Calas

est connu pour avoir écrit de nombreux contes philosophiques comme Zadig, l’Ingénu, Micromégas, mais aussi Candide publié en 1759. Il défendit l’affaire Calas, celui-ci était un protestant accusé d‘avoir tué son propre fils Marc-Antoine en 1761 parce que celui-ci voulait devenir catholique. Il avait été retrouvé pendu dans son magasin. Jean Calas fut condamné à mort, au supplice de la roue mais il n‘avouera jamais même sous la torture. En fait, Marc-Antoine se serait suicidé parce qu’il était dépressif

l’existence humaine ? 1.La Fontaine « Les animaux malades de la peste » 2.Montesquieu « De l’esclavages des nègres » 3.Voltaire «  Femmes soyez soumises.. » Mélanges, pamphlets et œuvres polémiques 1759-1768 4.Voltaire  « Le Supplice de Jean Calas » Traité sur la Tolérance, chapitre I, 1763 5.Voltaire « Prière à Dieu » Traité sur la Tolérance, chapitre XXIII Points abordés: l'ironie voltairienne. Efficacité des différentes stratégies argumentatives, l'esprit critique des Lumières. Le classicisme

pouvoir s’enfuir si la nécessité s’en fait sentir. Il entretient une correspondance importante avec de nombreuses figures politiques, philosophiques et artistiques. À partir de 1761, il s’intéresse à l’affaire Calas et écrit un Traité sur la Tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas dans lequel il prend la défense du protestant. Il écrit aussi un Commentaire sur Corneille, fait jouer son théâtre, publie L’Ingénu en 1768 pour participer au débat philosophique, et trouve encore le temps de

de Voltaire Affaire Calas : La famille Calas habitait au 16, rue des Filatiers à Toulouse. Le 13 Octobre 1761, le fils aîné, Marc-Antoine, est retrouvé pendu dans la boutique familiale, à la poignée d'une porte. Meurtre ou suicide? Dans tous les cas les Calas (le père Jean et le frère cadet en particulier) sont accusés du meurtre alors que ceux-ci prétendent avoir détaché Marc-Antoine pour qu'il ne subisse pas le traitement infligé aux suicidés. Mais les Calas, de croyance protestante, sauf

lesquels il a défendu la position des Lumières. Chez Voltaire, l’Infâme = l’Eglise. Exemples de différentes affaires : • L’affaire Calas, en 1761. Mr et Mme Calas sont protestants (huguenot). Leur fils, âgé de 20 ans, est retrouvé pendu chez lui. Ce fils avait dis a ses amis qu’il voulait se convertir au catholicisme. La rumeur veut que Mr. Calas ait tué son fils car il voulait se convertir. Cet argument semble peu crédible car le fils était en pleine forme physique tandis que son père

perdu une bataille. De 1762 à 1764, il défend Calas, un huguenot condamné sans preuves pour avoir tué son fils. Le Traité sur la tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas (1763) est une protestation contre l’injustice faite à l’accusé et contre le fanatisme d’une accusation née de la rumeur et de la haine. Ce texte de Voltaire a eu d’ailleurs une influence décisive sur la révision du procès et sur la réhabilitation de Calas (voir affaire Calas). La réputation du philosophe est alors immense

Traite sur la tolérance de Voltaire on peut remarquer que Voltaire essaye par tout les moyens de prouver et donc de convaincre le lecteur que Jean Calas est innocent. Pour cela il décrit la petite santé de Jean Calas “qui avaient depuis longs tops les jambes enfles et faibles” compare a la force” au dessus de l’ordinaire”de son fils Marc Antoine Calas. Chanson de Victor Hugo en est l’exemple parfait. Ce poème est une satire politique dont la cible est Napoléon II, le neveu de Napoléon HIer. En

révocation de l’édit de Nantes. Il fit, en particulier, réhabiliter la mémoire de Calas et de Sirven. Calas était un négociant de Toulouse, qui, en 1762, avait été accusé d’avoir assassiné son fils pour l’empêcher de se faire catholique. Quoique Calas fût innocent de ce crime, les juges prévenus le condamnèrent à mort, et il expira sur sa roue. Voltaire fut informé de cette affaire et convaincu de l’innocence de Calas, il prit à cœur de réhabiliter sa mémoire. Après trois années d’efforts incessants

considéré comme un boucher. Annexes Affaire Calas Robert Calas, protestant, est accusé d’avoir tué son fils, soi disant parce que ce dernier voulait se convertir au catholicisme. Il est jugé sommairement puis exécuté. Sa veuve fait appel à Voltaire pour faire réviser le procès et les défendre. Voltaire écrit le « Traité sur l’intolérance » et obtient l’acquittement posthume et l’abandon des sanctions décidées contre le reste de la famille Calas. Suite à cela, la justice est décrédibilisée.

Courteilles ; comment peut-on tenir contre les faits avérés que ces pièces contiennent ? Et que demandons-nous ? Rien autre chose sinon que la justice ne soit pas muette comme elle est aveugle, qu’elle parle, qu’elle dise pourquoi elle a condamné Calas. Quelle horreur qu’un jugement secret, une condamnation sans motifs ? Y a-t-il une plus exécrable tyrannie que celle de verser le sang à son gré, sans en rendre la moindre raison ? Ce n’est pas l’usage, disent les juges. Eh ! monstres ! Il faut que