Britannicus Registre Tragique

diffusion de l’imprimerie, le roman bénéficie d’un public plus large qui devient lecteur plus qu’auditeur. Les œuvres majeures sont les romans satiriques de Rabelais (Pantagruel, 1532, Gargantua, 1534, suivis de trois autres Livres) qui traitent dans un registre burlesque les thèmes majeurs de l’humanisme : éducation, religion, guerre. L’essentieL du Cours œuvres clés : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse Le récit de Mme de Lafayette s’ancre dans l’histoire réelle, le xvie siècle, sous

l’imprimerie, le roman bénéficie d’un public plus large qui devient lecteur plus qu’auditeur. Les œuvres majeures sont les romans satiriques de Rabelais (Pantagruel, 1532, Gargantua, 1534, suivis de trois autres Livres) qui traitent dans un registre burlesque les thèmes majeurs de l’humanisme : éducation, religion, guerre. 6 œuvres clés Définition(s) et évolution du genre romanesque du xviie siècle à nos jours xviie  : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse

l’imprimerie, le roman bénéficie d’un public plus large qui devient lecteur plus qu’auditeur. Les œuvres majeures sont les romans satiriques de Rabelais (Pantagruel, 1532, Gargantua, 1534, suivis de trois autres Livres) qui traitent dans un registre burlesque les thèmes majeurs de l’humanisme : éducation, religion, guerre. 6 œuvres clés Définition(s) et évolution du genre romanesque du xviie siècle à nos jours xviie  : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse

les exploits historiques ou mythiques d'un héros ou d'un peuple. Le mot lui-même est issu du grec epos (récit ou les paroles d'un chant), et poiein (faire, créer) désignant "l'action de faire un récit". On parle également de tonalité épique, ou de registre épique, pour des œuvres non poétiques, ou des poèmes brefs dont le style et la thématique sont proches de l'épopée. Par ailleurs de nombreux textes, poèmes ou romans, ont pu être dits épiques en raison de leur dimension fondatrice ou de leur importance

comme pour chacun , le passage obligé par l’apprentissage au Collège et au Lycée des grands classiques de la littérature théâtrale française. Ce fut pour moi, à la différence des autres élèves de la classe, le bonheur immense de jouer l’Avare ou Britannicus, durant les fêtes de fin d’année. Je me souviens d’avoir épouser l’affreux dilemme de Chimène , d’avoir compati à la douleur de Cyrano, de prendre le parti intégral de Rosine dans les Femmes savantes, de m’être insurgée contre la machisme de Don

l’empereur Caligura lui apparut comme un tyran d'une espèce relativement rare, c'est-à-dire un tyran intelligent, aux mobiles à la fois singuliers et profonds, le seul à avoir tourné en dérision le pouvoir lui-même. En lisant I'histoire de ce grand et tragique empereur histrion, il le voyait déjà sur une scène. Il nota dans ses carnets qu'il projetait d'écrire ‘’Caligula’’ pour la troupe du ‘’Théâtre de l’Équipe’’. La première esquisse de la pièce datait de 1937, alors qu’il avait vingt-quatre ans :

nouvelles technologies. EXPOSÉS La guerre et la littérature engagée L’élève peut prendre appui sur les textes qui figurent dans le manuel (Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, (p. 235 ES/S et Techno / p. 237 L/ES/S) ; Robert Desnos, « Ce Cœur qui haïssait la guerre », (p. 241 ES/S et Techno / p. 243 L/ES/S) ; Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, (p.  430 L/ES/S)  ; Voltaire, Dictionnaire philosophique portatif, (p.  464/476 ES/S et Techno / p.  584/596 L/ES/S); Voltaire, Candide, (p.  470 séries technologiques)

L’enjeu de la parole théâtrale contemporaine revient à sa capacité de croiser la réalité et de la faire surgir dans plusieurs endroits du discours des personnages. Elle nous donne à voir et à entendre des situations possibles dont la parlerie relève du registre du quotidien. 12  Cité par Emile Copfermann dans Le théâtre populaire, pourquoi ?, Ed. François Maspero, « Cahiers libres 69 », Paris, 1965, p. 59. 13 DORT, Bernard, Théâtres, essais, Ed. du Seuil, Coll. Points, Paris, 1986, p. 277. 11

que Sganarelle réclame son salaire perdu (acte V). 1re représentation : Dom Juan est créé le 15 février 1665 au théâtre du Palais-Royal, la plus grande salle parisienne. Molière joue Sganarelle, le jeune La Grange, Dom Juan. Si l'on en croit les registres de compte de la salle qui nous sont restés, la pièce remporte un très grand succès. Mais elle est censurée dès le deuxième jour et disparaît de l'affiche après la relâche de Pâques, c'est-à-dire au bout de quinze représentations seulement. BIOGRAPHIE

mise en scène Andreï Serban, Le Bourgeois Gentilhomme et Les Fourberies de Scapin de Molière, mise en scène Jean-Louis Benoît, Le Malade imaginaire de Molière, mise en scène Claude Stratz, Amphitryon de Molière, mise en scène Anatoli Vassiliev, Britannicus de Jean Racine, mise en scène Brigitte Jaques-Wajeman, Le Cid de Jean Racine, mise en scène Brigitte Jaques-Wajeman. Parallèlement, il a joué sous la direction d’Olivier Py, Julie Brochen, Catherine Anne. Claude Plet Scénographe Depuis 1978