Bradycardie

l'amnio-infusion qui a pour but d'augmenter la quantité de liquide amniotique afin de diluer le méconium et sa toxicité. Cette technique n'est pas encore pratiquée partout. Pendant l'accouchement, cette inhalation peut être suspectée devant des épisodes de bradycardie sévère visibles sur le RCF. Le nouveau-né naît noyé en état de mort apparente. La réanimation immédiate permet d'obtenir une respiration mais très vite s'installe un tableau de détresse respiratoire intense avec des signes majeurs d'encombrement

participant au soutien des neurones (la glie). Elle peut occasionner de nombreux dégâts comme des convulsions, une hémiplégie, des hallucinations, une hypertension intracrânienne, des perturbations du nerf vague (diminution du rythme cardiaque (bradycardie), syncope), ou encore une perturbation de la vue. Le gliome se dissocie en trois formes principales: ▪ l'astrocytome : ce type de tumeur peut se rattacher au tissu cérébral; ▪ l'épendymome : cette

conséquence de la perte de poids. * L'aménorrhée peut provoquer des troubles de la fertilité. * L’activité cardiaque * Le risque cardiaque est aggravé par l'amaigrissement. * Un ralentissement du rythme cardiaque, appelé bradycardie, est également constaté * Les os * Les risques d'ostéoporose sont les plus précoces.  * Les vomissements Les vomissements répétés provoquent : * Une modification de l'émail des dents qui devient plus fragile * Une augmentation

* Dépression * Impulsivité * Sautes d'humeur * Troubles Obsessionnels ( TOC) * Idées suicidaires | * L’activité cardiaque * Le risque cardiaque est aggravé par l'amaigrissement. * Un ralentissement du rythme cardiaque, appelé bradycardie, est également constaté | | * Les osLes risques d'ostéoporose sont les plus précoces.  | | * Les vomissementsLes vomissements répétés provoquent : * Une modification de l'émail des dents qui devient plus fragile * Une augmentation

Hypertonie, neuropathie périphérique Affections oculaires Fréquent Trouble visuel (y compris, diplopie) Affections de l'oreille et du labyrinthe Peu fréquent Acouphène Affections cardiaques Fréquent Palpitations Peu fréquent Arythmie (y compris bradycardie, tachycardie ventriculaire et fibrillation auriculaire) Très rare Infarctus du myocarde Affections vasculaires Fréquent Bouffée vasomotrice Peu fréquent Hypotension Très rare Vascularite Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

troubles respiratoires : rythme de Cheynes Stokes, pauses respiratoires, encombrement bronchopulmonaire, insuffisance respiratoire (cyanose due à l’hypoxie, tirage sus-sternal, sueurs et HTA liées à l’hypercapnie) ; - de troubles végétatifs : bradycardie par hypertension intracrânienne, poussées hypertensives par HTIC ou hypercapnie, collapsus d’origine centrale ou respiratoire, hypothermie ; - de signes d’hypertension intracrânienne pouvant témoigner d’un blocage à l’écoulement du LCR avec hydrocéphalie

1 – SP20 © Cned – Académie en ligne – les maladies du muscle du cœur (infarctus du myocarde par exemple) ; – les maladies de l’enveloppe du cœur, le péricarde ; – les troubles du rythme du cœur (ralentissement de la fréquence cardiaque (bradycardie) ou au contraire son accélération (tachycardie). Répondre aux questions suivantes En quelle année l’ECG a-t-il été découvert et par qui ? Combien d’électrodes doit-on placer sur le corps pour faire un ECG ? Dans un électrocardiogramme, que mesure-t-on

rythme. Le rythme cardiaque physiologique est dit sinusal (car déterminé par l'activité du nœud sinusal situé à la partie haute de l'oreillette droite) et normalement de l'ordre de 50 à 100/minute chez l'adulte. En dessous de ces limites on parle de bradycardie ; au dessus on parle de tachycardie. 1 - Tachycardie sinusale Liée à la stimulation du nœud sinusal elle s'observe normalement au cours de l'effort physique, de la fièvre, de l'émotion ou comme conséquence d'une hyperthyroïdie, d'une insuffisance

l’immaturité multifactorielle et fait intervenir des structures broncho-pulmonaires, comme la facteurs toxicité de l’oxygène et les Baro- et volo traumatismes liés à la ventilation en pression positive. La physiopathologie des apnées-bradycardies est complexe et fait intervenir plusieurs mécanismes plus ou moins intriqués dont le point commun est l’immaturité des différents systèmes intervenant dans la régulation 31 cardiorespiratoire. La maturation progressive de ces systèmes

Signes cliniques et surveillances Sécheresse buccale et des muqueuses. Pli cutané. Perte de poids. Polydipsie. Insuffisance rénale. Diminution de la diurèse. Augmentation de la concentration des urines. Constipation. Hypovolémie : Hypotension. Bradycardie. Trouble de la vigilance. Asthénie. Altération de l'état général. Complications Neurologique : trouble conscience, risque d'hémiplégie dû au bas débit cérébral. Cardio-vasculaire : thrombose veineuse, infarctus, collapsus. Traitements Réhydratation