But De Stendhal Dans Le Rouge Et Le Noir

« l’art ne reproduit pas le visible, il rend visible » Paul KLEE, le Credo du Créateur (manifeste) Paul KLEE : peintre suisse du 19° siècle. Il se définie comme un « peintre-poète ». Cette citation signifie que le but de l’art serait différent de reproduire la réalité ou d’en produire une imitation. Ce qui compte c’est que l’art soit visible et puisse nous faire voir le monde différemment, changer notre vision du monde. =>l’art nous apprend a voir, ce qui n’est

également la littérature anglo-saxonne (Jack London, John Steinbeck, Dos Passos...) qui révèle la société américaine à elle-même. B. Les romans nous donnent à voir une société et une période historique déterminée De nombreux romans ont pour but de décrire et représenter dans ses moindres détails une société : ce sont les romans historiques. Ces ouvrages offrent au lecteur une vision d'ensemble, une perception globale. L'auteur contracte la durée, condense une époque, redistribue des éléments

naturalisme • Le « petit fait vrai » En situant ses romans dans une époque récente, Stendhal s'écarte du genre historique. Si ses héros, déchirés entre leurs idéaux et la médiocrité que leur impose la société, restent tributaires d'une vision romantique du monde, il ouvre cependant la voie d'un réalisme nouveau. Il entend fonder sa fiction sur l'étude du vrai et copier la réalité d'après nature. Dans Le Rouge et le Noir (1830), Saint-Réal affirme ainsi qu'«un roman, c'est un miroir que l'on promène le

gens en banlieue parisienne comme Voyage au bout de la nuit de Céline. Nous pouvons citer également la littérature anglo-saxonne (Jack London, John Steinbeck, Dos Passos...) qui révèle la société américaine à elle-même. De nombreux romans ont pour but de décrire et représenter dans ses moindres détails une société : ce sont les romans historiques. Ces ouvrages offrent au lecteur une vision d'ensemble, une perception globale. L'auteur contracte la durée, condense une époque, redistribue des éléments

les uns n'ont pas connus la rvlt° et l'AR, etc Ligne de partage politique Début du 19° → groupe de jeune écrivains tendance royaliste + autre groupe plutôt libéraux. (à cette époque = plutôt gauche), parmi les libéraux il y a Stendhal. Hugo chef de file du groupe royaliste. Hugo va évoluer à partir de 1830 (révolution de juillet). Hugo → image du républicain, qui se bat pour la cause des misérables et combat Napoléon III MAIS il est né dans le courant monarchiste. →

ensuite ce qu’on appelle "l’ordre chronologique" » (Ph. Lejeune, Le pacte autobiographique, Seuil, coll. « Points », 1996, p. 197). 1 idéaltypique, l’autobiographie inachevée de B. Constant (rédigée en 1811, publiée en 1907 sous le titre : Le Cahier rouge, alors que le titre retenu par l’auteur était tout simplement Ma vie) qui se présente ainsi : Je suis né le 25 octobre 1767, à Lausanne, en Suisse, d’Henriette de Chandieu (…) et de Juste Constant de Rebecque (…), colonel dans un régiment suisse. Ma

de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires; puis s'alternaient, séparés par une bande rouge, des losanges de velours et de poil de lapin ; venait ensuite une façon de sac qui se terminait par un polygone cartonné, couvert d'une broderie en soutache compliquée, et d'où pendait, au bout d'un long cordon trop mince, un petit croisillon de fils

« symptômes », qui évoque la maladie, « drame » qui suggèrent un destin tragique, « sublime horreur » qui conforte l’impression terrible que fait ce mort-vivant sur ses « spectateurs ». La couleur noir, enfin, couleur de deuil, est citée à deux reprises (« une mauvaise cravate de soie noire », p. 23 ; « un sillon noir », p. 24). 3. Pourquoi le narrateur compare-t-il le personnage à un portrait de Rembrandt, à la dernière ligne de la page 23 ? À quelles autres œuvres d’art fait-il allusion plus loin ? Pourquoi 

questionnement : si l’on apprécie un roman mettant en scène un personnage méchant, c’est car l’on peut se permettre de s’y identifier. Un héros très ambitieux, qui répondrait à la maxime « la fin justifie les moyens » comme Julien Sorel dans Le rouge et le noir de Stendhal ou Scarlett O’hara dans Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell. Car malgré toutes les horreurs que peut représenter l’esclavage, on ne peut s’empêcher de s’attacher aux personnages et particulièrement à Scarlett O’hara, une jeune

au 9 sep- tembre 1863), et se déroule dans plusieurs pays, sur la Terre et dans la Terre. La plupart des chapitres s’achèvent par une nuit de repos bien méritée pour les personnages ; • les protagonistes sont sans arrêt en mouvement, en quête d’un but dont ils se rapprochent sans jamais l’atteindre : le centre de la Terre. Entrés dans la Terre par un volcan éteint au nord-ouest de l’Europe (en Islande), ils en sortent par un autre volcan, en activité cette fois, situé au sud de l’Europe (en Sicile)