Brassaï

siglet sur un mur et en marquer ainsi les murs ou plutôt l'espace urbain afin de communiquer à l'aide des mots ou des images. Non officiel par son non-conformisme, cet art est considéré d'abord comme bâtard. En effet, le photographe et essayiste Brassaï qualifie déjà en 1933 les graffitis « d'art bâtard des rues mal famées ». La particularité de cet art est qu'il se déploie dans l'espace public, s'affiche au grand jour et est donc accessible à tous. Le sujet du graffiti est vaste et varié, cependant

siglet sur un mur et en marquer ainsi les murs ou plutôt l'espace urbain afin de communiquer à l'aide des mots ou des images. Non officiel par son non-conformisme, cet art est considéré d'abord comme bâtard. En effet, le photographe et essayiste Brassaï qualifie déjà en 1933 les graffitis « d'art bâtard des rues mal famées ». La particularité de cet art est qu'il se déploie dans l'espace public, s'affiche au grand jour et est donc accessible à tous. Le sujet du graffiti est vaste et varié, cependant

2. Sur cette question voir Elizabeth Lapovsky Kennedy, Madeleine D. Davis, Boots of Leather, Slippers of Gold : The History of a Lesbian Community, New York, Penguin, 1993. 3. Colette, Le Pur et l’impur, [1941], Paris, Hachette, 1971. 1. Brassaï, Le Paris secret des années trente, Paris, Gallimard, 1976. 71 VS75-61-74 Page 72 Jeudi, 27. octobre 2005 8:15 08 Florence Tamagne Pour sa part, il défendait l’idéal du Männerbund, l’état viril, célébrait la pédérastie comme la plus haute

inscrire son œuvre sur des murs afin d'impressionner une femme dont il était follement amoureux, puis devient populaire grâce à la couverture médiatique de son œuvre. A la fin des années 70, vint le début de la reconnaissance du graffiti et cela par Brassai qui rédigea un livre nomme: graffiti. Le tag (signature du graffeur) commence à se rependre de plus en plus à New-York, et dans les métros, trains, bus, voiture. Cette forme de signature est anonyme et chaque graffeur choisissait son pseudonyme par

en marquant les quarts d'heure, D'un son grêle berce l'ennui. - 3 - Tout demeure ainsi que tu l'aimes Dans ce coin par toi dédaigné Mais si ton parfum flotte même Ton dernier bouquet s'est fané Date : 1941 Interprète : Léo Marjane et Brassai Source paroles : http://www.paroles-musique.com/paroles-Andre_Claveau-Je_Suis_Seule_Ce_Soir-lyrics,p17456 Source chanson : http://www.youtube.com/watch?v=via0kHcEV1A ------------------------------------------------- Chansons après 1960

promotion de la photographie en France et à l'étranger. Dans ses Galeries, la Fnac est le lieu de rencontre privilégié des photographes et du grand public. Sur ses cimaises, la Fnac présente un panorama très vaste de la photographie contemporaine : Brassaï, Man Ray, Erwin Blumenfeld, Henri Cartier-Bresson, Robert Capa... 13 De plus, à la présentation des tendances actuelles initiées par William Klein, Raymond Depardon, Max Pam, Paulo Nozolino, Martine Voyeux, Nick Waplington… elle inclut la découverte

quoi manger, un homme qui n'a pas mangé depuis trois jours, un veilleur de nuit), femmes (une « fille d'acier », une femme qui affirme avec défi son individualité). La couverture de l'édition originale, composée à partir de la photographie, par Brassaï, d'un mur couvert de graffiti, suggérait que la poésie de Prévert appartenait à la rue et puisait dans le monde de l'enfance rebelle, de la chanson et de la ritournelle, où l'expression authentique remonte à un stade langagier qui précède l'écriture

grandes capitales de l’art ne sont autres que Paris et New- York qui attirent au fils des années un grand nombre de photographes étrangers venus tenter leurs chances sur les deux grands temples artistiques. (Robert Capa, André Kertész, et Gyula Halász Brassaï...) Les deux numéros spéciaux « photographie » sortent sur le magasine « Arts et Métiers » donnant ainsi sa place à la photographie dans le milieu artistique. d. La naissance de la photographie artistique dans l’art contemporain La photographie

l‟ordre de présentation des photographies pour définir un sens et un rythme ? La volonté artistique du photographe peut être changé par les choix du typographe. Michel Dupré le révèle : « on constate que l‟arrangement de la réalité par le Hongrois (Brassaï) est à son tour modifié par l‟arrangement de l‟éditeur : la présence contiguë des autres photographies. »37 La contiguïté des photographies dans un livre ordonne un nouveau sens. Notre regard est obligé d‟associer les images en essayant de définir

long du livre, relève tantôt du récit autobiographique, tantôt de la réflexion théorique pour finir sur le genre épistolaire. Comme dans “Nadja”, la fonction descriptive est dévolue à l'illustration photographique, due en grande partie à Man Ray, Brassaï et Dora Maar. Commentaire André Breton célèbre l'amour des rencontres insolites, des coïncidences, de ces instants où les choses prennent un sens : «Aujourd'hui encore je n'attends rien que de ma seule disponibilité, que de cette soif d'errer à