Brutalité

par Otto Dix entre 1929 et 1932, c'est une oevre engagée. « La guerre », est un triptyque avec prédelle réalisé en tempera sur un panneaux de bois de … cm. Il est exposée à la Galerie Neue Meister de Dresde en Allemagne. Il denonce clairement la brutalité de la guerre. Otto DIX est un peintre allemand, engagé volontaire au début de la première guerre mondiale et qui en est revenu révolté et pacifiste. Il témoigne de son expérience en représentant un champ de bataille où la mort et la peur règnent

aveugles. Elle a aussi […] réveillé en nous, et parfois porté au paroxysme, d’antiques instincts de cruauté et de barbarie. Il m’est arrivé […] à moi qui n’ai jamais appliqué un coup de poing à quiconque, à moi qui ai horreur du désordre et de la brutalité de prendre plaisir à tuer. Lorsqu’au cours d’un coup de main, nous rampions vers l’ennemi, le couteau entre les dents […] la peur nous tenait aux entrailles et cependant, une force inéluctable nous poussait en avant. Surprendre l’ennemi dans sa tranchée

Sa gueule ouverte et sa langue pointue évoquent un cri de douleur. C’est la victime innocente, la liberté assassinée. Sous le cheval, on peut voir un corps démembré et décapité. Il témoigne de la violence et de la brutalité des combats. Il tient à la main, un épée brisée, elle symbolise la défaite et l'inégalité des combats. La fleur, dans sa main, représente un fragile espoir. - La partie de gauche : Sur la partie de gauche

truand des bas-fonds de Paris, en 1830. Nous nous demanderons alors, Ainsi, nous étudierions tout d'abord le portrait paradoxal de Montparnasse, pour se pencher, ensuite, sur les raisons de la brutalité du personnage. L'auteur, dans ce passage, dresse un portrait paradoxal de Montparnasse. En effet, Mont parnasse possède un physique très avantageux. Nous remarquons ainsi que ce jeune homme dispose d'un beau visage. En effet, le narrateur dit:

inédite Quels aspects de la Première Guerre mondiale en font une guerre inédite ? I – La Première Guerre mondiale est avant tout inédite par les moyens utilisés et la violence des combats A. Une guerre menée avec des moyens industriels B. La brutalité de la guerre des tranchées II – La Première Guerre mondiale est surtout singulière car il s'agit d'une guerre totale A. L'implication de la totalité de la société pour l’économie de guerre B. L’Union sacrée et la mobilisation des esprits par la culture de guerre

comportements jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, le MAL reste tout de même relatif différant de chaque perception. Premier argument: Tout d'abord, l'auteur le représente par la BRUTALITÉ. Commentaire : Cela s'explique premièrement avec le combat entre le chien et le reptile, de plus, une forme de brutalité est aussi décrite lors du massacre du cabot, par la main de son maître. Preuve : «Tous deux se mirent à combattre si ardemment[...]que le lévrier fut blessé grièvement, [...]il perdit tant

symbolise la brutalité, la violence et représente les nationalistes. Pour dénoncer la barbarie sauvage des nationalistes, Picasso utilise de nombreux symboles : Tout d'abord, au centre du tableau, la lampe. Cette lampe domine la scène. Elle a la forme d'un œil ce qui peut représenter l'œil du peintre qui souhaite montrer sa perception de l'événement. Elle peut signifier la lueur d'espoir malgré la tragédie de ce bombardement. Le taureau à gauche, est l’incarnation de la brutalité. Il représente

l'Exposition universelle de Paris de juillet 1937 (dédiée au progrès et à la paix). A travers ce tableau, Picasso fit une représentation cubiste où l'horreur des conflits humains (violence, barbarie et guerre) est devenue un symbole universel de la brutalité et des conséquences de la guerre. Il représente cette horreur grâce à l'emploi de formes très crues montrant la cruauté humaine. Les caractéristiques : Guernica est d'une taille imposante (349,3 cm x 766,6 cm). C'est une peinture à l'huile, en

impératif → effet de Perpétuité Ici le Persan nous parle de des logements parisiens → M critique la crise du logement → essor démographique M critique aussi le rythme de vie parisien qui est trop rapide. « Je n’ai encore vu marcher personne », « Brutalité »16 Le persan s’étonne du rythme des parisiens. Mais il s’étonne aussi des dirigeants «  Le roi et son pouvoir » et « le pape et son pouvoir ». « Ce que je dis de se prince ne doit pas t’étonner » → il joue sur l’ironie M nous offre à travers le

éloigné de Mme Argante qui s'enfonce de plus en plus dans la brutalité voire la vulgarité verbale quand elle se rend compte que le mariage qui anoblirait sa fille et par ricochet elle-même lui échappe. Les deux personnages qui assument de ne pas se contraindre dans les règles de la civilité sont Mme Argante ( qualifiée dans la didascalie dès sa première apparition sur scène, I 10, de femme brusque et vaine) et M. Rémy. Leur brutalité se dit explicitement. C'est un des aspects comiques de la