Calcul mental

projet de vie. MODULE 2 : REPRESENTATION MENTALE – Résumé Dans un monde inconnu, nous ne distinguons pas forcément tous les éléments qui le composent et l’animent. A moins que lors d’un safari, les animaux se placent sur notre chemin nous ne les voyons pas ! Il nous faut une certaine adaptation à ce nouvel environnement pour nous apprendre à voir. En effet, nous repérons ceux que nous connaissons car nos sens ont enregistrés leurs représentations mentales. Nous devons donc nous ouvrir au monde

2009-2010 Cours de Santé Mentale 2e Année Dr Idrissa BA Psychiatre CHU Dakar LE CONCEPT DE SANTÉ MENTALE I - INTRODUCTION Nous ne pouvons parler de concept de santé mentale sans souligner les efforts de quelques pionniers qui, dans le monde, ont permis de constituer et d'améliorer la santé mentale. Après la guerre 1914-1918 E. Toulouse fonda la Ligue française d'Hygiène mentale. L'époque les grands thèmes qui se discutaient au

chroniques et sévères : Ice cardiaque, respiratoire ou rénale 19 Autres groupes de patients Alcoolisme chronique Certaines endocrinopathies : diabète décompensé hyperthyroïdie hypercorticisme Pathologies psychiatriques : dépression grave anorexie mentale 20 CONSÉQUENCES CLINIQUES DE LA DÉNUTRITION GROUPES À RISQUE DE DÉNUTRITION LES ENJEUX D’UNE PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE ADAPTÉE Référents en Nutrition – 2009 05-09 : 21 Les enjeux de l'intervention nutritionnelle Réduire les co-morbidités

.............12 6. REUNION DU PLANNING FAMILIAL...................................................................................................13 7. REUNION DU SERVICE SANTE MENTALE ........................................................................................14 8. REUNION DE TROIS SERVICES : LA SANTE MENTALE, LE SERVICE SOCIAL ET LE SERVICE JURIDIQUE ..................................................................................................................................15 9

tout d'abord Richard Morton qui nomma cette maladie "phtisie nerveuse" en 1689. Viens ensuite en 1868 le nom d'apepsie mentale que Gull définit comme une absence de digestion et non comme une restriction de l'alimentation. Durant la même période, Ernest Charles Lasègue nomma l'anorexie "anorexie hystérique". Ce n'est qu’à partir de 1950 qu'on définira l'anorexie comme "anorexie mentale". Au cours du XXe siècle, différents travaux, restitués dans l’historique des conceptions pathogénétiques dressé par

panneau de droite, un wallon sur celui de gauche. Il est des cas où la pathologie mentale débouche inéluctablement sur la pauvreté : un psychotique a peu de chance d’y échapper s’il ne bénéficie d’un environnement privilégié. De leur côté, certains trajets de clochardisation procèdent de conduites «en rupture» témoignant d’une tentative manquée d’autonomisation. Mais pour le reste, le lien entre santé mentale et pauvreté va toujours dans l’autre sens. Une recherche – jamais démentie - menée dans

la mémoire, le langage, les praxies, et l’attention. Il en existe plusieurs : ➢ Le Mini-Mental State Examination(MMS) ou Test de Folstein • Ce test de référence est pratiqué lorsqu’on suspecte une démence ou pour permettre de suivre l’évolution de la maladie. • Ce test recommandé par la HAS, explore l'orientation temporo-spatiale, l'apprentissage, la mémoire, l'attention, le calcul, le raisonnement, le langage et les praxies constructives • Il dure 15 minutes environ

« toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de la santé invalidant ». • L’image associée au handicap a été longtemps négative parce qu’on assimilait généralement diagnostic et personne. • Aujourd’hui, la situation de handicap est

multitude de tâches au travers desquelles il peut rencontrer d’importantes difficultés : - l’écoute de son enseignant ; - la compréhension et la mémorisation d’une consigne ; - la lecture de documents imprimés et l’écriture d’une réponse ; - le calcul sur des données numériques ; - le traçage géométrique ; - la récupération et la consultation d’informations ; - la communication et l’échange sont autant de tâches scolaires d’apparence banale qui de fait mobilisent l’ensemble des fonctions supérieures

raisonnement,…) l’enfant a des performances normales, concordantes avec son âge réel. Le psychologue, s'il connaît la dyspraxie, pourra alors faire ressortir que les difficultés de l'enfant sont dues à des troubles praxiques, et non pas à une déficience mentale ou une immaturité, interprétation qui serait très pénalisante pour l'enfant. • Une évaluation neuro-psychologique, effectuée par un neuro-psychologue. Cet examen va permettre de préciser de quel type de dyspraxie souffre l’enfant (dyspraxie