Brume

retrouva seul les autres ayant déjà quitté l’hôtel. En regardant ses deux valises au fond du placard, il pensa à prolonger son séjour. Mais il était incertain. Cette incertitude l’accompagna jusque dans une marche qu’il fit sous la pluie et dans la brume le long de la digue. Soudain, il fit la rencontre d’une jeune fille et s’aperçu qu’elle avait les mains parsemées de taches de couleur rouge. Sa première impression fût qu’elle avait certainement cueillit des groseilles ; incertain et intrigué, il

2) a) Les groupes nominaux qui désignent cette nouvelle arme sont: « aube olivâtre », « brume verte », « grand corps mou », « nappe bouillonnante, méthodique, inexorable », « nouvelle cruauté », « Les premiers filets de gaz », « une horrible tâche verdâtre », « le brouillard chloré », « l'horrible mixture ». b) C'est une arme horrible et imbattable. c) L'auteur présente le gaz de plus en plus grave (ligne 1/2: « aube olivâtre », ligne 37: « l'horrible mixture »). Le lecteur ne comprend pas

l'eau, rivière ou mer, qui à tout moment du parcours agit comme miroir du ciel et amplificateur de lumière. Quelques une de ses nombreuses œuvres : Soleil montant de Venise vue depuis l’incendie du la brume la lagune Parlement

l’activite des usines de l’industrie. Le paysage urbain reel demontre aussi un poete observateur depuis sa fenetre et une omnipresence du ciel en utilisant les mots de ce champ lexical: (V2), > (V19), (V17) et au deuixieme strophe il parle de ciel voile (brume, fumée, fleuves de charbon). Bref, Ce poème est un poème de jeunesse et a des influences du romantisme. Le poete arrive a transformer un objet de la vie quotidienne en un objet poétique. Idee 2: Paysage imaginaire 1.1: 1.2: 1.3: Le poète passe

Analyse descriptive Panneau de gauche : des soldats en arment portant leur sac au dos, ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, on ne voit pas leur visage, ils sont sans identité. Panneau central : L'arrière-plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines : restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique, ils n’y a aucune trace de présence humaine. Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée

haute cheminée où quelques flammes veillent  Rougit le plafond sombre, et, le front sur le lit,  Une femme à genoux prie, et songe, et pâlit.  C'est la mère. Elle est seule. Et dehors, blanc d'écume,  Au ciel, aux vents, aux rocs, à la nuit, à la brume,  Le sinistre océan jette son noir sanglot. II L'homme est en mer. Depuis l'enfance matelot, Il livre au hasard sombre une rude bataille. Pluie ou bourrasque, il faut qu'il sorte, il faut qu'il aille, Car les petits enfants ont faim. Il part le soir

fermés, je le sens qui regarde Avec l'intensité d'un remords atterrant, Mon âme vide. Où fuir ? Et quelle nuit hagarde Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant ? Brouillards, montez ! versez vos cendres monotones Avec de longs haillons de brume dans les cieux Que noiera le marais livide des automnes, Et bâtissez un grand plafond silencieux ! Et toi, sors des étangs léthéens et ramasse En t'en venant la vase et les pâles roseaux, Cher Ennui, pour boucher d'une main jamais lasse Les

droit. ConneriesIJeune goinfre CasquetteDe moire,QuéquetteD'ivoire, ToiletteTrès noire,Paul guetteL'armoire, ProjetteLanguetteSur poire, S'apprêteBaguette,Et foire A.R. Les EffarésNoirs dans la neige et dans la brume, Au grand soupirail qui s'allume, Leurs culs en rond,A genoux, cinq petits - misère! -Regardent le boulanger faire Le lourd pain blond...Ils voient le fort bras blanc qui tourneLa pâte grise, et qui l'enfourne Dans un trou clair.Ils écoutent le bon

de souffrance on site la scène en hiver > saison de la mort/vieillesse « souvenirs lointains » fuite du temps + « lentement » langueur 3. Confrontation Ambiance ǂ Chute chaleur « feu qui fume » allitération en [f] carillon > musique gaie « brume » soir > heure du carillon > attire le poète à l'extérieur foyer > à l'abri du froid/monde extérieur/hostile Ambiance rassurante ǂ Chute violente champ lexical de la mort > annonce la mort comme un glas « d'immenses efforts » hyperbole « au bord

la ligne ennemie. A l'arrière-plan, un paysage apocalyptique, pas d'arbres, des maisons détruites et des nuages aux teintes rouges, noirs et grises. Cette scène se passe un matin d'hiver comme peuvent en témoigner les équipements des soldats et la brume matinale. Otto Dix a voulu rendre la paix, montrer les horreurs de la guerre et qu'il était désormais pacifique.