Burqa

droite concrétisée dans la vie politique par le succès du Front National remet en cause le voile intégral, les prières dans la rue, la construction des mosquées et accepte mal que l’Islam soit la deuxième religion de l’Hexagone. L’interdiction de la burqa et une affirmation de la laïcité de la France par les gouvernements successifs rappellent les extrémistes à l’ordre. Ceux qui font l’apologie de l’extrémisme seront expulsés du pays. Il est triste que les français nationalisés issus de l’immigration

faute est absurde. Contrairement au PS , l’UMP et le PCF accordent une grande importance à ce principe. Quand la mission sur le voile intégral a eu lieu, André Gérin député du PCF et Eric Raoult député de l’UMP ont affirmés qu’avec le port de la burqa « il y a un vrai problème » qu’il fallait «  combattre une idéologie barbare ». Comme nous pouvons le remarquer l’UMP et le PCF sont à la limites du racisme. Philipe Portier est un directeur du Groupe sociétés, religions et laïcités à l’école pratique

mouvement « jeunesse » du Front National a diffusé des affiches de campagne en faveur du candidat Jean-Marie Le PEN, jugées offensantes envers les musulmans et la population algérienne. La dite affiche (ci-dessus) représente une femme portant une burqa. Derrière elle, une carte de France est recouverte du drapeau algérien et de minarets faisant office de missiles. Elle porte le titre « NON A L'ISLAMISME » et le slogan « La jeunesse avec LE PEN ». Le candidat, ancien président du Front National

coutume on se rend compte que rien ne la fonde, si ce n’est la fantaisie des hommes. Par exemple : Pourquoi on s’habille d’une façon et pas d’une autre ? Pourquoi il y a des gens qui se promènent tous nus et d’autres qui son obligés de mettre une burqa ? Si nous arrivons aux fondements de ces coutumes on les détruit. Ce qui veut dire que si notre justice est basée sur des lois, ces lois basées sur nos coutumes et que ces coutumes ne sont pas fondées sur la raison, alors les lois sont injustes. Les

discriminations sont présentes dans la société, notamment la discrimination dans le milieu professionnel, scolaire ou dans la vie sociale.   En effet, par exemple, nous remarquons que l’islamophobie est présente puisqu’actuellement, le sujet de la burqa, cette tenue qui recouvre entièrement les femmes, excède le signe religieux pour faire figure de symbole de soumission, fait polémique en France. De même, dans le milieu scolaire, il est strictement interdit de porter toutes formes de signes religieux

réfugiés dans les bras de l’extrême droite. C’est devenu très clair depuis dans plusieurs domaines. L’abattage halal a réuni contre lui les associations de défense des animaux, les mangeurs de gigot du vendredi saint, les hygiénistes progressistes. La burqa, la polygamie, l’excision, et en général tout ce qui manifeste une soumission excessive de la femme à l’homme, ont mis debout le féminisme. Les prétentions théocratiques de la charia suscitent la colère de beaucoup d’ enseignants, de nombreux francs-maçons

le garant des libertés individuelles notamment des libertés de conscience et morale. L'État laïc n'a de légitimité que pour décider des particularismes religieux comme les lobby religieux, l'indépendance de choix des citoyens (problèmes de voile, burqa, mariage forcé) ou encore les lois en vigueur (moutons égorgés, excision, mariage forcé). 　 La laïcisation « à la française » est le modèle revendiqué par les pays voisins. Celui-ci garantit la neutralité, l'égalité, la liberté de conscience dans

temps de crise de la société, notamment ici en France, à cause des revendications d'Al-Qaïda, de faire de faux attentats, faute de moyen pour en faire des vrais. De plus les débats sur les questions d'ordre religieuse en France, comme le port de la Burqa, auraient peut être pu pousser à l’agissement certaines personnes impuissante, à bout de nerfs, face selon eux à des injustices. Les faits. Un homme a été condamné à un mois ferme, pour une alerte à la bombe qui avait provoqué le déroutement d'un

pratique radicale de sa religion, un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment avec le principe d’égalité des sexes ». Cette femme portait la burqa mais le Conseil d’État ne le mentionne pas. Enfin, la HALDE considère le port de la burqa incompatible avec le suivi d’une formation linguistique obligatoire en vertu d’un contrat d’accueil et d’intégration. Ainsi, le port de ce vêtement est considéré comme un acte de soumission de la femme

proposition sur la reforme du Senat. Certains principes comme celui de laïcité posent maintenant des interrogations quant à leur application : faut il laisser chacun exposer sa foie comme il le souhaite ou alors interdire ces signes tel la burqa ? Ce type de question sur la lecture de la constitution se pose aussi sur le domaine de la cohabitation avec le débat qu’a soulever le quinquennat. Certains prônent l’application littérale de celle-ci comme Cohendet alors que celle-ci empêcherait