Bruit

MFEZE Michel Ingénieur de conception du génie électrique MFEZE Michel DEA LETS-GETENSP UYI - Octobre 2005 1 Sommaire • Introduction • 1- Canaux Discrets • 2- Canal à bruit additif gaussien • 3- Théorie de la distorsion • 4- Compression de données réversible • 5- Compression d’images • 6- Lutte contre le bruit de canal • Conclusion MFEZE Michel DEA LETS-GETENSP UYI - Octobre 2005 2 Introduction • Deux notions complémentaires sont mises en exergue dans cet exposé. La • •

péjorative de la guerre, on peut le voir dès la ligne 23 « rien que du feu et puis du bruit », « mais alors un de ces bruits comme on ne croirait jamais qu’il en existe », là on voit que le bruit prend une grande partie, il fait surement allusion aux obus qui explosent comme il le dit de nouveau à la ligne 25 « plein les yeux, les oreilles, le nez, la bouche » . On voit que le bruit perturbe beaucoup l’auteur « le bruit est resté longtemps dans ma tête », « les bras et les jambes qui tremblaient » l27

identifiés dans les fiches annexes) Ambiances de travail été environnement Points négatifs Dommages possibles Moyen de protection existant dans l’entreprise (mettre « aucun moyen » s’ils n’existent pas) Améliorations possibles Ambiance thermique Bruit Eclairage Risque chimique Risque électrique Risque incendie explosion Rythmes de travail Ambiances relationnelles PRESENTATION DE LA SITUATION PROFESSIONNELLE A RISQUE SCHEMA DU PRINCIPE D’APPARITION D’UN DOMMAGE Réaliser

premiers films du cinéma) à 1927, il n'y a pas de bande son accompagnant la bande image, il s'agit de films muets. Mais le cinéma muet n'est pas silencieux, les films sont accompagnés de musique jouée in situ ou gravée sur cylindre ou disque de cire, et bruités à chaque séance. La mise au point de sons enregistrés, reproduits en synchronisme avec l'image, a donné au cinéma un nouvel essor. L'arrivée d'un ingénieur du son sur les plateaux a révolutionné les méthodes de réalisation d'un film. 1891 :

moment, selon la séquence dans laquelle on se trouve. Prenons un autre cadre de référence : le rapport entre signal et bruit. Ce que vous percevez d’un signal, c.est la différence de son intensité avec l’intensité du bruit ambiant. Le citoyen, bombardé de messages, vit dans le bruit permanent des médias. En tant qu’homme public, si je parle souvent, je me confonds avec le bruit médiatique. La fréquence rapide de mes interventions diminue considérablement l’intensité du désir de m’entendre et l’attention

les menaces du futur, mais aussi rassurante, protégeant mon anonymat. L’épisode parisien me semble si proche, quelques heures seulement m’en séparent, mais aussi tellement lointain, des milliers de kilomètres… Ma progression continue, rythmée par le bruit des chaussures claquant sur les dalles du sol, quand je distingue au bout de l’ultime hall un intense halo de lumière, telle une promesse. Je me retrouve enfin devant l’imposante porte d’entrée vitrée de l’aéroport, et se dresse devant moi Shanghai…

vicieux. - J’aime les toits parce que je m’y sens puissante. Plus puissante que n’importe qui. Plus puissante que la mort. Je peux décider de sauter ou non. Me révéla-t-elle après de longues minutes d’un silence vaporeux. J’acquiesçais, sans bruit, stupéfait. Il n’y avait rien a répondre a cela. » « - C'est jamais éternel. - On sait jamais - Hm. Jcrois pas en l'amour. C'est pour ça que J'arrive pas a tomber amoureuse. Le mec dont Jtomberais amoureuse, il devra être spécial a m'en faire

danse. Et dans le bruit, je cours et j'ai peur, Est-ce mon tour ? Vient la douleur, Dans tout Paris, je m’abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole. Que d’espérance, Sur ce chemin en ton absence, J'ai beau trimer, sans toi ma vie N'est qu'un décor qui brille, Vide de sens. Je remue le ciel, le jour, la nuit, Je danse avec le vent, la pluie, Un peu d'amour, un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse. Et dans le bruit, je cours et j'ai peur

déclinent harmonieusement. 1) La musicalité du poème Romances sans paroles, « Ariettes oubliées », titres du recueil et de la section signalent déjà leur caractère musical. Ce texte est en effet fondé sur des sensations auditives : il s’ouvre sur « le bruit de la pluie » dont il restitue « le chant » (« ariette » est un diminutif de « aria » en italien qui signifie « air »). L’état d’âme du poète est exprimé par le jeu des sonorités reprises à la rime : l’assonance sourde en « oe » (v.1,2,3,4,7,9,10,12

Sabotage de Souvarine. Le chapitre trois est construit temporairement. La première partie : sous terre. La deuxième partie : à la surface. Négrel décide de descendre et remarque le sabotage. La troisième partie : compte à rebours. L’attente, le bruit, le silence. Distinction du bas - haut. Dans le paragraphe précédent : début de la mise à mort (première secousse). Après la première secousse, le silence s’installe. Note : Cette scène est imaginée à l’ébauche comme le sommet de l’œuvre "J’aimerais