Brume

de la chambre et vacarme extérieur intermittent. « La seule lumière venait du building voisin » (lignes 9-10) « cette nuit écrasée d'angoisse n'était que clarté » (ligne 32) « Au-dessous, tout en bas, les lumières de minuit reflétées à travers une brume jaune par le macadam mouillé, par les raies pâles des rails, palpitaient de la vie des hommes qui ne tuent pas » (lignes 158-161) = Il a donc choisi de commencer son histoire par le récit d'un moment particulier très violent, un meurtre, dont il

le sang, le ciel tourmenté ou les soldats partent combattre, le feu, la violence et la mort. -Panneau de gauche Des soldats en armes portant des sacs à dos et des armes tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume Il est possible d'identifier là , malgré la brume, les armes et les casque portés par les soldats de la guerre de 14-18, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d’un même pas vers le front et ses atrocités. Au dessus de leur

de situation - il est « perdu » et admire le maréchal Ney - il « songe » et fait attention à la terre et à la nature. Il a une origine paysanne et sait comment manier la terre, c’est pour cela qu’il fait attention à la manière dont elle a été brumée. Il a également des temps de rêverie et des temps où il est prit dans l’action. On ne retrouve pas d’évolution, mais une horreur de plus en plus extrême. La description du cheval, par exemple, est une métaphore de la France. « Il n’y comprenait

lumières ,de bassins et des colones, batiments dans le fond. Ce tableau représente donc le tableau 'rêve parisien'. 2) Deuxième poème représentant le monde urbain , 'Paysage'. Dans son poème , Baudelaire utilise un univers urbain réel grâce a la brume et la fumée. Il fait de son poème une ville banale , banalité exprimé par le clochet de l'église , par une ville assez grande qui sera donc bruyante. Nous avons donc choisis le tableau de sureda André-paysage urbain . Ce tableau représente bien

2) Comment s’appelle l’auberge du narrateur ? 3) A quelle époque (siècle) se déroule l’action ? II Les personnages 4) Indique à quelle lettre correspond chaque chiffre : (a) Je souffle dans mon nez comme dans une trompe par temps de brume(b) Il me manque deux doigts(c) Je suis responsable de la sécurité du navire et de la vie de chacun à bord (d) Je suis le quartier-maître(e) Je suis « le maître-coq »(f) Je suis docteur(g) Je suis châtelain(h) Mon père tenait l'auberge de l'Amiral-Benbow 

De ta lame à présent meurtrie par ton sang impur, jaillira de ton corps la partie obscure de tes cauchemars, l'ombre de tes mensonges et de tes péchés. Maintenant que tu sais que tes heures sont comptées, tu devras chevaucher seul l'épaisse brume qui te conduira vers la lumière. Tu devras suivre ton parcours sans l'ombre d'un regards en arrière de ton passé car c'est un chemin sans retour. Tu laisseras malgré tout à ton entourage une mémoire inoubliable de ton incroyable courage sur cette

la fée. L’ampélite de l’eau d’une lame effleurée Au souffle vagabond de rêves en boutures, Efface le dessin des profondes voussures Que le marin toisait de son âme apeurée. Le silence invisible aux murmures des vagues, Hisse un velours de brume aux plis d’un catafalque, Dont les ganses de moire affranchissent les dagues. Au premier franc frisson du bois qui se déchire, La nef et le marin, sous un papier de calque, Croquent l’éternité de la mer en délire. Francis Etienne Sicard, Lettres

Au loin, brillante encore par sa barre d'écume, La mer sans fin, commence où la terre finit ! A mes pieds, c'est la nuit, le silence. Le nid Se tait. L'homme est rentré sous le chaume qui fume ; Seul l'Angélus du soir, ébranlé dans la brume, A la vaste rumeur de l'Océan s'unit. Alors, comme du fond d'un abîme, des traînes, Des landes, des ravins, montent des voix lointaines De pâtres attardés ramenant le bétail. L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, Et le soleil

qui inquiètent : des nuées, de la brume, des tourbillons rougeâtres y circulent comme des signes de la catastrophe qui étend son empire à la nature entière. Dans le panneau de gauche Nous observons des soldats représentés de dos en uniforme portant sac au dos et baïonnettes Il est possible d'identifier là , malgré la brume, les armes et les casque portés par les soldats de la guerre de 14-18 Ils tournent le dos au spectateur et ils marchent dans la brume épaisse comme une armée de fantômes

d’Apollinaire à Londres en septembre 1903. En effet, la « demi-brume » est un indice qui renvoie à cette période de l’année. Au-delà de l’interprétation autobiographique du récit, ce premier vers nous place d’emblée dans une atmosphère irréelle quasi gothique mais aussi louche : « un soir » est une indication temporelle assez vague et, par sa résonnance romanesque, frappe l’imagination. A la différence de « demi-jour », « demi-brume » est une expression inventée qui condense à elle seule cette