Brume

Exposé : Caspar Friedrich, Le Voyageur au dessus de la mer de nuage ou l'homme contemplant une mer de brume. Caspar David Friedrich a conçu Le voyageur au dessus de la mer de nuage (L’homme contemplant une mer de brume) qui est traduit de l'allemand: Der Wanderer über dem Nebelmeer, en 1818. Ce tableau est une huile sur toile mesurant 98,4 cm sur 78,8 cm et conservé au Kunsthale de Hambourg à Hambourg. Ce tableau est une création personnelle de l'artiste qui pourrait s'inscrire dans le romantisme

Spleen Tout m'ennuie aujourd'hui. J'écarte mon rideau. En haut ciel gris rayé d'une éternelle pluie. En bas la rue où dans une brume de suie Des ombres vont, glissant parmi les flaques d'eau.   Je regarde sans voir fouillant mon vieux cerveau, Et machinalement sur la vitre ternie Je fais du bout du doigt de la calligraphie. Bah! sortons, je verrai peut-être du nouveau.   Pas de livres parus. Passants bêtes. Personne. Des fiacres, de la boue, et l'averse toujours... Puis le soir et

Berlin pour l’exposition « Art dégénéré » avant qu’il ne soit caché des nazi qui auraient pu le détruire. III. Analyse de l’œuvre: On peut observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. Ils racontent une histoire. A gauche dans la brume du matin, on voit les soldats partir au font. An centre on voit la terrible bataille. A gauche, on peut voir la nuit avec des flammes en arrière-plan. Le peintre veut faire passer l'idée du chaos et de la désolation présent sur le champ de bataille

vit. Auteur : Kery James avec Zaho et Grand corps malade Titre : Je m’écris Album : A L'Ombre Du Show Business Date : 31 Mars 2008 [Refrain] (Zaho): Entre le marteau et l'enclume J'ai dus aiguiser ma plume Quand je suis perdue dans la brume Je fais chanter mon amertume Alors j'écris, je crie, j'écris J'ai pas le choix j'écris, je crie, j'écris [Kery James]: Si je ne pouvais écrire je serais muet Condamnés a la violence dans la dictature du secret Submergé par tout ses sentiments

comme la lune". Cette phrase témoigne de l'amour présent et surtout  la présence de l'absence dans ce sonnet. Il y a aussi la mort, "Je reviendrai dans ton alcôve". Ceci montre que la personne est morte, que ce n'est que brume comme le dit Baudelaire. " Et je te donnerai ma brume".  

ciel pâle, s'alanguissait, d'un gris doux et tendre, piqué çà et là de verdures sombres, qui ressemblaient à de larges feuilles de nénuphars nageant sur un lac ; le soleil se couchait dans un nuage rouge, et, tandis que les fonds s'emplissaient d'une brume légère, une poussière d'or, une rosée d'or tombait sur la rive droite de la ville, du côté de la Madeleine et des Tuileries. C'était comme le coin enchanté d'une cité des Mille et une Nuits, aux arbres d'émeraude, aux toits de saphir, aux girouettes

Par exemple, dans les vers 1, 2, et 3, « Tout m’ennuie aujourd’hui. J’écarte mon rideau. En haut ciel gris et rayé d’une éternelle pluie, En bas la rue où dans un brume de suie » avec le champ lexical de l’obscurité « gris, sombre, pluie, brume, suie », Laforgue décrit une atmosphère très obscure et même dense grâce à la « brume de suie ». Mais le champ lexical de la lumière « rayé et éternelle », utilisé dans les même vers, fait de l’atmosphère obscure une atmosphère harmonieuse. Jules Laforgue

poussiéreux du fleuve est en parfaite harmonie avec le nuage âcre et lourd de l'usine de crémation qui trône au-dessus de la vallée. Cette ville est loin de tout. Loin de la mer, loin de la ville, loin de la liberté, loin de l'air même, à cause de la brume qui émane de l'usine de crémation. On est même loin des hommes, parce que c'est une cité qui ressemble à une ville déserte. Déserte et désertée. Peut-être qu'il n'y a personne en réalité, personne dans ces grands immeubles gris aux milliers de fenêtres

un long chemin a Tharros et son nouveau compagnon. Le château de Desperatio était en vue, cependant plus ils se rapprochaient et plus la brume devenait épaisse. Gajeel intervint pour régler ce problème mais il ne pouvait plus continuer sa route avec Tharros, ils firent leur adieux, et le magicien entra en trance avec la nature il ne bougeait plus mais la brume disparaissait et le chemin se voyait de plus en plus. Il ne restait plus que quelques heures avant le grand sacrifice, Tharros entra dans

ce qui rend le centre de la composition très mystérieux, inaccessible. A noter que cette brume est moins visible dans les autres versions du tableau. Conclusion Malgré le fait que le tableau soit composés d'éléments sombres voire menaçants : le ciel, les hauts rochers, les cyprès, la couleur de l'eau . D'une certaine part de mystère, les passagers de la barque dont on ne voit pas le visage et la brume au centre de l'île. Il se dégage quand même une impression de calme, de tranquillité voir