Brume

couvent Santa Maria delle Grazie. Quant à la Bataille d’Anghiari, elle a été commencée sur un mur de la salle des conseils du Palazzo Vecchio. Léonard innove : 1/ Cette technique est appelée enluminure. 2/ cette technique qui donne l’impression de brume est appelée sfumato. 3/ Cette technique est appelée principe de la perspective linéaire. Léonard un génie : 1/ Les disciplines et sont : -la musique construction des armes écrire imagination d’objets les études astronomie invention du théâtre mathématique

commença à gronder. La terre en dessous de mes pieds se mit à vibrer de terreur. Elle grognait et laissait de larges trous noirs sur son chemin, emportant des familles en entier. Le trou que je vis aspira tout sur son passage laissant qu’un feu de brume derrière lui. Le village craquait en mille morceaux. Des fissures le recouvraient en entier. Des incendies le ravageaient. Il ne ressemblait plus à rien. Jetant un dernier regard à ce désastre, je me mis à courir vers la maison. Des images horribles

plus tard. La tour monta dans le ciel, et quand 300 mètres furent atteint, l'ingénieur réunit les ouvriers. S'ils le voulaient, ceux-ci pourraient continuer à travailler avec lui, à élever cette tour bien au-delà des 325 mètres. Enveloppés dans une brume, s'appuyant sur des alliés au ministère, pendant de longues années, tous purent continuer à travailler. Mais un jour vinrent les représentants du gouvernement, qui demandèrent à tous de descendre. La tour fut amputée, et à la hauteur initialement

qu'apparut...(adversaire ) Après avoir chevauché toute la journée, le Chevalier Vert arriva dans une vallée très obscure. Les montagnes qui l'entouraient semblaient hautes jusqu'à toucher les nues. De sombres forêts s'étalaient sur leurs flancs et la brume qui se rependait au fond du val, voilait la silhouette des arbres. Alors que l'hiver approchait, le Chevalier respirait une odeur suave à la note fleurie dans l'air froid. Le Chevalier décida de se reposer dans la vallée. Mais c'est alors qu'apparut

points blancs nous montrent le nombre de soldats. La marche des soldats en directions de la droite nous attire avec. Les couleurs dominantes sont le rouge et le brun : Le rouge pour le ciel, pour signifier un ciel sanglant ou encore les incendies. La brume autour des soldats n’est pas naturelle. Le brun pour la couleur de la terre, des tranchés. Enfin il n’y a pas de visages. Le milieu : Au 1er plan, on voit énormément de cadavres, démontrant le nombre de soldats déjà mort. Les corps sont en voit de

Prénom : Sitsuke Nom : Momochi Age : 11 ans Taille : 1m35 Poids : 40 kilos Yeux : vert jade Cheveux : longs noirs, une frange lui cachant l’œil gauche Élément : Suiton (pour le moment) Histoire : Sitsuke venait du village caché de la brume. De longs cheveux noirs entouraient son visage enfantin, et la petite fille, en l’honneur de sa famille, avait l’habitude de se maquiller un crane sur le visage. Ses beaux yeux verts ressortaient encore plus, ils avaient le même éclat que des pierres

Catherine vit dans «une ville de hauts fourneaux», mais est une jeune fille simple et avenante, au cœur ardent, aux songes enfantins. Elle s'éprend d'un jeune pianiste, Michel, adolescent vieilli, être froid, distant et fou, qui l'emmène dans son «pays de brume et de forêt» où, avec sa soeur, Lia, et Aline, une vieille bonne épisodique, il habite une demeure pleine d'ombre et de souvenirs où deux «chambres de bois», luxueuses mais enfouies dans un «bazar incohérent», sont séparées par un corridor. Elle l'épouse

mère nourrit son enfant, Sido nourrit Colette de son amour de la nature, de la campagne, de son jardin, de ses fleurs : « elle entretenait toute l’année des reposoirs de plantes en pots, géraniums rares, rosiers nains, reines-des-prés aux panaches de brume blanche et rose ».C’est donc elle qui initie Colette au jardinage et aux mystères de la nature. Aux yeux de Colette, Sido a des pouvoirs surnaturels, ce qui fait d’elle une déesse souveraine. Grâce à ses pouvoirs, elle est capable d’offrir à Colette

dans ce contexte particulier que le peintre réalise cette œuvre afin de rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Description : Panneau de gauche : - Des soldats en armes portant un sac a dos marchant dans la brume - Une armée humaine sans visage et sans identité Panneau central : Un unique survivant assiste à la scène dont il est le spectateur Un squelette embroché sur un résidu d'architecture La représentation de ruines Corps déchiquetés

« comme les grandes plaines andalouses ». En rapprochant NY des plaines andalouses connues pour être très vastes, il permet au lecteur de s’imaginer l’immensité de NY. On remarque aussi que JPS parle de « l »horizon » et de « buildings perdus dans la brume », ce qui montre bien que NY s’étend sur tellement de kilomètres qu’il est impossible d’en déterminer les frontières. II) L’auteur a appris à connaître NY  On devine que JPS n’a pas apprécié NY lorsqu’il l’a vue pour la première fois : on imagine