Brocéliande

|A Carduel, en Galles |dans une lande, à la sortie de la forêt de | |Lieux | |Brocéliande (Bretagne) | |Les indications spatio-temporelles précises servent à donner une illusion de réalité. | |Qui ? |Arthur

devenu clandestin, et organise un réseau de résistance. Il fait paraître sous le manteau des poèmes où se conjuguent, par l'assimilation de la France à la femme aimée, patriotisme et élans amoureux (le Crève-Cœur, 1941; les Yeux d'Elsa, 1942; Brocéliande, 1942; le Musée Grévin, 1943; la Diane française, 1945). Cette poésie, de forme classique, donne une grande importance à la rimePrécis de notions. Certains textes ont été mis en musique (« Il n'y a pas d'amour heureux », chanté par Brassens). À

de nombreux érudits dont certains celtomanes défendent l'identité celtique de la Bretagne, par probable réaction à la perte d'autonomie de la région après la Révolution. Des toponymes légendaires s'ancrent définitivement dans le territoire. La Brocéliande des romans arthuriens est placée dans la forêt de Paimpont, avec le tombeau de Merlin et le Val sans retour. La ville engloutie d'Ys est imaginée au large des côtes de Douarnenez. La publication du Barzaz Breiz de La Villemarqué en 1839 entraîne

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| |directement associé à un objet de propreté » | |Historique succinct : « le parfum n’est pas une découverte du XVIIème siècle », « Â Brocéliande…les dames d’honneur de la cour, .distillation de l’eau | |de rose » ; « …1328..reine Clémence de Hongrie…à sa mort…plusieurs pommes d’ambre », « …1428—inventaire du Château de Beaux…recense une boistelette | |d’argent en quoy a du musquet »

qu'Esclados le vainquit. La reine Guenièvre, réveillée et attirée par l'histoire, l'écoute. Puis Arthur, lui aussi attiré par l'histoire, y prête l'oreille. Yvain décide de venger Calogrenant avant Arthur et sa cour, et part en cachette dans la forêt de Brocéliande. Arrivé à la fontaine, il combat ainsi le chevalier Esclados. Celui-ci, touché à mort s'enfuit. Yvain le poursuit et se trouve bloqué dans le château. Grâce à une servante, Lunette, qui lui donne un anneau d'invisibilité, Yvain réussit à échapper

terrible qu’il croit mourir. Quand la tempête se calme, le gardien de la fontaine arrive. Il provoque Calogrenant en duel et le bat. Honteux de sa défaite, Calogrenant retourne alors chez le seigneur qui l’avait hébergé. Note : 1- la forêt de Brocéliande : actuelle forêt de Paimpont, en Bretagne centrale ; tu peux marcher sur les pas des chevaliers et découvrir l’emplacement supposé de la fontaine de Barenton dont on parle dans le résumé ainsi que d’autres lieux, non moins magiques. Voir « Le coin

roman et en octosyllabes. Puis vers 1160, le mot « roman » désigne un récit d’aventures merveilleuses vécues par des personnages héroïques. Yvain est un roman Breton, de « la matière de Bretagne », car c’est dans cette région, dans la forêt de Brocéliande, que se déroule son action. Lire et expliquer la fin du chapitre I, pour faciliter l’entrée des élèves dans le roman. Séance 2: OL : Les temps du récit Extraits d’Yvain, ed. « Médium », Ecole des Loisirs | [Le roi Arthur] régnait alors

l’intemporalité s’illustre par la répétition des mythes énoncés plus tôt. En effet, les « chênes fatidiques » (ligne 31) correspondent à « la noire forêt des Ardennes » et  « la fontaine remplie de sable » renvoie à l’histoire de Merlin dans la forêt de Brocéliande. La répétition de ces mythes montre que les lieux mystiques ne sont pas soumis au temps et que leur aspect extérieur est insignifiant par rapport à leur pouvoir. Ainsi, la tonalité laudative embrasse l’ensemble du texte afin de faire l’éloge des

devenu clandestin, et organise un réseau de résistance. Il fait paraître sous le manteau des poèmes où se conjuguent, par l’assimilation de la France à la femme aimée, patriotisme et élans amoureux (le Crève-Cœur, 1941 ; les Yeux d’Elsa, 1942 ; Brocéliande, 1942 ; le Musée Grévin, 1943 ; la Diane française, 1945). Cette poésie, de forme classique, donne une grande importance à la rime. Certains textes ont été mis en musique (« Il n’y a pas d’amour heureux », chanté par Brassens). À la Libération