Brume

Le train pris de l’allure et ne fut plus qu’une ombre fuyante piquée d’un œil flamboyant de cyclope. J’arrivais dans un lieu indescriptible, très sombre et au fur et à mesure que j’avançais une sorte de brume très lourde m’empêchait de faire demi-tour. Sans vraiment savoir où j’allais, je m’avançais dans ce lieu mystérieux sans grande crainte. Autour de moi se trouvais des arbres sans feuilles, c’était un chemin bordé de gros cailloux, des bruits étranges me perturbaient dans ma marche

champ où d’habitude paissent sûrement des vaches. Nous apercevons maintenant au loin des lumières de phares de voitures dont les conducteurs essayent de trouver un endroit où laisser leur voiture. Cela est étrange, il fait nuit et dans un halot de brume, nous distinguons des lumières pareilles à des lucioles et toujours cette rumeur au loin qui nous fait penser aux cris d’une bête qui est en train d’agoniser. Nous avançons lentement et trouvons nous aussi un endroit où laisser notre véhicule. Le

mitaines, et sa chancelière de bureau, le dimanche 20 mars, au petit jour, il sortit de la capitale.  Ils atteignirent une route de campagne puis s'arrêtèrent pour faire reposer les chevaux. Pécuchet vit au loin une silhouette étrange et confuse par la brume. Il la regarda attentivement puis appela le conducteur pour venir la voir. Il fut stupéfait lorsqu'il retourna à la voiture ! Tout avait disparut, le conducteur n'était plus là , ainsi que tous ses bagages. Il essaya de regarder au loin mais ne vit

aménagements immobiliers à Paris, un portrait d'une classe sociale dont le clinquant n'a d'égal que sa vacuité. Et de splendides descriptions, comme Zola sait si bien le faire, notamment du Bois de Boulogne, qui se construit réellement sous nos yeux, dans la brume du matin ou dans les ombres du crépuscule. La Curée est un terme de chasse, qui représente les restes de gibier laissés aux chiens. Pour Zola, le produit de la chasse, c'est l'Empire, c'est Paris,soumise aux appétits et aux ambitions de chacun, c'est

ressort parmi les autres. Dès que la maitresse nous adit d’inscrire sur nos carnets « mon premier chagrin », il n’est pas possible que je n’ai pas ressenti…je me trompais rarement … que c’était un «  un sujet en or » … j’ai dû voir étinceler dans une brume lointaine des pépites … les promesses de trésors... J’imagine qu’aussitôt que je l’ai pu, je me suis mise à leur recherche. Je n’avais pas besoin de me presser, j’avais du temps devant moi , mais j’avais hâte de trouver… c’est de cela que tout

sagesse doit prendre le dessus ?n’est pas là que la clairvoyance, le rationnel ,doivent à tout prix prendre le dessus sur le négativisme ,le pessimisme, et effacer cet état d’embrunissements qui souvent envahit les cœurs et les esprits obnubiles par une brume opaque qui vous pousse alors à dire « j’en ai marre ,je suis dégouté il n’y a rien d’intéressant…… Faiblesse de l’être, pourtant de l’essence même de tout être se livre cette bataille éternelle entre le bien et le mal entre l’amour et la haine entre

grâce à un éluant. Soluble : qui peut-être dissous → sucre dans l'eau, sel dans l'eau. Insoluble : qui ne peut-être dissous → farine dans l'eau, sable dans l'eau. Fumée : microparticules solides en suspension dans l'air. Smog : nom donné à la brume brunâtre qui recouvre parfois certaines grandes villes. Un matériau est conducteur s'il laisse circuler un courant électrique → fer, aluminium, zinc... Un matériau est isolant s'il ne laisse pas circuler un courant électrique → plastique (PVC),

manche de Jimmy Page dans « Starway to heaven ». Ensuite le rock psychédélique se caractérise par l'utilisation de psychotropes quasi systématique qui a une influence sur les textes : les drogues influencent les textes, comme la chanson Purple haze (brume violette en français) de Jimmy Hendrix ou alors Lucy in the sky with diamonds des Beatles. Faisabilité des matériaux :Aluminium : Sa masse volumique est de 2,698 g/cm3. Il monte jusqu'à 660,2 °C. On peut le percer, le tourner, le friaser, on

sons (on et an). Sa vision du monde est une vision noire et pessimiste : le paysage urbain qui l'entoure "fiacre, gaz, passants", est plongé dans le noir: "le soir, minuit". Il est sale, humide et procure la nausée : champ lexical : "suie, ombres, brume, ternie", humide " averse, flaque. C'est une triste journée de novembre. Le spleen c'est aussi le désespoir : la notion de solitude apparaît dans le dernier vers et à une place privilégiée par la coupe de l'alexandrin (1-5-6). Les interjections expriment

d’ailleurs le cas d’Otto Dix dans sa peinture mais aussi dans sa littérature. II/ DESCRIPTION 1) Description par plan du tableau Panneau de gauche : Le premier panneau représente des hommes de dos équipés pour la guerre, marchant dans la brume au milieu de ruines, ils sont en route pour le front. Dans cette position, le spectateur ne voit aucuns visages : c’est une armée anonyme. Panneau central : Au premier plan c’est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée