le froid en hiver, les vermines (rats et poux), les odeurs nauséabondes, l’absence presque total d’hygiène et le ravitaillement mal assuré. La pluie et la boue ont également été de grands ennemis

L’expression lyrique de la satisfaction joyeuse→ exclamations, termes mélioratifs, structures de renforcement (« c’était vraiment »)II Les multiples facettes de la villeA la variété→ accumulations de lieux toujours changeant, jamais lassants.B les contrastes→ boue et saleté/ »brusquement le soleil » ; ordonnance des avenue/lacis désordonné des petites rues ; émotions contradictoires.C un monde onirique qui sollicite l’imagination→ comparaisons, métaphores, monde littéraire et donc voyage intérieur, immersion

- Antithèse (l5) - Personnification de “péchés”- Champ lexical de souffrance morale (remords, repentirs, aveux, pleurs, tâches)- Antithèse (l7-8)- (gaiement /bourbeux) - Champ lexicale de l’eau “bourbeux, pleurs, laver”fait référence à la boue de notre parcours→ Ces 4 termes de la ligne 1 désignent les vices de l’homme. L’homme est un pêcheur. Les hommes sont vus comme des créatures du mal.→ Une personnification du corps et de l’esprit qui travaille- L’homme est

l’équilibre des forces sur ces pylônes. 3 – les tunnels Qu’est ce qu’un tunnelier ? - un schéma était le bienvenu. Dans quelles conditions utilise-t-on un tunnelier à pression de boue ? - Quand on est dans un sol meuble avec pression hydrostatique importante. La pression de boue permet de compenser cette pression d’eau et assure l’étanchéité par son effet de bouchon. 4 – les barrages Pourquoi le Barrage de Serre-Ponçon a finalement été réalisé selon la technique du barrage

jonchant le sol. Le peintre utilisa les différents tons de marrons pour représenter la boue, s’accrochant aux vêtements des soldats. Cette couleur est omniprésente dans le tableau. Le bleu du ciel rehausse les tons bruns de la terre, qui se reflète dans des minis flaques d’eau annonçant un état boueux du terrain. Ce paysage représente une partie de La Grande Guerre, la guerre de tranchée en 1916 dans la boue gluante de la France où les soldats anglais et français combattaient ensemble et périrent

travail,faire un bon de service et allez chercher les pièces. Début du travail: Débrancher la batterie par la borne (-), mettre le véhicule sur un pont élévateur et enlever la roue avant droite.Déposer le cache moteur. 2)Déposer le par boue ainsi que la plaque sous moteur. 3)Déposer les 4 vis de la plaque de renfort.Enlever la courroie d'accessoire et son tendeur 4)Caler le moteur a l'aide d'un cric.Déposer la coiffe du support moteur, la masse acoustique, la biellette de reprise

gris et le noir pour les gravats, la mort et les cendres. On repère cependant des couleurs plus chaudes notamment le rouge et le marron pour le sang et la boue Description du panneau central : Le panneau central représente une vision d’horreur du champ de bataille. On peut vois des cadavres à peine identifiables, des entrailles rependues dans la boue au premier plan des bâtiments écroulés ou brulés. Un des cadavres, à droite est un personnage qu’on imagine mort dans une souffrance atroce. Embroché au

les soldats allemands allant au front (de dos, pas de visage, avec fusils et paquetage). Au centre : la tranchée pleine de cadavres (charnier). Les chairs et la terre sont mélangés ce qui renforce l’impression d’hommes englués, se confondant avec la boue. On distingue des corps ou membres (jambes avec des pustules) Le seul être vivant est un soldat isolé avec un masque à gaz. On ne voit donc pas son visage, pas de sentiment. Il semble impuissant à bouger, coincé sous une cape. A l’arrière-plan un paysage

ciel Ils pensent... Ils pensent... ils n'arrêtent pas de penser... Ils ne peuvent plus aimer les véritables fleurs vivantes Ils aiment les fleurs fanées les fleurs séchées Les immortelles et les pensées Et ils marchent dans la boue des souvenirs dans la boue des regrets Ils se traînent A grand-peine Dans les marécages du passé Et ils traînent... ils traînent leurs chaînes Et ils traînent les pieds au pas cadencé... Ils avancent à grand-peine Enlisés dans leurs champs-élysées

divinisé par la métaphore «"Ce père nourricier"» (v.9) qui renvoie au Père de la Trinité chrétienne. L’antithèse «porteurs de béquilles» / «jeunes filles» montre que le soleil transforme la vieillesse en jeunesse, comme l’alchimiste transforme la boue en or. Vocabulaire mélioratif ''gais et doux '' L’adjectif «immortel», l’adverbe temporel«toujours», et l’emploi du présent de vérité générale présentent le soleil comme éternel : « "Dans le coeur immortel qui toujours veut fleurir !" » . Le point