Bouffon

discours avant d’amorcer l’exposition : Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours Le discours de Sganarelle relève en apparence du burlesque*. Le fait que Molière confie les premiers et les derniers mots de sa pièce au valet bouffon inscrit la pièce dans le genre de la comédie (parfois même de la farce) . La tirade initiale de Sganarelle exploite plusieurs effets comiques ; - Elle est d’abord un éloge paradoxal [ c’est un exercice de style, hérité de l’humanisme qui est

Art, ruptures et continuité. .1. Présentation général . L’œuvre que je vais vous présenter est Comédiens ou bouffons arabes . .1.1. L’œuvre et l’artiste  C’est une peinture huile sur toile , qui est exposé au Musée des beaux-arts . Il est réalisé par Eugène Delacroix qui a vécu de (1798-1863) , réalisée en 1848 . .1.2. Le contexte historique Une mission diplomatique  : Une mission diplomatique est un groupe de diplomates originaires d'un même État ou d'une organisation inter-gouvernementale

regarde au loin, yeux de marbre Désir Froideur, indifférence, inaccessible - des attitudes : aux pieds (vénération et impuissance), tout ramassé colossale, piédestal 1- le thème du bouffon : la condition ridicule du poète Ce thème se retrouve dans l'Albatros, de Baudelaire. Pourquoi le bouffon ? pour le ridicule uniquement ? Mais aussi parce que le fou se permet de dire ce que les autres taisent, dissimulent. Parce qu'il est chargé d'une fonction sociale et mythique : vaincre le Remords

<=> regarde au loin, yeux de marbre Désir <=> Froideur, indifférence, inaccessible - des attitudes : aux pieds (vénération et impuissance), tout ramassé <==> colossale, piédestal 1- le thème du bouffon : la condition ridicule du poète Ce thème se retrouve dans l'Albatros, de Baudelaire. Pourquoi le bouffon ? pour le ridicule uniquement ? Mais aussi parce que le fou se permet de dire ce que les autres taisent, dissimulent. Parce qu'il est chargé d'une fonction sociale et mythique : vaincre le Remords

séduction comme vu ci-dessus. Champ lex. du dire avec : « dites », « allez dire », « dites Monsieur dites », « persuaderez », « dire ». Cela montre qu’ils ne font que rapporter ce qu’ils ont entendu des maîtres. A la fin on a : « Nous sommes aussi bouffons que nos patrons mais nous sommes plus sages » : A reconnaît et avoue l’imitation des maîtres et en rit. 3) Le décalage créé par la parodie Rapidité du passage pour passer des banalités à l’aveu : quelques répliques : trop rapide = trop surfait

: lève les yeux regarde au loin, yeux de marbre DESIR FROIDEUR, INDIFFERENCE,INACCESSIBLE => des attitudes : aux pieds (vénération et impuissance), tout ramassé colossale, piédestal a) le thème du bouffon : la condition ridicule du poète (cf l'Albatros) Pourquoi le bouffon ? pour le ridicule uniquement ? mais aussi parce que le FOU se permet de dire ce que les autres taisent, dissimulent ! parce qu'il est chargé d'une fonction SOCIALE et MYTHIQUE : vaincre le Remords, l'Ennui

costumes pour que le personnage paraisse plus drôle, pour que le spectateur puisse lui donner une place au sein de la pièce. de cette manière, il peut faire d'un acteur (grâce à son paraître), le bouffon si célèbre des comédies classiques, en misant sur des vêtements haut en couleur, burlesques (culottes bouffonnes, coiffure...), sur des détails qui ont pourtant toute leur importance. Le metteur en scène peut également par un choix intelligent rendre un pièce plus amusante. Car si l'acteur joue la comédie

son maniement de la rhétorique est loin d’être parfait : l’habile énumération des parties du corps humain se termine par une phrase qu’il n’arrive pas à finir et il demande à Dom Juan de le contredire…. 3) Et qui finit comme une sorte de clown, de bouffon. - La fin de l’échange achève de ruiner la valeur de son propos. En effet, après sa belle maxime sur le caractère admirable de l’homme, il se prend lui-même en exemple : « cela n’est-il pas merveilleux que me voilà ici et que j’aie quelque chose dans

sont niés, et ce qui fonctionnait avant, ne fonctionne plus désormais : la « grotesque ballade » du bouffon au v. 7, « ne distrait plus » rejet au v.8 du verbe dont la ballade est le sujet. La négation totale « ne…plus » qui sera répétée deux fois, pour la chanson du bouffon et pour l’« impudique toilette » que ne savent plus trouver les dames d’atour , insiste sur un changement à l’œuvre : le bouffon comme les dames de compagnie ont su distraire le prince à un moment donné , mais c’est fini. Spectacle

et quatre sont huit. » Et surtout lui qui révélera au public l'hypocrisie de Dom Juan envers Dom Louis, alors qu'elle aurait pu duper le spectateur. C'est pourquoi il aura le dernier mot, en tirant la morale de la pièce : il importe qu'il reste un bouffon. Dom Juan ne peut pas se séparer de son valet ; ils sont d'ailleurs l'un pour l'autre une sorte de faire valoir réciproque. Ce premier représente le côté sombre de la pièce tandis que Sganarelle est l'amuseur, celui qui détend l'atmosphère, mais