Cadre noir

Il fut une époque où c'était considéré comme malhonnête, l'idée que la fin justifie les moyens. Mais cette époque est révolue. Non seulement nous y croyons, mais nous le disons. " Tel est le constat que fait Burke Devore. Cadre supérieur dans une usine de papier pendant vingt-cinq ans, il vient d'être licencié. Pas pour faute professionnelle. Il a toujours été compétent dans son travail, il a toujours joué le jeu. Non, il est tout simplement victime des compressions, dégraissages, fusions, restructurations

apporteront une réponse définitive. Dans cette optique, Effroyables jardins reprend certains traits communs des premiers ouvrages de Michel Quint qui relèvent du genre policier. 2. Le fils. Cette voix à la première personne accompagne le récit-cadre dans une quête de la vérité, et la réponse à d’autres énigmes. Celle de l’aversion du jeune garçon pour les clowns, tout d’abord, énigme reprise dans les premières pages jusqu’à ce que le récit du narrateur 3 (Gaston) n’intervienne. Celle du titre

gouvernement. Le colonel du 75e le prit même pour cymbalier dans la musique de son régiment. Puis il mourut à l’hôpital d’une inflammation de poitrine. En quoi ces thèmes sont-ils opposés ? Les deux sont des mercenaires. L’un est blanc et l’autre est noir. Ils sont sans foi ni lois profondément corrompus et opportunistes. Le capitaine Ledoux ne pense qu’aux gros bénéfices et à la fortune faite même s’il doit agir dans l’illégalité en faisant la traite des esclaves africains comme si c’était

A l’assaut de la bibliothèque Dès son plus jeune âge l ’écrivain Jean-Paul Sartre fut passionné par les mots.Elevé chez son grand-père ,qui était professeur ,et qui possèdait une grande bibliothèque ,il éprouva très tôt de la curiosité pour les livres ,monde étrange et fascinant pour l ‘enfant qui venait tout juste d’apprendre à lire. Je me lançai dans d’incroyables aventures : il fallait grimper sur les chaises,sur les tables,au risque de provoquer des avalanches qui m’eussent enseveli

hommes étaient noirs, et sont apparus en Afrique. Et au cours des siècles, les hommes ont migré vers le Nord. Au cours de ce déplacement, leur peau s’est éclaircie et est devenue blanches. Nos ancêtres étaient donc noirs. Donc chacun de nous, a du sang noir dans son propre sang. L'unicité de la race humaine est pleinement confirmée par la science. Les scientifiques ont prouvé que l’espèce humaine est une seule et même race mais elle est infiniment variée dans les aspects secondaires (couleurs de peau

POÈME LIMINAIRE À L.-G. DAMAS Vous Tirailleurs Sénégalais, mes frères noirs à la main chaude sous la glace et la mort Qui pourra vous chanter si ce n’est votre frère d’armes, votre frère de sang ? Je ne laisserai pas la parole aux ministres, et pas aux généraux Je ne laisserai pas — non ! — les louanges de mépris vous enterrer furtivement. Vous n’êtes pas des pauvres aux poches vides sans honneur Mais je déchirerai les rires banania sur tous les murs de France. Car les poètes chantaient

figure de style, rythme etc. => Faire passer un message. II)Un poème dénonciateur du colonialisme a)Un refus de l'image caricaturale du « nègre » -« le bon nègre à son bon maître » => parallélisme + jeu sur le langage => image caricaturale du noir traité et à qui l'on parle comme un chien. -Moit enfantin « Seigneur méchant » => Comme si les noirs ne pouvaient pas comprendre des mots plus recherchés. -« Je dis hurrah » => Ironie sur le traitement des noirs -Il reprend, tout en les dénonçant

Ledoux C’est un marin qui pratique la traite des noires. Il est un matelot sans pitié, rude et excellent à se qu’il fait. Suite à des années d’études et d’expérience en navigation, il devient le capitaine d’un navire négrier nommé l’Espérance. Il se fou complètement de ses esclaves et les traites sans aucune pitié. Il possède probablement le plus gros bateau d’esclave de toute l’Europe. ‹‹ il faut avoir de l’humanité, et laisser à un nègre au moins cinq pieds en longueur et deux en largeur

blancs n’est pas totale, les discriminations raciales sont encore présentes même dans les pays les plus riches. L’œuvre « I’m intact and I don’t care » réalisé par Lili Reynaud-Dewar est une vidéo où l’on voit l’artiste dansant nue, couverte d’encre noir, elle a pour but de retracer l’histoire de Josephine Beacker, une Afro-américaine. L’artiste danse dans des lieux tels que son atelier. J.Beacker a eu une vie exceptionnelle, elle est arrivée aux Etats Unis dans les années 30 où règnent le racisme

En guise d’introduction. Focalisation sur une figure précise, Virginie Maerle,  qui incarne tous les excès du préjugé de couleur. Autrement dit, par ses excès même, elle absout ses congénères de leur racisme anti-nègre Nini, et cristallise sur sa personne tous les traits qui caractérisent l’outrance du racisme le plus exagéré. Dans notre travail, nous ferons la part entre la personne réelle, dans ce qu’elle est réellement humainement sur les plans sentimental, social et intellectuel, et ses prétentions