Bras-mort

26 avril 1937 par l’Aviation Allemande envoyé par Hitler pour soutenir les nationalistes de Franco. Picasso apprend l’événement par les journaux le 30 avril, Il souhaite exprimé l’horreur qui à fait sombrer l’Espagne dans un océan de douleur et de mort par ce tableau qu’il nommera Guernica. Il commença ses esquisses le 1er mai, Puis la toile aura 8 états avant la fin du tableau le 4 juin. Picasso à voulut interpréter toute l’horreur que les espagnols éprouvèrent, certes d’un style particulier, qui

non, qui dit : je vous attends Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s'ensommeillent, leurs pianos sont fermés Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit Et s'ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide C'est pour suivre au soleil l'enterrement d'un plus vieux, l'enterrement d'une plus laide Et le temps

morts hors des villes ! Grand-papa se penchait, Là, le doigt sur la tempe, Sœur faisait du crochet, Mère montait la lampe. Les morts C'est discretÇa dort Trop au frais. Vous avez bien dîné, Comment va cette affaire ? Ah ! les petits mort-nés Ne se dorlotent guère ! Notez, d'un trait égal, Au livre de la caisse, Entre deux frais de bal : Entretien tombe et messe. C'est gai, Cette vie ; Hein, ma mie, Ô gué ? Mesdames et Messieurs, Vous dont la sœur est morte, Ouvrez

arrêté. Pour aider Morin, le journaliste Labarbe se rend chez l'oncle de la jeune fille, afin de lui demander de retirer sa plainte. C'est alors qu'il séduit lui-même Henriette, puis repart, l'affaire ayant été réglée. Des années plus tard, après la mort de Morin, Labarbe rencontre Henriette en compagnie de son mari. Ce dernier lui rappelle alors, en toute bienveillance, l'affaire de ce cochon de Morin. La folle : En un seul mois, une jeune femme voit mourir son mari, son père et son enfant nouveau-né

planches on a pu faire des attel pour les jambes, bras, casser! Les gens arriver de partout il faisait des km pour avoir des soins! on voyer les os qui ressortait, des crânes qui était ouvert j’ai même vue un bout de cerveau c'était l'horreur!!!on m'amène un enfant qui avais reçu une tolle sur la tête, je le prends dans mes bras pour lui faire des soins, je lui met un bandage mais la, la mort était dans mes bras! ce petit venait de mourir dans mes bras! l'horreur! Dans ma tête pas le temps de craquer

VIPERE AU POING I) Le livre parle de Brasse bouillon (Jean) et de ses deux frères Ferdinand (chiffe molle) et Marcel (Cropette) qui est né en chine. Ils sont dans une famille un peu riche, habitent dans un château appelé « La belle Angerie ». Ils sont élevés par leur grand-mère Marie car leurs parents sont en chine à cause du travail de leur père. Quand la grand-mère meurt, les parents reviennent avec Marcel et c’est à ce moment là que leur mère va leur faire vivre un enfer, en les privant

crucifixion. Regards : L'ensemble des regards se concentrent sur le Christ mort sur la croix, à part ce lui de Marie, maintenant son regard sur le sang de Jésus, coulant au sol, Cependant, les regards des personnages semblent être très différents et révèle l'aspect temporel et historique du tableau. Dans un premier temps, nous avons Jésus qui se déclare mort (ses yeux ne sont pas fermés, ses lèvres sont bleuies, par une mort par asphyxie), la vierge ainsi que Marie Madeleine, tristes et pleines de

externe du noyé frais(submersion) 10-diagnostic du confinnement Médecine Légale BEO , P6 : ( étant donné qu'on ne peut garder le sujet , je ne peux vous donner au mot prêt ) Théorie : Patient retrouvé mort sur la voie publique , avec stigmates inguinaux sur l'avant du cou , lesions sur les avants bras et les mains , vous avez été réquisitionné par l'OPJ : 1 - Definir la réquisition 2 - Etapes de la levée de corps 3 - L'examen externe du cadavre comporte lui même 3 étapes , citez les 4- Quelle est

brûles ! Car le mot qui sera à la fin du poème, plus que le premier sera proche de ta mort, qui ne s'arrête pas en chemin. Ne crois pas qu'elle aille s'endormir sous des branches ou reprendre souffle pendant que tu écris. Même quand tu bois à la bouche qui étanche la pire soif, la douce bouche avec ses cris doux, même quand tu serres avec force le noeud de vos quatre bras pour être bien immobiles dans la brûlante obscurité de vos cheveux, elle vient, Dieu

pouvais pas dormir. L'atmosphère était étouffante, l'orage menaçait, je commençais à me sentir mal à l'aise ; à côté, ma sœur, Marine, gémissait dans son sommeil. Quant à mon père, ses ronflements faisaient trembler la maison ! Seulement, mon père était mort depuis deux mois d'un cancer... Qu'était-ce-donc que ce bruit ?! Je tendais l'oreille, tentant d'en saisir la provenance... On aurait dit que le bruit venait de partout à la fois, que la maison respirait, c'était à en devenir folle ! Soudain, au deuxième