Bronchiolite

cellules géantes et des cellules épithélioïdes (macrophages qui se sont transformés), c’est-à-dire une variété de globules blancs destinés à l’absorption et à la digestion des corps étrangers entrant dans l’organisme (poussières, microbes, etc.).) • Bronchiolite (Inflammation aiguë des bronchioles, susceptible d’évoluer vers des difficultés respiratoires importantes) Contrôle et sévérité : La gravité se constate à partir d’un état clinique à un moment donné. Elle apprécie souvent l’intensité un événement

autorisée à donner un antipyrétique (paracétamol) en attendant le médecin ou les parents en se référant à l’ordonnance médicale (attention au poids de l’enfant !) En cas de maladie de l’enfant (gastro-entérite, de conjonctivite sans traitement, de bronchiolite = maladies très contagieuses), l’assistante maternelle se réserve le droit de ne pas accepter l’accueil de façon ponctuelle . Quelles sont alors les possibilités d’accueil pour l’enfant ? - le papa ou la maman - autre assistante maternelle

l'extérieur de l'arbre respiratoire. Des cellules immatures trop fréquemment exposées risquent d'être définitivement abîmées. L'irritation des bronches liée aux polluants favorise également l'apparition de crises d'asthme et aggrave les lésions de la bronchiolite virale chez le nourrisson. Limiter l'exposition à la pollution extérieure Si vous habitez en ville, ne privez pas pour autant bébé de sa promenade quotidienne. Cependant, évitez les sorties pendant un pic de pollution, surtout aux heures de pointe

risques : masque de soins ou chirurgical : en cas de risque de projection de liquides biologiques, de gestes à haut niveau d'asepsie, de kinésithérapie respiratoire, aspiration bronchique et pose de sonde nasogastrique chez un nourrisson atteint de bronchiolite ; masque FFP 1 : en cas de tuberculose bacillifère ; masque FFP 2 : en cas de tuberculose multirésistante, lors d'une expectoration induite, de syndrome respiratoire aigu sévère, de grippe aviaire. Vaccinations Dans ses recommandations, la HAS

inspiré • Difficulté d’alimentation • L’air inspiré n’est plus réchauffé et filtré • Émission d’odeur • Ventilation nasale difficile (six semaine) 68 L’instillation nasale - Instillation et non lavage : conférence de consensus sur la bronchiolite - Préparation au technique de moucher, aspiration nasale et tétée - Change le caractère de la sécrétion: +fluide et – adhérente (mobilisation ++) 69 L’instillation nasale • - sérum physiologique à 0,9 % et tt ambiante, dose de 5/10

inappropriée de cytokines dans la grippe maligne Fréquence des signes cliniques de la grippe Grippe B Fièvre à 38° C et + Toux Début brutal Céphalées Asthénie Courbatures Fièvre ≥ 39° C Rhinite Frissons Pharyngite Troubles digestifs Expectoration Bronchiolite Otite 91 % 81 % 80 % 77 % 73 % 72 % 70 % 68 % 62 % 55 % 17 % 15 % 2% 2% Grippe A 89 % 83 % 85 % 74 % 72 % 72 % 69 % 67 % 67 % 50 % 15 % 18 % 6% 4% Autres virus 78 % 66 % 81 % 68 % 68 % 68 % 54 % 57 % 62 % 50 % 16 % 15 % 7% 4% Source : Groupes

cadre de la prévention des maladies professionnelles ou encore afin de former le personnel manipulant des charges importantes. La masso-kinésithérapie concerne également les techniques de kinésithérapie respiratoire des nourrissons atteints de bronchiolite, pour aider à l'expulsion des mucosités, et la réalisation d'une contention élastique (strapping), souple (soutien du bras, bandage coude au corps) ou rigide (corset pour immobilisation du rachis). Cette discipline comprend la rééducation de presque

Surveiller la présence d’autre maladie, ou une malformation non observée (atrésie œsophagienne, division de paltines...) 2- Les anomalies observées :13  L’anémie, Le diabète.  Les infections néonatales.  La méningite.  Thrombophlébite.  Les bronchiolites, L’asthme.  Septicémie.  Les convulsions.  BAV (broncho-alviolite).  Diarrhée…1415 Plan de soins ; KHALOUKI MOUHSSINE ; 1 er Plan de soins 1) Recueil des informations 1) Identité ;  Nom et prénom : Fille de AHLAME  Age :2 semaines

exclusivement chez des patients tabagiques. Toxicomanie Quelle que soit la voie d’administration, les drogues ou leurs produits de coupe (silice, etc …) peuvent induire des PID aiguës ou chroniques : − granulomatoses chroniques (toxicomanies IV) − bronchiolites (cannabis) − pneumoconiose (cocaïne) − hémorragies intra-alvéolaires (cannabis, cocaïne poudre ou crack) − œdème pulmonaire lésionnel (héroïne) Prises médicamenteuses (l’histoire détaillée des prises médicamenteuses est indispensable) Le

Réussir ses MSP - La démarche de soins•Méthodologie • Exemples commentés • Exercices corrigés •Conseils bonus FRÉDÉRIQUE JAQUET 3 e ÉD IT IO N Auxiliaires de puéricultureFrédérique Jaquet Auxiliaires de puériculture Réussir ses MSP La démarche de soins 3e éditionÉditions ESTEM 4, rue de la Michodière – 75002 Paris Tél. : 01 72 36 41 60 – Fax : 01 72 36 41 70 E-mail : info@estem.fr ISBN : 978-2-84371-816-8 © 2015, Éditions ESTEM Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, faite