Brutalité

Aucun adjectif ne manifeste la pitié, mais dénonce la brutalité même du fait. La relation Maître, Esclave est pleinement affirmée : le rapport de soumission est fortement marqué dans « j'attends mon maître ». De plus, le nom-portrait « Vanderdendur » = « vendeur-dent-dure » accentue l'effet d'une autorité revendiquée et appliquée. Dans le langage prêté à l'esclave, le choix d'un style dépouillé fait particulièrement ressortir la brutalité des faits : « Quand nous travaillons ‘… ) la jambe ». Les

sa mythologie ( le taureau pour la brutalité, la cruauté et le cheval pour le peuple) Cette œuvre représente donc la révolte du peintre. Conclusion : signification du tableau Ce que je peux retenir de cette œuvre est le fait que ce soit une peinture engagée, qui semble vouloir dénoncer, protester contre la guerre d’Espagne et contre les bombardements de la ville de Guernica. C’est une œuvre dans laquelle il y a beaucoup de violence, de drame, de brutalité. C’est un tableau qui frappe, qui choque

rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. C’est la victime innocente, la liberté assassinée. 2) Le guerrier mort gisant sous le cheval : Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Ses yeux renversés indiquent la mort. Il tient à la main une épée brisée, dérisoire pour lutter contre les bombes. Elle symbolise la défaite et l’inégalité du combat. (les républicains étaient en effet moins équipés que les nationalistes)

peu d'espoir sur toute la guerre et ses horreurs. L'homme en bas, tient dans son autre main une minuscule fleur, qui symbolise la fragilité et l'espérance qui demeure faible. Les animaux : En haut à gauche se trouve un taureau, il représente la brutalité et la cruauté dans cette guerre. Il représente les nationalistes qui bombardent la ville. Le cheval quand à lui représente le peuple innocent que sont les républicains, victime de ce drame, il exprime un sentiment de terreur, de douleur et de désespoir

: le barbare c'est celui qui fait preuve de brutalité ou de bestialité  Pour le sens commun le nom "barbare" désigne celui qui est dépourvu de l'ensemble de valeurs  qui permette de qualifier un être d'humain.   Qui est hors de l'humanité est soit un dieu, soit un animal, écrivait Aristote.  Pour nous la plupart du temps ce qui n'est pas humain est souvent de l'ordre de l'animalité ou de la bestialité. Ainsi on associe souvent la violence à la brutalité et la violence à la barbarie. Le barbare c'est

révoltés sont fusillés en plusieurs points de la ville durant la nuit du 2 au 3 mai sur l'ordre du maréchal Murat. 1er plan : 1. La répression : elle est figurée par des soldats faisant dos au spectateur. Unis, et anonymes, ils représentent la brutalité aveugle de la guerre et la répression. 2)le massacre: il est souligné par l'entassement des corps baignant dans leur sang (43 personnes ont été fusillées) . 3)Le personnage central : un martyr à l'image du Christ en croix. La position des bras

actants de ces romans dans leur enfance ainsi que les répercussions apportées dans leur vie. Pour ce faire, j'analyserai la forme de contrôle exercée sur chacun et les échos de cette violence à long terme pour enfin, déterminer s'ils ont géré cette brutalité de façon similaire. Tout d'abord, Patrick et François sont tous les deux contrôlés par de la violence physique. Quant à Patrick, les disciples de l'amour éternel l'ont contrôlé en lui faisant subir de mauvais traitements afin de le punir :

(« commedia dell'arte » ex: Arlequin) résumé de la pièce: un maître et son valet, Iphicrate et Arlequin, échouent sur une île où les esclaves sont maître et réciproquement. Traitement infligé aux maîtres pour leur faire prendre conscience de leur brutalité et les inciter à adoucir l'exercice de leur autorité, présentation de l'extrait: scène d'exposition : présentation de l'intrigue + personnages + cadre spatio temporel. Inversion du rapport maître-esclave Problématique:on montrera en quoi l'intérêt

évoquer sa prostration : "un nègre tendu par terre", comme condamné à végéter à même le sol. Puis son état physique est énoncé avec la neutralité d'un constat : "il manquait ce pauvre homme...droite." Pas d'adjectif qui manifeste la pitié, mais la brutalité nue du fait. La relation maître-esclave est pleinement affirmée par les moyens les plus simples. Déjà, le rapport de soumission est fortement marqué dans le "j'attends mon maître..." Ensuite, le nom-portrait du maître : "Vanderdendur" = "vendeur-dent-dure"

la mort, à la fois la mort des victimes et la mort des civilisations. Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau qui est symbole de la brutalité et le cheval celui du peuple. Les corps démembrés, les visages tordus par la peur ou la douleur et l’esthétique cubiste montrent la brutalité du tableau. On voit la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue et la lance qui transperce le flant du cheval rappelle celle qui blesse la