Bouffon

ête éventée » esprit qui ne retiens rien, ou circule le vend ; def du fou «  on en vois souvent dans les cours  » ref aux bouffons de cour : opposition prince bouffon «  aux fripons, aux sots,aux ridicules  » fou pas si fou car il peut se moquer des autres fous «

ARLEQUIN Arlequin, de tous les bouffons, est le plus universellement connu. Il symbolise la fantaisie, la ruse, la vie. Origine Le personnage d’Arlequin s’est développé principalement dans la Comedia dell’arte , cependant il existe plusieurs version sur son origine. Certains diront que ce sont les maîtres soufis classiques, connus pour porter une robe rapiécée cousue à partir d'étoffes de différentes couleurs dès le XIe siècle qui en sont les créateur. Le mot « arlequin » serait issu de l'arabe

décroissante. Disparition de DJ peut cependant laisser un sentiment de frustration car si le montre est puni, ses victimes ne sont pas dédommagées.  b)Le contraste bouffon  « Mes gages, mes gages » : considération de Sganarelle bassement matérielle ; cette réplique détruit l’effet moralisateur du dénouement et crée un contraste bouffon avec la solennité du moment. Elle relativise la nécessité du châtiment : après tout, DJ était utile, il faisait vivre Sganarelle.  Réplique ambiguë, qui manifeste

un mot » (L. 52). Le personnage de l’aveugle est également une personne exclu. Il est exclu puisqu’il est faible et qu’il est une victime facile : « un souffre-douleur, une sorte de bouffon-martyr, une proie » (L. 38). On assiste ici à une animalisation avec le mot « proie » et a un néologisme avec le terme « bouffon-martyr ». Il est effectivement différent des autres de ses proches, il le rejeté donc « l’autre » (L. 59), « Jamais d’ailleurs il n’avait connu aucune tendresse » (L. 27), ici nous assistons

telles que le théâtre ou la musique, ce qui oppose, encore, le neveu et le narrateur. Ils débattent tous les deux sur l'art. Diderot commente la ''querelle des Bouffons'' de 1752, où s'affrontèrent violemment à l'Opéra les partisans de la musique française, donc de Rameau, et les partisans de la musique des Italiens, dits les «Bouffons»,( notamment Rousseau, Grimm...) qu'il considère plus passionnée et plus naturelle à l'oreille que la musique de Rameau. En attaquant l'oncle, ''moi'', crée de

impuissant, jeune et pourtant très vieux, Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes, S'ennuie avec ses chiens comme avec d'autres bêtes. Rien ne peut l'égayer, ni gibier, ni faucon, Ni son peuple mourant en face du balcon. Du bouffon favori la grotesque ballade Ne distrait plus le front de ce cruel malade ; Son lit fleurdelisé se transforme en tombeau, Et les dames d'atour, pour qui tout prince est beau, Ne savent plus trouver d'impudique toilette Pour tirer

grandeur Dom Juan le soumet -> (trois phrases) rythme ternaire -> gradation -> impuissance, lâcheté, hypocrisie -> Dom Juan > volonté humaine - Dom Juan arrive-> comique -> Sganarelle vient d’avouer sa lâcheté et en fait preuve-> Comique du valet bouffon  è 2 personnages peu sympathiques -> Maître monstre, Valet ridicule -> Dom Juan nous inquiète, et nous ne faisons pas confiance à Sganarelle. Conclusion     Molière résout le paradoxe de la scène en mettant les propos dans la bouche de Sganarelle

représentations des attributs caractéristiques de ce personnage-type : costume militaire épée chapeau orné d’un panache Fraise autour du cou Les personnages portent un costume qui mêle des attributs militaires et des attributs féminins et bouffons rappelant notamment les costumes les personnages de la commedia dell’arte Ce qui reste du soldat : l’épée dans les quatre cas. Elle est très longue sur les gravures, petite mais nantie d’un pommeau démesuré et travaillé, pour Wilson. Le Matamore

représentation du fou et de son discours évoluant sans cesse au cours de l’histoire et donc dans la littérature et particulièrement le genre théâtrale. Au théâtre, qu’il s’agisse d’un personnage atteint de démence, quelle qu’elle soit, ou d’un bouffon, le fou a pour constante d’être une figure singulière et remarquable, étant bien souvent marginal du fait de son statut particulier d’être « hors norme », à différents degrés et niveaux. Ainsi, définir le fou est extrêmement complexe car, bien que

amusant le spectateur, mais ce comique est renforcé par plusieurs autres. 2 comique de geste. Pour montrer le comique de geste nous nous appuierons surtout sur le personnage d’Arlequin car c'est lui grâce à ses didascalies et sa nature de « bouffon » (le nom renvoi à ce type de personnages ). Dans ce passage, Arlequin utilise toute sa malice en faisant le « pitre » depuis qu’il sait qu’il est sur l’île des esclaves. Il profite de sa situation de contrôle pour faire ce qu’il n’a pas pu faire