Bérénice Le Style De La Douleur

référence et un questionnaire à chacun des groupes. Idéalement, le genre de l’extrait devrait être différent du genre du résumé sur lequel le groupe avait travaillé. ▪ Extraits proposés o Molière, Tartuffe, Acte i, Scène 1 o Racine, Bérénice, Acte iv, Scène 5 o Corneille, Le Cid, Acte i, Scène v o Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, Acte iii, Scène 8 o Beaumarchais, Le barbier de Séville, Acte ii, Scène 1 o Alfred de Musset, Lorenzaccio, Acte ii, Scène 2

mal à se résoudre, espérant en quelque moyen de l’éviter. Scène 4 : Eurybate, un autre des domestiques d’Agamemnon, lui annonce l’arrivée à Aulis d’Iphigénie, Clytemnestre et Ériphile, Arcas les ayant manqués. Scène 5 : Ulysse, s’il comprend la douleur de père d’Agamemnon, lui indique que Calchas a hâte de sacrifier sa victime, et qu’ainsi il pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et

mal à se résoudre, espérant en quelque moyen de l’éviter. Scène 4 : Eurybate, un autre des domestiques d’Agamemnon, lui annonce l’arrivée à Aulis d’Iphigénie, Clytemnestre et Ériphile, Arcas les ayant manqués. Scène 5 : Ulysse, s’il comprend la douleur de père d’Agamemnon, lui indique que Calchas a hâte de sacrifier sa victime, et qu’ainsi il pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et

du mal à se résoudre, espérant en quelque moyen de l’éviter. Scène 4 : Eurybate, un autre des domestiques d’Agamemnon, lui annonce l’arrivée à Aulis d’Iphigénie, Clytemnestre et Ériphile, Arcas les ayant manqués. Scène 5 : Ulysse, s’il comprend la douleur de père d’Agamemnon, lui indique que Calchas a hâte de sacrifier sa victime, et qu’ainsi il pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie

Agamemnon a du mal à se résoudre, espérant en quelque moyen de l’éviter.Scène 4 : Eurybate, un domestique d’Agamemnon, lui annonce l’arrivée à Aulis d’Iphigénie, Clytemnestre et Ériphile, Arcas les ayant manqués. Scène 5 : Ulysse, s’il comprend la douleur de père d’Agamemnon, lui indique que Calchas a hâte de sacrifier sa victime, et qu’ainsi il pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il.Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie

attirent sur lui l'attention et lui valent une pension royale. Il porte sa tragédie Théagène et Chariclé • 1664 La Thébaïde ou les frères ennemis • 1665 Alexandre le Grand • 1667 Andromaque • 1668 Les plaideurs • 1669 Britannicus • 1670 Bérénice • 1672 Bajazet • 1673 Mithridate • 1674 Iphigénie • 1677 Phèdre • 1689 Esther • 1691 Athalie Flaubert Flaubert Gustave Flaubert est né à Rouen le 12 décembre 1821. Il est le fils du chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen

s’agit de l’écriture parodique d’une naissance (imitation pour critiquer et déformer), se sont en particulier les verbes d’action au passé simple ou participe présent : « traversa », « entra », « grimpant », « prit », « sortit » qui sont propres au style épique pour traduire une action rapide et surhumaine. (1,5 points) Barême : 1.5 points quand  - j’ai relevé les indices qui permettent de reconnaître qu’il s’agit de l’écriture parodique d’un récit épique, en faisant une phrase. Exercice n°

la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités. En France et en Espagne, à l’époque classique, les deux dramaturges les plus importants sont Jean Racine et Pierre Corneille. Quand sa pièce, Bérénice, a été critiquée parce qu’elle ne contenait pas de dénouement fatal, Racine a répondu en contestant le traitement "conventionnel" de la tragédie. Corneille pratiquait aussi une tragédie à dénouement non fatal, ou tragi-comédie, genre apprécié auparavant

comme chaque semaine, je suis allé voir Bérénice d’Arthez qui est, comme la qualifient certains, ma courtisane, et je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander ce qu’elle en pensait. Celle-ci m’a tout d’abord expliqué que Paris était de loin la capitale de la prostitution en Europe. Cela m’a énormément surpris : comment la capitale d’un état aussi contrôlé que le nôtre où presse et littérature sont quasiment muselées pouvait-elle être celle de prostitution ? Bérénice, contrairement à moi, ne voit là rien

(posthumes). Elle fut d’abord l’apanage du courtisan, et devient ensuite l’attitude de l’homme du monde quand elle met la bienséance au premier plan de ses exigences. Elle préconisait alors une pensée juste la discrétion, la distance, la mesure ainsi qu’un style simple et modéré. L’agrément tenait beaucoup à ce «je ne sais quoi » dont le père Bouhours a fait le sujet d’un chapitre de Entretiens d’Ariste et Eugène, ce charme indéfinissable «qui relève tous les hommes de bonnes qualités et qui ne vient que du