Bourse de Londres

grandes voies maritimes ou sur des principaux détroits. grands flux commerciaux : c’est surtout la Triade avec le Japon qui a la plus grande croissance du trafic et les plus grands ports. les flux de capitaux : échangés surtout par les bourses de la Triade (Wall Street : 40 % des capitaux). l’IDE (Investissement direct à l’étranger) et les flux d’information (internet…) sont surtout Nord-Nord. 1944 : baisse des droits de douane. les Etats modernisent les infrastructures

conséquent accroît les marchés et stimule la croissance. La baisse des coûts des transports favorise également les échanges et internationalise l’économie mondiale. La croissance démographique se joint d’un essor des activités financières. Les bourses de Londres, Paris, Francfort et Berlin permettent à l’Europe d’être le banquier mondial en 1914. Pour ce qui est de l’économie-monde, la Grande Bretagne en est le centre. Cette dernière fournit des pays en matériel, machines et produits textiles. Malgré

Annexe : la filière du diamant en 2003, en volume et en valeur ................. 11 © CCMP – 2008 – DE BEERS : les monopoles ne sont pas éternels – Frédéric FRERY – ESCP EAP Licence d'utilisation accordée à : Groupe ESC DIJON 2 En 2008, Londres ne sera plus le centre mondial du diamant. Après y avoir réalisé pendant des décennies le tri de la quasi totalité des diamants extraits dans le monde, le groupe De Beers a en effet décidé de transférer son centre à Gaborone, capitale du Botswana

créent les banques de dépôt pour les particuliers et les banques d’affaires comme par exemple Rotschild pour les projets industriels. On voit aussi se créer desociété anonyme : le capital de l'entreprise est divisé en actions qui sont vendues à la bourse. Les bénéfices sont partagés ensuite entre les actionnaires. Pour que ce système économique fonctionne, chacun doit être libre de créer son entreprise : il faut donc une politique libérale. L'argent et le système libéral d'un côté, il faut dans

titrisés qui les composaient. Les bourse européennes reculent : le CAC perd 1,69% et repasse sous les 6000 points. A Londres, l’indice Footsie perd 1,38% à 6567 points. 19 juillet : A New York, l’indice Dow Jones bat un record historique à plus de 14 000 points en pleine euphorie des marchés nord-américains. 26 juillet : Après l’euphorie, déprime. Wall Street perd 2,26%, Londres 3,15%, Francfort 2,39%, Paris 2,78% et Tokyo perd 2,36% le lendemain. 1er août : Les bourses européennes perdent 2%. En

développer leur affaire mais aussi aux consommateurs afin de pouvoir acheter. De plus, le système capitaliste (système économique où les moyens de productions et le financement de l’économie sont entre les mains d’acteurs privés) s’organise autour des bourses : les entreprises viennent lever des fonds en mettant en vente des actions (une partie de leur capital, c’est-à-dire de leur valeur financière). Ces deux systèmes sont censés profiter à tous : aux emprunteurs – à condition qu’ils soient solvables

- 1914 consacre une Angleterre à la puissance sans égale : Du point de vue culturel avec le rayonnement de « civilisation victorienne » et l'exposition universelle de Londres en 1851. Du point de vue militaire, grâce à la flotte britannique, la Royal Navy. 2) Une puissance financière inégalée Depuis la City, cœur financier de Londres, l'Angleterre domine les transactions. Avec l'invention du statut de société anonyme débute le commerce d'actions tel que nous le connaissons, qui s'effectue depuis les

et l'arrivée de migrants. – le capitalisme ( = propriété privée, recherche du profit, liberté des prix et des salaires, libre concurrence) Toutefois la croissance montre des limites : contrastes géographiques importants, crise économique ( la bourse de Vienne qui s'effondre), certains pays entrent dans une démarche protectionniste. Le modèle capitaliste et libéral est contesté par de nouveaux régimes politiques : – le socialisme reformiste qui veut faire voter des lois sociales : Jean Jaurès

La compétitivité européenne à l'épreuve de l'euro   Dans l'attente d'une baisse des taux de la BCE, l'euro fort met les responsables économiques, de l'Allemagne à l'Italie, sur le qui-vive. Londres devrait reporter son éventuelle adhésion à la zone euro. Toute la zone euro attend aujourd'hui du conseil de la Banque centrale européenne (BCE) qu'il décide d'une baisse des taux substantielle (plutôt un demi qu'un quart de point). Car même si la forte hausse de la monnaie européenne par rapport au

années folles. - La crise boursière et crise monétaire aux U.S.A : les dépenses, les crédits dépassent les réserves d’or donc l’endettement grimpe et dépasse le PIB de 370%. Dès lors interviennent les spéculations en bourse remplacent l’investissement industriel ; la bourse connaît une expansion intenable et la pyramide des dettes s’écrase, elle court-circuite l’économie internationale. Les achats à la marge ou emprunts se multiplient en aggravent la situation d’où une crise de confiance due