Bouffon

sérieux. Laissez-moi, je ne veux point d'affaires ; levez-vous. Quelle vivacité ! Faut-il vous dire qu'on vous aime ? Ne peut-on en être quitte à moins ? Cela est étrange. ARLEQUIN, riant à genoux : Ah! ah ! ah ! que cela va bien ! Nous sommes aussi bouffons que nos patrons, mais nous sommes plus sages. L'île des esclaves, Marivaux Annonce des axes Etude I. Le théâtre dans le théâtre a) le jeu mis en abîme Première réplique + didascalies = redéfinition de l'espace scénique = précision

de liberté et de la revendication de la libre pensée). Maître de Sganarelle. Sganarelle : valet de Dom Juan, il est son antithèse, l’anti héros, il est ridicule car il défend mal les valeurs morales de l’époque. Il a un rôle comique, bouffon, (« mes gages ! », on revient au thème trivial de $ ), il rattrape le côté tragique de Dom Juan, ils se complètent. Il est aussi son confident, son complice. Personnages sacrés Done Elvire : représente l’éthique, l’amour

où se cache de l'or. Dans un projet d'épilogue, le poète s'adresse à la ville de Paris et énumère ce qu'il trouve de beau dans une ville où le « Mal » est partout. Entre les « bombes », « les hôtels garnis », « les égouts pleins de sang », « les bouffons neufs aux vieilles défroques », se trouvent des « jardins », des « faubourgs mélancoliques », « Des Anges revêtus d'or, de pourpre et d’hyacinthe ». Dans la réédition de 1861, Baudelaire créé une partie s'intitulant « Tableaux parisiens » et nous

son génie, mais reste attaché à la place qui lui est attribuée par la société. Il en va de même pour Ruy Blas, dont la pièce éponyme est créée en 1838. Victor Hugo y peint deux images de la monarchie décadente : une cour corrompue et un aristocrate bouffon et libertin auxquels s’opposent l’alliance confidentielle « entre frères » et la passion amoureuse, vouées à l’échec. Ainsi, les pièces de Hugo mettent en cause « le lieu de la légitimité du pouvoir, le poids des générations antérieures sur la jeunesse

et les comédiens italiens au XVIème siècle. Le valet se rattache un peu aux bouffons et est vantard. On le retrouve dans la commedia dell’arte notamment avec Arlequin, personnage aux traits grossiers. Ce dernier est éloquent, moraliste et s’affirme en dénonçant les mauvais traitements infliges par son maitre. C’est un personnage hâbleur, ridicule qui a le sens de la repartie, de l’ironie il peut apparaître comme un bouffon de son maitre et du publique. Le valet s’émancipe et occupe une place de plus

: récit d’expérience « Le roi n’avait pas ri » de l’édition « Livre de poche » est un livre d’environ deux cents trente pages, écrit par Guillaume Meurice (humoriste, chroniqueur et écrivain français) né en 1981. C’est la biographie du bouffon des rois Louis XV et François I. Tout au long de sa vie, Triboulet, le personnage principal, est détesté de par son physique peu commun et de par sa façon de parler peu commune aussi. Par où commencer ? J’ai tellement de choses à dire. J’ai

intitulé Pantagruel. Tenté par le succès d’une plaisanterie burlesque, Rabelais raconte les prouesses de Pantagruel, un géant doué d’un appétit insatiable et d’une force formidable. « La supériorité de Rabelais est éclatante (…). Dans cette œuvre bouffonne, il insère mille détails tirés de la vie réelle. Certains chapitres, nettement au-dessus de l’esprit populaire, expriment l’idéal humaniste, critiquent la routine des sciences juridiques, prennent position en faveur de l’évangélisme. »1 Par la suite

argumentative de chaque scène de la pièce. II- Le genre de l’éloge Toute la première partie de cette première réplique est construite sur une éloquence de l’éloge. Pourtant, le personnage reste bien un valet, et peu à peu, ses propos vont devenir bouffons. Les premiers mots «» s’opposent aux arguments d’autorité. D’entrée de jeu, l’éloge s’érige contre l’autorité impliquée sur les règles du théâtre par Aristote, non seulement de la philosophie, mais aussi implicitement contre l’autorité religieuse

insolite de certains aspects de la réalité , il doit séduire par sa forme, doit aussi bien convaincre ou informer par son fond. L'humour est aussi un métier à la fois très ancien et particulierement prisé aujourd'hui. Qui sont et que font donc ces bouffons de métier ? A partir de quatre documents dont une photographie évoquant les professionnels du rire ; nous verrons d’abord qui sont les comiques puis comment ils font rire et ce qu’il faut en penser. Les gens qui ont pour tâche de faire rire les

de lui montrer ses «_autres mains_», fouille ses poches et cherche jusque dans ses chausses la trace d'un larcin. Ce vieillard, physiquement épuisé, moralement traqué, dont l'avarice pourrait être une banale maladie de vieillesse, est d’abord un bouffon chez qui la passion qui le dévore a tué le sentiment de sa dignité. Intérêt philosophique La pièce est évidemment une condamnation de l’avarice, et sur cet aspect tout le monde s’accorde. Elle fait réfléchir à l’éternel conflit entre les générations