Caché derrière

régularités, des discontinuités, des symétries), l’idée vient d’en déduire l’organisation, la structure. Les conduites humaines surtout collectives, les productions culturelles, les formes d’organisation sociale, les manifestations culturelles, derrière leur diversité manifestent un ordre dont il convient de rendre compte. Pour Lévi-Strauss, cet ordre n’est pas auto engendré, il est la marque de l’esprit humain. Bien sûr, cette intuition complexe n’est pas apparue à Lévi-Strauss du jour au lendemain

Le professeur leur confie des missions qu’ils devront mener à bien. Les scènes d’introduction et de clôture utilisent le principe des « tableaux vivants » : pour imiter un projecteur d’images 3D, un animateur prend des poses avec des accessoires derrière un drap que le professeur ouvre et referme vite (style projecteur de diapositives en 3 dimensions !). Préparation : Le professeur Cornflakes est le maître du jeu. Il en déguisé en scientifique (style savant fou). Les autres animateurs sont déguisés

[La Folie...] La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle. Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa : - On joue à cache-cache ? Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité. Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter. Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse. 1, 2, 3,... la Folie commença à compter. L'Empressement

transparente sublimée par un paire d’escarpins rouges vif. A son cou, nous voyons de sublimes bijoux couleur or ainsi qu’as son bras ,ses poignets et ses doigts. On aperçoit une fumée qui sort du haut de l’image pour se retrouver derrière son genou. Une lumière se cache derrière ses jambes et son avant bras. La scène repose sur un sol marbré, où l’on peut supposer que cette histoire se déroule dans un sanctuaire. Le mode de représentation est la photographie dans le but de sublimer la réalité pour

tout ce qui compte. Je cache tous mes maux derrière de beaux sourires, derrière le son de mes rires. Papa, dit moi que je suis une bonne comédienne, dit moi que personne ne s'en doute. J'ai peur du regard des autres, j'ai peur qu'on m'humilie, j'ai peur qu'on me plante des couteaux dans le dos, comme avant. Je suis morte de peur Papa. C'est une accumulation de souffrance. J'ai besoin de réconfort, mais je ne veux pas qu'on s'inquiète pour moi. Alors je me tais, je me cache. Si tu savais ce que je

Rabelais qui nous raconte l’évolution du géant exceptionnel. L’auteur écrit cette histoire … comme les silènes du prologue sous des airs goguenards ou alors comme la métaphore alliant le chien et le lecteur. Cependant, à travers ces scènes l’auteur cache derrière ses rires un tout autre sens de ses mots qui va pousser le lecteur à réfléchir tout au long de l’histoire afin de le faire progresser. C’est ainsi que l’on peut se demander en quoi peut-on dire que Gargantua de François

Suzanne. Le comte arrive pour rendre visite et faire la cour à Suzanne, Chérubin ayant peur se cache derrière le fauteuil. Alors arrive Bazile, le Comte veut aussi se cacher derrière le fauteuil où est déjà Chérubin, celui-ci change de cachette et se met sous une robe posée sur le fauteuil. Bazile dit a Suzanne qu'il a vu rentrer le page ici. Le Comte sort alors de sa cachette et découvre Chérubin caché, il croit a une relation entre Chérubin et Suzanne. Il est autant plus en colère que Chérubin

initiales nous renseignent sur le lieu où se déroule l’action : il s’agit d’un  « vieux château ». La famille réunie se trouve dans une des salles qui comportent trois portes : une à gauche, une à droite et une masquée dans un angle. Ce qui se cache derrière ces portes fait parti du hors-scène et du mystère de l’intrigue. Après la description de l’intérieur, le dramaturge s’intéresse aux fenêtres, ouvertures vers l’extérieur : des « fenêtres à vitraux » et « une porte vitrée ». Les vitraux font partie

représentation. Il a pour spectateurs ses amis les insurgés derrière la barricade et ses ennemis les soldats qui cherchent à le tuer mais s’amusent à son jeu : « Les gardes nationaux et les soldats riaient en l’ajustant ». Gavroche apparaît comme un gamin facétieux et taquin : « Gavroche […] taquinait la fusillade. Il avait l’air de s’amuser beaucoup » ; « il ripostait à la mitraille par des pieds de nez » ; il jouait un « jeu de cache-cache avec la mort » ; et chaque fois que celle-ci s’approchait

Le discours de DJ est un discours avec des jeux de miroir, des faux fuyants. On ne sait pas qui parle. L’étude des pronoms personnels en témoigne : tu veux que l’on se lie ». Le « je » du personnage se cache derrière le nous. Dom Juan n’assume pas son caractère puisque il se cache derrière des faux prétextes.   B-    Dom Juan se pose comme victime. Champ lexical de la guerre : « conquêtes, triomphe, conquérants ». Désire de domination pour Dom Juan. L’innocent pudeur d’une âme nous montre