Bourrage de crâne

défendre leur nation mais ne savent pas pour qui exactement, le peuple ou l’état. P.154 : « Nous sommes ici pour défendre notre patrie. Mais les français, eux aussi, sont là pour défendre la leur. Qui donc a raison ? Les soldats déplorent le bourrage de crâne qu’ils ont subi avant de s’engager car pour eux qui sont au front, la guerre n’est pas un jeu mais l’enjeu de leur existence, tant par le danger de mort omniprésent, mais par l’évolution des esprits. Ce n’est même plus un combat entre deux camps

permettre d’anéantir l’armée ennemie. Grâce à l’argent, l’arrière pourra ainsi participer activement à la guerre.  La propagande poussée à l'extrême conduit au bourrage de crâne. La propagande va également rassurer: les mensonges de l'arrière redonnaient de l'espoir aux familles. 1. 2. 1. Un bon exemple du "bourrage de crâne" : la légende comme quoi des soldats allemands se  seraient  rendus pour une tartine. Tout au long de la guerre, la propagande française présenta les troupiers allemands

du conflit entraine une mobilisation sans précédents. En effet, 70 millions d’hommes sont mobilisés entre 1914 et 1918. Ainsi tout européen est concerné par la guerre. Le moral des troupes et de l’arrière est encadré par de la censure du « bourrage de crâne » et la diabolisation de l’ennemi, les soldats sont donc persuadés de la justesse de leur combat. 3. Les conditions de vie dans les tranchées. Les conditions d’existence dans les tranchées sont très difficiles :

France, et destiné aux hautes classes sociales, les journaux sont entiérement controlés par l’etat. Il faut attendre 1789 pour que les journaux aient une marge de liberté; et encore celle-ci fut sans cesse retiré, comme peut nous le montrer «le bourrage de crane» de la 1ére guerre mondiale ou les journaux etaient controles par l’état. Avec le temps, de nouvelles formes de médias sont apparues; plus précisement la radio et la télévision. De plus la liberté et l’autonomie des journaux fit un pas vers

dans « l’étroitesse des tranchées » avec ses camarades. Les pertes sont énormes, la guerre paraît interminables, etles soldats tournent parfois leur colère contre l’absurdité de la guerre et ceux de « l’arrière » qui ne lisent que la presse « bourrage de crâne » et la propagande officielle. La révolte éclate alors, comme durant les mutineries de 1917 qui suivent l'échec de la bataille du Chemin des Dames, sur le front français. Dans l’ensemble, les « poilus » tiennent bon côté français sans doute par

nôtre). Il existe deux directions à la propagande : celle vers les pays ennemis et celle vers les pays neutres. NB : de fausses informations circulaient et lorsque les gens s’en sont rendu compte, ils ont eu l’impression qu’il s’agissait de bourrage de crâne (cf. faire circuler des informations « positives » afin de motiver les gens). - En Angleterre, on commence la propagande via des organismes privés (associations diverses). Ceux-ci sont petit à petit organisés, structurés ''' Création d'un

implique une mobilisation des esprits. Les journaux sont censurés : les gouvernements des pays en guerre interdisent tout discours défaitiste et mettent en place la propagande. Les populations ne sont pas dupes et surnomment cette propagande le "bourrage de crâne". Ajoutons que même les enfants sont mobilisés dans cette guerre : les publications qui leur sont destinées tournent autour de la guerre (exemple : Bécassine mobilisée). C) La fin de la guerre Les sociétés sont profondément affectées

reportages la propagande pendant la Première Guerre mondiale et popularise l'expression bourrage de crâne. • Le 10 septembre 1915, Le Canard enchaîné est créé "en riposte" à la censure et la propagande, mais végète financièrement. Le 29 novembre 1916, pastichant les jeux, les concours, les référendums proposés par la presse, il lance un référendum pour l'"élection du grand chef de la tribu des bourreurs de crâne". Il utilise un langage codé : antiphrases, démentis qui valent confirmations, phrases

Grand-Mère la Paix. Ces documents ont pour but de montrer aux enfants que l’ennemi est mauvais et que la seule raison pour laquelle le conflit subsiste encore est la volonté des Allemands de tuer et de combattre. Cette pratique est appelé le « bourrage de crâne », c’est-à-dire l’art de convaincre l’opinion en déformant la réalité ou en lui mentant. La culture de guerre est inculquée aux enfants de manière ludique, avec divers jeux : Jeu de « Trench Football » représentant une zone de combat, différents

pour la paix, la famille) Obligation (devoir) Distractions (théâtre, livres,..) Lettres Permission d’une semaine tous les quatre mois à partir de 1915 (retour difficile car l’arrière est choquée->censure et propagande fait bien le travail : bourrage de crâne) A partir de 1917 apparait des mutineries qui font environ 75 exécutés au total. Les chiffres : 10 millions de morts 60 % avaient entre 20 et 30 ans 600 000 veuves 760 000 orphelins 40 % des survivants de 1914 seront mobilisés en