Boulevard des Canuts

provoque la révolution de Juillet, ce sont les 3 glorieuses (en 1830). Mais on se retrouve dans une nouvelle monarchie, celle de Juillet, Louis-Philippe 1er, monarchique libéral : l’industrie française connaît son décollage. 1831-1834 : révolte des Canuts à Lyon : ce sont les ouvriers du textile lyonnais. 1ère révolte sociale. Agitation sociale va se produire tout le long de la monarchie de Juillet. 1848 : Nouvelle révolution « printemps des peuples », dans toute l’Europe. Mouvement social à grande

des Annonceurs personnalisé pour Intermédia Page 20 AIR FRANCE ALDES AERAULIQUE FICHE NON ACTUALISÉE ADRESSE 100, rue Garibaldi 69006 Lyon Tél. : Fax : Web : 04.72.11.56.00 04.72.11.56.60 www.airfrance.com ADRESSE 20 boulevard Joliot-Curie 69694 Vénissieux cedex Tél. : Fax : Mel : Web : 04.78.77.15.15 04.78.76.15.97 aldes@aldes.com www.aldes.com ACTIVITÉ Transport aérien SIREN : NAF : Secteur : 552 043 002 621Z Transport, stockage, logistique ACTIVITÉ

Jean Lebas 2 Rue des Casernes 8 Rue ST Laurent 150,Impasse Léo Lagrange 16 Rue d'Enfer 87, Rue Victor Audin 5, rue de Semilly 40, Rue Laurent 10 Rue STE Suzanne 22 Rue de Laon 10 Rue de la Gare 10 Bis, Rue Enguerand de Coucy 7/10 Avenue Europe 9 Boulevard de la Marne LAFOREST patrick 9 Rue du Château d'Eau 14 Rue de la Grimouselle 441 Rue Charles de Gaulle 12 Rue de la Planchette 8, Rue de Bourgogne Rue Jacquard 50, Rue du Bois Mirran 16 Rue de Flavy 1 Chemin Guisois 34 Rue ST Maixent 27 Rue de Vaux

devant la garde nationale il est accueilli par les mm cris que la population la veille. Louis Philippe va renvoyer Guizot et annonce la formation d'un nouveau ministère. L'émeute semble calmée mais une poignée d'émeutiers se rend dans la soirée boulevard des Capucines pour insulter Guizot sous ses propres fenêtres. Les manifestants se heurtent à un cordon de sécurité quand approchent aux fenêtres de Guizot et en réponse à un coup de feu les troupes chargées de protéger Guizot vont tirer sur la foule

cela prenne feu. En 1900, la province s’en fait l’écho. Vers 1906 se dessine cependant une autre évolution, qui voit se constituer peu à peu un parc de cinéma-théâtres sédentaires. En décembre 1906 est inauguré l’Omnia Pathé sur les grands boulevards. L’initiative décisive est celle de Charles Pathé, alors fournisseur de près de 90% du marché ambulant, qui décide en 1907 de louer ses films plutôt que de les vendre, et d’exiger le retour de la copie dans un délai de quatre mois. La mesure, qui

prononcés par les manifestants la veille. Louis Philippe va décider de réagir : il va renvoyer Guizot. Il va annoncer la formation d’un nouveau gouvernement. L’émeute semble calmée, mais une poignée d’agitateurs décide dans la soirée de se rendre boulevard des capucines, sous les fenêtres de Guizot, dans le but de l’insulter. Les manifestants se heurtent en arrivant à un cordon de sécurité et en réponse à un coup de feu d’origine inconnue, les troupes chargées de protéger Guizot vont tirer sur les

compagnons défilent devant la Préfecture. Accueilli aux cris de : « Vive le préfet ! Vive notre père ! » le préfet leur annonce la signature du tarif ; celui-ci est porté à la connaissance du public, certifié par le préfet et par le maire. Le soir, les canuts illuminent à Saint-Georges et à la Croix-Rousse ; leur joie est grande. Édouard Dolléans, Histoire du mouvement ouvrier, Tome I : 1830-1871 (1948) 53 Mais la bonne foi des chefs d'atelier et des fabricants qui s'étaient engagés le 25 octobre

paysage. Il se disait heureux d'être échappé aux affaires. Frédéric éprouvait un certain respect pour lui, et ne résista pas à l'envie de savoir son nom. L'inconnu répondit tout d'une haleine : −− " Jacques Arnoux propriétaire de l'Art industriel , boulevard Montmartre. " Un domestique ayant un galon d'or à la casquette vint lui dire : −− " Si Monsieur voulait descendre ? Mademoiselle pleure. " Il disparut. L' Art industriel était un établissement hybride, comprenant un journal de peinture et un magasin

paysage. Il se disait heureux d’être échappé aux affaires. Frédéric éprouvait un certain respect pour lui, et ne résista pas à l’envie de savoir son nom. L’inconnu ré-pondit tout d’une haleine : — « Jacques Arnoux propriétaire de l’Art industriel, boulevard Montmartre. » Un domestique ayant un galon d’or à la casquette vint lui dire : — « Si Monsieur voulait descendre ? Mademoiselle pleure. » Il disparut. L’Art industriel était un établissement hybride, com-prenant un journal de peinture et un

elle en Athalie, le rôle d’Éliacin. Elle deviendrait sa maîtresse s’il acceptait de jouer avec elle dans un théâtre. Mais il refusa, et elle lui asséna son mépris, le mépris pour son livre. Il devint pourtant comédien avec elle, vivant avec elle boulevard de Montparnase car elle avait quitté son riche protecteur, jouant de « la ferblanterie mélodramatique » ou du vaudeville, dans la banlieue. Jaloux l’un de l’autre sans s’aimer, ils profitaient de l’argent envoyé par Jacques, mais étaient criblés