Bourrage de crâne

« culture de guerre » = intériorisation par la population de comportements marqués par la violence, progressivement légitimée comme moyen indispensable pour obtenir la victoire à l’arrière y compris pour les enfants (école, jeux, jouets…) ← « bourrage de crâne » mais impact à nuancer surtout avec la X des permissions ( réalité du front mieux connue à l’arrière T : cette culture de guerre est ce qui unit les Français, dans un système complexe de relations entre front et arrière. III. Front ' arrière :

Auteur et contexte historique : Exemple pour définir l’homme, exploration du « moi », œuvre de sa vie. Plan : I : Une critique de l’éducation traditionnelle : a) l’apprentissage par cœur : comparaison entre l’apprentissage et un entonnoir : bourrage de crâne. Il critique le par cœur. b) Education collective :l34 : antithèse , mesure=quantité=forme, chaque esprit n’apprend pas la même quantité de chose. c) Education par le gain : L2 a 7 : but de l’éducation refusé par M : le gain, la vanité.

guerres en organisant l’effort de guerre avec de la propagande mais aussi un contrôle très prononcé sur la presse. Ils mettent en place en autre ce que l’on pourrait qualifier de « culture de guerre »  Rien est jamais assez, de grande censure, du bourrage de crane, des affiche, de grand discours sur (le patriotisme, Héroïsation des combattants). Suite a ce culte de guerre, les soldats ce mobilise plus facilement et donc sont beaucoup plus nombreux soit plus de 60 millions d’hommes au front depuis la première

de Verdun : 1916, 700 000 morts. En 1917, la Russie se retire de la guerre et les États-Unis entrent en guerre. Le 11 novembre 1918, l'Allemagne signe l'armistice avec la France . III. Une guerre totale. Production massive d'armes, « bourrage de crâne », besoin important d'argents. Conditions de vie des soldats : peur, froid, boue, manque des nourritures. Les soldats utilisent des nouvelles armes (Roland Garros), révolution des soldats en 1917. À l'arrière, les femmes remplacent les hommes

créer. → Déclaration de guerre de l'Allemagne à la Russie le 1 aout 1914 → Déclaration de guerre de l'Allemagne à la France le 3 aout 1914 → Aide du Royaume-Unis à la France et à la Russie le 5 aout 1914 La Propagande qui est en réalité un bourrage de crane, réalisé à l'aide d'affiches,et d'écrits notamment, qui sert a imposé et a faire adopter des idéologies.Cette propagande a été un accélérateur de cette guerre.

préventives par exemple) ainsi que les décisions des grandes entreprises. On peut résumer ces théories complexes en trois types de publicités : ○ Publicité de répétition : basée sur le principe du « clou qu’on enfonce » autrement dit « bourrage de crâne ». Elle cherche à agir par la masse plutôt que par la qualité. ○ Publicité d’argumentation : son but est de convaincre le consommateur en retenant son attention, c’est la publicité la plus classique. ○ Publicité de sympathie : a pour but comme

rares permissions) joue rôle important dans le moral des troupes mais en reviennent parfois écœurés par le « bourrage de crâne » diffusé à l'arrière. Culture combattante : soldats unis par des liens forts (mêmes expériences de la guerre on parle des « poilus » pour mettre ne avant leur courage...) qui ont le sentiment qu'un fossé les sépare des civils (dénoncent « planqués » et « bourrage de crânes »). Une « génération du feu » : « brutalisation » ou « ensauvagement » des esprits (violences subies

tendances à exagéré, du coup on sait plus ce qui est fiable, et l'on sait plus qui croire on deviens méfiant et on prend du recul par rapport à toutes ces informations. Trop d'informations tue l'information je dirais, cela peu faire penser à du bourrage de crane, c'est la liberté de la presse qui l'oblige, c'est quelque chose commun à notre époque, l’excès d’informations, mais bon on peut pas s'en privé non plus ! 

douille d’obus, Cliquer Sur cette photo on peut voir… (lire les légendes) Face à cette réalité très difficile de la guerre : les massacres et les mauvaises conditions de vie, les états et leurs journaux pratiquent une propagande et un «bourrage de crâne» tellement intensif qu’il en devient ridicule et inutile. On en trouve un exemple dans «L’Intransigeant» du 17 août 1914 : « Les shrapnells éclatent mollement et tombent en pluie inoffensive. Le tir est très mal réglé. Quant aux balles, elles

Versailles Renault se reconvertit en usine d’armement, les impôts sont augmentés, la population est rationnée. Les femmes, les enfants et les personnes âgées travaillent dans les champs et les usines. Propagande : réalité du front niée, « bourrage de crâne ». A l’arrière : quotidien difficile à cause de la pénurie des aliments, les risques de maladies, les violences subies dans les régions occupées. Résultat : 8 millions de morts, 6 millions de blessés, de veuves et d’orphelins.