Bruyères

Arias, Caractères de Jean de la Bruyère "Il faut que mes peintures expliquent bien l'homme en generale puisqu'elles ressemblent a tant de particuliers". Publié en 1687, se moque des comptemporain et tente de faire changer les moeurs. Lecteurs reconnaissent des gens a travers les caractères. Arias est la vantardise, il est celui qui prend la parole. *La critique de la vantardise · Arias: un personnage faux et pretentieux J.D.B est un moraliste classique ( qui etudie les moeurs). Il croit a une

Pablo, exemple des vagabonds et miroir des fourbes. La Satire Ménippée (1594, ouvrage politique collectif). Jean de La Fontaine (1621-1695), Fables. Molière (1622-1673), Les Précieuses ridicules. Nicolas Boileau (1636-1711), Satires. Jean de La Bruyère (1645-1696), Les Caractères. John Arbuthnot (1667-1735, Écossais), Le Procès sans fin ou Histoire de John Bull. Jonathan Swift (1667-1745, Anglais), Les Voyages de Gulliver. Joseph Addison (1672-1719, Anglais), Le Spectateur. Alexander Pope (1688-1744

l’établissement de règles et de contraintes, nombreuse dans ce mouvement littéraire. 14) La maxime est une appréciation ou un jugement très général. La brièveté de l'énoncé doit en favoriser la mémorisation, mais également frapper l'esprit. Jean De La Bruyère en a écrit plusieurs dont : « Un beau visage est le plus beau de tous les spectacles, et l’harmonie la plus douce est le son de celle que l’on aime ». 15) Le libertinage d’esprit est un courant de pensée né au XVIe siècle, développé en Italie

fin des libertés pour les protestants. Les règles de la littérature s’usent, il y a une remise en cause. Progrès des sciences : XVIIIème siècle : siècle des lumières. Besoin de réformes. Écrivains qui écrivent à cette époque : - Jean de la BRUYÈRE, portraitiste. - Fontenelle, essayiste. - Fénelon. II. Repères artistiques Peinture : - Mathieu LE NAIN, Le concert.

accepter les faiblesses humaines. A ce titre, l'idéal de l'honnête homme n'est pas vraiment séparable des codes héroïques à l'œuvre dans la tragédie. Jean de La Bruyère (1645-1696) Les Caractères (1688) Nous proposons ci-dessous quelques fragments des portraits qui émaillent les Caractères. Cette typologie, par laquelle La Bruyère entend stigmatiser des travers inconciliables avec l'honnêteté, nous servira à proposer des travaux d'analyse destinés à retrouver, "en creux", cette notion fondamentale

dévalorisante. Il accuse ainsi [= il met nettement en évidence], par l’exagération littéraire propre au genre de la satire, la faiblesse de la nature humaine et la vanité des prétentions de l’Homme. Texte 3 : Dans Les Caractères (1691), Jean de La Bruyère, auteur du XVIIème siècle, a pour projet de « peindre l’homme en général ». Le double portrait de Giton et Phédon termine le chapitre intitulé « Des biens de fortune ». La question de l’Homme, c’est : qu’est-ce que l’Homme ? Qu’est-ce qu’être un Homme

mondaine, puisque son sens de la mesure lui fera connaître et accepter les faiblesses humaines. A ce titre, l'idéal de l'honnête homme n'est pas vraiment séparable des codes héroïques à l'œuvre dans la tragédie. | Jean de La Bruyère (1645-1696) Les Caractères (1688) | 4. Une morale héroïque.   Dans la morale classique, la recherche d'un ordre satisfaisant pour la vie sociale, comme celle d'une victoire sur l'intempérance

de la compassion. L’auteur à travers ce portrait nous dénonce que la perte d’emploi conduit à la misère, et la misère en elle-même conduit à perdre son humanité, pour éviter de souffrir. On peut observer un parallélisme avec l’œuvre de Jean de La Bruyère : « De l’homme » au XVIIe siècle, qui décrit également la perte d’humanité chez les paysans, qui sont pourtant des hommes, à cause de leur travail mal payé.

jansénisme (doctrine selon laquelle nul ne peut être sauvé sans l'intervention de la grâce divine ; cf. Gallica.bnf.fr/.../LitXVII7.htm) avec Les Provinciales. La Rochefoucauld (1613-1680), avec ses Maximes et sentence morales (1664) et Jean de La Bruyère (1645-1696), avec Les Caractères (1688), vont porter ces genres à leur apogée et la littérature morale se transforme en satire sociale. Ils permettront aussi d'ouvrir la voie à l'esprit de réforme du XVIIe siècle. Le roman Au XVIIe siècle, le roman

instant , être à la mode aujourd’hui , ne plus l’être demain . On ne cesse d’inventer de nouveaux styles , créer la nouveauté . On prend des modèles , on les suit , puis on change . On s’inscrit ainsi dans la société de consommation . Jean de la Bruyère nous le disait déjà au XVIIe siècle : « Une mode a à peine détruit une autre mode , qu’elle est abolie par une nouvelle , qui cède elle-même à celle qui la suit. » Pourquoi créer donc de nouvelles modes ? Pour se différencier ? Pour se montrer autrement