Brutalité

complicité avec le destinataire . « J'enrage comme un chrétiens » : Religion qui n'est pas la sienne . Ligne 15-21 : Gradation de la brutalité des Parisiens . → Ridiculise les Parisiens ( Non pas de manière) . Ligne 17 : « Régulièrement & périodiquement » : Habitude . Ligne 17 à 21 : Le rythme de la phrase avec une succession de verbes symbolise cette brutalité. Ligne 20 : « Je suis plus brisé que si ... » : Hyperbole. Paragraphe 4 : Adresse directe au destinataire . Ligne 24 : «de

disciplinés, symbolisent la brutalité et la barbarie, ils représentent l’obéissance «bête» à des ordres injustes. La lumière met en valeur les victimes, au détriment des bourreaux et l’individu qui se masque les yeux représentent l’horreur des événements. La ville calme, en pleine nuit, représente la ville terrifiée par les actes des soldats. Couleurs : Le blanc de l’innocence et de la pureté vient en opposition avec le rouge du sang qui s’écoule à cause de la brutalité des soldats. L’objectif du

soldat et la nature. Dans les deux strophes, les lecteurs sont présentés un soldat ordinaire, mais qui prend un sens étrange, et de plus en plus d'éléments douteux nous interrogent sur la santé de la soldat, sans pour autant gâcher la brutalité de la révélation finale. Strophe VI: La Découverte Macabre Dans le dernier tercet, Rimbaud illustre l’inactivité du soldat avec le vers « les parfums ne font pas frissonner sa narine » qui installe un climat d’inquiétude pour les lecteurs

présentation efficace du personnage. En effet, l'extrait proposé met Julien en scène dans son contexte familial et fait de lui, immédiatement, un être à part. Le jeune homme oppose sa fragilité, son goût pour la lecture et pour la solitude à la brutalité bornée de ses frères et de son père. Le récit d'une scène violente au cours de laquelle le père rappelle durement son autorité, conduit à une description qui confirme les caractéristiques du personnage et les impressions du lecteur. Le portrait,

saturé situation >>> pourtant, cette scène n'est pas qu'un divertissement III. Le théâtre éducatif : fonction didactique a) une leçon pour les maîtres Brutalité des maîtres et des valets le caractère du langage amoureux, caractère superficiel des maîtres caractères théâtraux du jeu de l'amour b) un autre niveau de critique Brutalité et plaisir des valets avec lesquels les valets donnent des leçons aux maîtres paraissent suspects : la sagesse dont Arlequin se vante traduit de sa part une incapacité

critique et distancié 1) les interventions du narrateur Elles interrompent le portrait par des adresses directes au lecteur, avec une certaine brutalité. « Ne pleurez pas ». Narrateur extradiégétique, c-à-d, un narrateur qui n’appartient pas à l’histoire racontée, qui est au-dessus et n’hésite pas à faire des commentaires sur ce qu’il raconte. La brutalité correspond à un refus de la pitié : emploi de phrases brèves et sans appel avec l’adv « jamais ». A rapprocher de Mathilde elle-même qui n’est

Essais ont été écrits à la fin du XVIème siècle, période marquée par un certain pessimisme. Michel de Montaigne en est l’auteur. Il a commencé ce livre durant la guerre civile. L’extrait du chapitre « Des Coches » que nous allons étudier , dénonce la brutalité des conquêtes européennes du Nouveau Monde. Ce thème prend son importance à son époque puisque depuis la renaissance, les conquêtes de nouvelles terres et les grandes découvertes se multiplient. Nous nous demanderont de quelle façon Montaigne dénonce

vedettes du sport sont adulées puisqu’ils retranscrivent l’idée de l’homme ayant réussi par ses propres moyens «  il se fait un nom par lui-même « . Document 3 : * Sport : traitement brutal de son corps . * Dopage réponse à cette brutalité , permet de faire la différence , de récupérer plus vite , de se maintenir à niveau * Dopage provient du professionnalisme , activité dont on peut tirer des moyens d’existence . * Sport est devenu un élément de mobilisation nationale

françaises et allemandes, a entraîné beaucoup de ravages à cause de sa grande violence, provoquée en partie par l’innovation de l’armement, comme par exemples les balles, dont la forme a été améliorée et a donc provoquer plus de dégâts. Pour montrer la brutalité de cette guerre, nous pouvons prendre l’exemple de Verdun, que les allemands ont bombardé en 1916. Il s’agit de la bataille qui a entrainé le plus de dévastations tout au long de la guerre. En effet, c’est sous une avalanche d’obus, de canons, de

enchainement d’alliance et presque toute l’Europe est plongée dans cette guerre. Il se forme alors deux camps: La Triple Alliance et La Triple Entente. Cette guerre qui débute le 1er Aout 1914 est une guerre d’un genre nouveau d’un point de vu de sa brutalité et de sa violence. C’est ainsi que nous nous demanderons comment les combattants se retrouvent face aux violences de cette guerre. Tout d’abord nous montrerons les types et les formes de violences auxquelles étaient confrontés les soldats. Dans un