Brighella

créé une vaste galerie de personnages de convention, dont chacun, reconnaissable au costume et à la silhouette, est l'incarnation d'un vice ou d'un ridicule humain. Exemples de personnages : Arlequin, Pierrot, Scaramouche, Le Docteur, Pantalon, Brighella, Truffaldin, Beltrame, Mezzetin, Capitan. Revêtus de costumes de fantaisie et apparaissant sans masque, les personnages féminins (Colombine, Isabelle, Silvia) sont toujours plus gracieux que burlesques (Pt Robert 2). La comédie classique, XVII°-XVIII°

Parmi les principaux types de personnages, on trouve Arlequin : pauvre, son costume est entièrement rapiécé. Le Docteur est le père des savants ridicules. Il est célèbre pour ses interminables discours dépourvus de sens et son latin de cuisine. Brighella est le père des valets de comédie, intrigants. Il adore combiner les mariages. Le Capitan est un soldat fanfaron qui ne parle que de se battre mais qui finit toujours par encaisser coups et insultes. Pantalon est un vieil avare et ridiculement amoureux

 elle a créé une vaste galerie de ​ personnages de  convention​ , dont chacun, reconnaissable au costume et à la silhouette, est l'incarnation d'un vice ou  d'un ridicule humain.    Exemples de personnages : Arlequin, Pierrot, Scaramouche, Le Docteur, Pantalon, Brighella,  Truffaldin, Beltrame, Mezzetin, Capitan. Revêtus de costumes de fantaisie et apparaissant sans  masque, les personnages féminins (Colombine, Isabelle, Silvia) sont toujours plus gracieux que  burlesques (Pt Robert 2).    La comédie classique​

favorite characters of 17th– and 18th–century European theatre. ▪ Arlecchino was the most famous. He was an acrobat and a wit, childlike and amorous. He wore a cat–like mask and motley colored clothes and carried a bat or wooden sword. ▪ Brighella, Arlecchino's crony, was more roguish and sophisticated, a cowardly villain who would do anything for money. ▪ Il Capitano (the captain) was a caricature of the professional soldier—bold, swaggering, and cowardly. ▪ Il Dottore (the doctor)

scénario élémentaire décidé à l’avance. Les personnages utilisent des acrobaties, un comique de gestes, ou bien des plaisanteries sur l’actualité politique. La « commedia dell’arte » influence Molière. Il s’est effectivement inspiré d’Arlequin et de Brighella pour créer la comédie « Les Fourberies de Scapin », ou de pantalons de personnages pour ses personnages âgés et avares comme « Harpagon » dans « l’Avare ». d. Quel est le but des Romantiques en inventant le drame ? Les Romantiques en

 comme  dans  l’extrait  proposé.  Son  nom  vient  de   l’italien   «  sganarre  »   qui   signifie   «  dessiller,   ouvrir   les   yeux  ».   Il   est   le   descendant   français   du   zanni  Brighella  de  la  Commedia  dell’arte.  Il  en  gardé  de  nombreux  traits  :  poltronnerie,  bon   sens,   ruse,   égoïsme,   jouissance,   mais   aussi   ignorance   et   bêtise.   Il   reprend   aussi

franc succès. On retrouve leur trace dans plusieurs cours européennes importantes. Le diable fait place à l’homme du peuple. Dans chaque région, il prend un caractère différent et parle le patois du terroir. Il s’appelle Arlequin, Polichinelle, Brighella... La commedia dell’arte devient un art savant. Elle popularise en les fortifiant des types comiques à la diffusion desquels la renaissance servira puissamment. (Sources : Le théâtre, Bordas, 1980. L’histoire d’un art, le théâtre PEMF, 2001. Wikipédia)

produisit et dont on verra le résultat chez les farceurs du début du XVIIème siècle. ». Dans la farce des bossus, nous voyons se dessiner des personnages types empruntés à la commedia dell’arte. En effet, nous pouvons aisément assimiler Grattelard à Brighella. Ce-dernier est, dans la tradition italienne, un valet bouffon capable de tout. Il est généralement rusé, arrange les mariages et manipule ses maîtres. Mais Grattelard, est loin d’être rusé. Pour quelques sous il va se faire duper plusieurs fois

(valets du petit peuple) : Arlequin (joyeux, gourmand, paresseux, naïf au début devient vif et rusé plus tard, symbole : la fantaisie et la vie), Scaramouche (le versant méchant d’Arlequin), Mascarille (fripon, intrigant, maître en fourberies), Brighella (l’aubergiste, symbole : la ruse), Polichinelle (bossu, malin, symbole : la fourberie), Pierrot (distrait, naïf devenu rêveur, symbole : honnêteté)… • les vieillards (citadins les plus extrêmes) : Pantalon (marchand riche et avare, s’amourache

par Catherine de Médicis et qui y avaient fait triompher la commedia dell'arte. Cet art, originaire de Bergame, était surtout bâti sur le mime et le comique de situation. Les comédiens interprétaient des personnages génériques immuables (Arlequin, Brighella, Pantalone...) sur de simples canevas qui laissaient toute latitude à leur improvisation. On sait que Molière en fut considérablement influencé. Au XVII° siècle, les comédiens italiens, promus "Comédiens du Roi", avaient fini par être expulsés en