Cabotin

couleur d’un quartier de Paris (Belleville) qu’il habitait, et son talent inimitable pour décrire les corps meurtris, déchirés, violentés. A peine a-t-il le loisir de se familiariser avec les personnages, un psychopathe (seulement esquissé), un légiste cabotin, un hématologue de renom et une poignée de vampires tapis dans une arrière-cour, qui cherchent à sortir de leur état – vécu comme une tare. Bref, à peine commence-t-il à se prendre au jeu que celui-ci est déjà fini. Le moins qu’on puisse dire est

narcissique, il prend beaucoup de place et fait beaucoup de bruit. C'est par compensation, pour faire diversion, que ce personnage énorme, dans une théâtralité exacerbée, cache son mal de vivre sous son panache (portrait, page 343). Il se montre hâbleur, cabotin, plein de jactance, coléreux et violent. Il est comme les artistes qui, sur scène, font de la compensation narcIssique parce qu'ils se détestent dans la vie. Il masque sa souffrance avec des bouffonneries et des bravades, tout un marivaudage héroïque

réalisateur resta fidèle à l'atmosphère de l'époque, à la complexité des personnages, à la conscience sociale du roman. Barney Clark, mignonnet avec ses yeux tristes et son visage lunaire, composa un Olivier crédible mais peu expressif. Ben Kingsley, plus cabotin que jamais dans la peau de l’avare exploiteur d'enfants Fagin, méconnaissable sous la barbe et les oripeaux, voûté, fantasque, révélant au plus juste les tourments que peut causer la plongée dans le mal (comme dans la dernière scène de prison), parvint

narcissique, il prend beaucoup de place et fait beaucoup de bruit. C'est par compensation, pour faire diversion, que ce personnage énorme, dans une théâtralité exacerbée, cache son mal de vivre sous son panache (portrait, page 343). Il se montre hâbleur, cabotin, plein de jactance, coléreux et violent. Il est comme les artistes qui, sur scène, font de la compensation narcIssique parce qu'ils se détestent dans la vie. Il masque sa souffrance avec des bouffonneries et des bravades, tout un marivaudage héroïque

ce qui lui ôte la possibilité de se dépasser : rares sont les Rachel, les Duse, qui surmontent cet écueil et qui font de leur personne l'instrument de leur art au lieu de voir dans l'art un serviteur de leur moi. Dans sa vie privée cependant la cabotine exagérera tous les défauts narcissistes : elle se montrera vaniteuse, susceptible, comédienne, elle considérera le monde entier comme une scène. Aujourd'hui, les arts d'expression ne sont pas les seuls qui se proposent aux femmes; beaucoup

Synonymes → balourd, paysan, rustre. Antonymes → pataud. 18) Gourmé : qui est guindé, affecté ; qui manque de naturel. Synonymes → affecté, compassé, doucereux, empesé, guindé, maniéré, prétentieux, sentencieux. Antonymes → 19) Cabotin : qui aime attirer l’attention, se faire valoir, comme un mauvais comédien. Synonymes → cabot, comédien, histrion. Antonymes → 20) Casanier : qui aime bien rester chez soi, et n’aime guère voyager. Synonymes → pantouflard, pot-au-feu

individuelle ont en charge les ressources publiques. Et l’inéligibilité ou la radiation (loin d’être des atteintes aux libertés fondamentales), en cas établi de corruption ou d’absence des pré-requis préalablement cités, doivent être de mise pour les cabotins du bien commun, à l’instar des sanctions du Procès de la Consolidation. Enfin, à tout seigneur, tout honneur, l’État étant le principal employeur, parallèlement à la mise en place d’un régime de rémunérations honorables, un Code de la Fonction Publique

narcissique, il prend beaucoup de place et fait beaucoup de bruit. C'est par compensation, pour faire diversion, que ce personnage énorme, dans une théâtralité exacerbée, cache son mal de vivre sous son panache (portrait, page 343). Il se montre hâbleur, cabotin, plein de jactance, coléreux et violent. Il est comme les artistes qui, sur scène, font de la compensation narcIssique parce qu'ils se détestent dans la vie. Il masque sa souffrance avec des bouffonneries et des bravades, tout un marivaudage héroïque

narcissique, il prend beaucoup de place et fait beaucoup de bruit. C'est par compensation, pour faire diversion, que ce personnage énorme, dans une théâtralité exacerbée, cache son mal de vivre sous son panache (portrait, page 343). Il se montre hâbleur, cabotin, plein de jactance, coléreux et violent. Il est comme les artistes qui, sur scène, font de la compensation narcIssique parce qu'ils se détestent dans la vie. Il masque sa souffrance avec des bouffonneries et des bravades, tout un marivaudage héroïque

qui faisait sa partie ordinaire avec le comique de sa troupe, M. Lapalme, du Grand-Théâtre de Bordeaux.     Petrus Martel, dont le ventre puissant et mou ballottait sous sa chemise au-dessus du pantalon attaché on ne sait comment, après avoir été cabotin en divers lieux avait pris le gouvernement du Casino d'Enval et passait ses journées à boire les consommations destinées aux baigneurs. Il portait une immense moustache d'officier, trempée du matin au soir dans l'écume des bocks et le sirop poisseux