Bras de la Plaine

Madame F , habite à Marssac sur Tarn , elle a 70 ans , est veuve et , elle vit seule . C'est une dame de taille normale , cheveux courts/bouclés et grisonnants , elle porte des lunettes et elle est très dynamique . Elle habite une maison de plain-pied , avec du terrain tout autour . Elle a un fils qui est marié et deux petits-enfants , ils viennent lui rendre visite très régulièrement . Madame F , aime la couture , les fleurs , cuisiner , depuis peu elle c'est inscrite à un cours

accidents (il se brise les deux bras lors d'une chute sur un chantier). À 19 ans, il est chef d'atelier. Il intègre la Société des Droits de l'Homme (association républicaine) et soucieux de parfaire son instruction. Il fréquente les réunions socialistes, découvre avec intérêt les doctrines de Cabet et adopte donc les idées communistes. Il se met à fréquenter le socialiste Pierre Leroux et, en 1840, se retrouve parmi les meneurs de la manifestation ouvrière de la plaine de Bondy. Après la révolution

5 10 15 20 25 30 35 C’est à l’Afrique que je veux revenir sans cesse, à ma mémoire d’enfant. À la source de mes sentiments et de mes déterminations. Le monde change, c’est vrai, et celui qui est debout là-bas au milieu de la plaine d’herbes hautes, dans le souffle chaud qui apporte les odeurs de la savane, le bruit aigu de la forêt, sentant sur ses lèvres l’humidité du ciel et des nuages, celui-là est si loin de moi qu’aucune histoire, aucun voyage ne me permettra de le rejoindre

des cris. Les femmes avaient paru, près d'un millier de femmes, aux cheveux épars, dépeignés par la course, aux guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles lasses d'enfanter des meurt-de-faim. Quelques-unes tenaient leurs petits entre les bras, le soulevaient, l'agitaient, ainsi qu'un drapeau de deuil et de vengeance. D'autres, plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières, brandissaient des bâtons ; tandis que les vieilles, affreuses, hurlaient si fort que les cordes de leurs cous

consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). p Quand les fils de novembre nous reviennent en mai  Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet  Quand le vent est au rire quand le vent est au blé  Quand le vent est au sud écoutez-le chanter. "Quant il fait beau, quand il fait chaud, c'est le bonheur." 11 Métonymie : La métonymie consiste à désigner

France de Vichy « Travail, Famille, Patrie ». Ce tableau s’oppose complètement aux arts dits dégénérés comme étaient qualifiés les tableaux d’Otto Dix. Cette scène est située dans un décor rustique (paysan). On voit au loin une vaste étendue de plaines où apparaît un petit village. On voit au premier plan 6 personnages bien portants et au physique agréable. Ils constituent une famille paysanne allemande : les deux filles, le fils, le père, la mère et la grand-mère. Citez sur la feuille suivante

gauche figurent des barbelés et des silhouettes anonymes, non identifiables : ce sont les prisonniers à perte de vue. A droite, en noir, le crématoire et en dessous, les travaux quotidiens exigés des prisonniers. L’avant plan : On retrouve à gauche le bras d’un personnage habillé de noir, dans l’uniforme SS classique, à la seule différence que pour le rendre identifiable encore plus aisément, l’artiste a abaissé l’insigne situé sur les épaulettes jusqu’à la manche visible sur le tableau. La tête de mort

de soins L’USLD (unité de soins longue duré) accueille et prend en charges des personne âgées de plus de 60 ans nécessitant : un suivi médical rapproché et des actes médicaux, ainsi qu’une présence médicale et paramédicale continue. Construite de plain-pied elle comprend 60 chambres réparties en deux ailes « le lagon » et « la galice «  Nous trouvons uniquement des chambres simple, chaque chambre est équipée d’une salle de bain ou nous pouvons trouver : un lit médicalisé à hauteur variable, d’une

rencontra était un immense nid de verdure, des feuilles et encore des feuilles, des charmilles impénétrables coupées par de majestueuses avenues. La mousse, ivre de rosée, s’y livrait à une débauche de croissance ; les églantiers, allongeant leurs bras flexibles, se cherchaient dans les clairières pour exécuter des danses folles autour des grands arbres ; les grands arbres eux-mêmes, tout en restant calmes et sereins, tordaient leur pied dans l’ombre et montaient en tumulte baiser les rayons d’été

clan féminin. On voit ici une opposition symétrique entre les hommes et les femmes par l’opposition des termes « drapeau » et « étendard » (l.3 et 10) qui désigne le même objet. Pour les femmes, avec leurs enfants, elles tiennent le deuil dans leurs bras alors que pour les hommes, avec la hache, ils tiennent la vengeance. Cette masse et cette grève ouvrière viennent à être transfigurer ou transposer sur des personnages et événements s’y assimilant ou s’y opposant. En effet à partir de la ligne