Caleçon

fanons de baleine en lin ou laine qui remontent jusque sous la fraise et qui est tenu en place par un lacet. Mais le corset peut aussi remplacé par la basquine, qui peut elle même être remplacée par un busc. Le bas de la basquine est entrée dans le caleçon. Par dessus la femme revêt un surcot fait de brocard brodé de Fourrure. Ce surcot deviendra un vêtement majeur des tenues officielles jusqu’au XVII°Siècles . Au niveau des poignets il y a des bombardes, ce sont des volants retombants sur les mains

plus le bonbon à l'intérieur semblera délicieux ! T'as compris le message ? Allez, brûle tes vieux slips aux élastiques distendus et enfile un super boxer ! T'as plus d'excuse quant au confort, y'a pas mieux en matière de maintien que les derniers caleçons moulants ! Joue au paysagiste ! Si l'herbe est toujours plus verte chez ta voisine, ce n'est pas une raison pour laisser ton jardin en friche ! Tes poils pubiens sont certes naturels, il n'empêche que tu peux, une fois de temps en temps, si tu

la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? -- J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. -- Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? -- Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? -- J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. -- Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? -- Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

(sauf Anahit) s’activent dans la pièce. Grégory récite les quatre premiers vers de la fable à l’avant de la scène puis revient dans le groupe. Sébastien va en coulisses et Anahit rentre par les escaliers, portant une manne dans laquelle se trouve le caleçon de Sébastien. ANA [soupir] : Qu’est-ce que c’est dur de travailler dans cette maison ! AKI [agressive dans son travail] : Ca fait des mois qu’on est ici ! NAT : Pour être exacte, cela fait précisément X semaines et X jours. FLA : Patience, les

terre, n’ayant plus que son habit c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleu. Il manquait à ce pauvre homme, la jambe gauche et la main droite. Eh mon Dieu, lui dit Candide en Hollandais : que fais-tu là mon ami dans l’état horrible où je te vois. J’attends mon maitre Monsieur Van Der Dandour, le fameux négociant, répondit le nègre. Est-ce Monsieur Van Der Dandour qui t’a traité ainsi. Oui, Monsieur dit le nègre c’est l’usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l’année quand

puis un récit dramatique. Voltaire commence le récit en décrivant le nègre que Candide trouve étendu par terre; il insiste sur la tenue vestimentaire de celui-ci « [...]n'ayant plus que la moitié de son habit[...] un caleçon de toile bleue [...] » (l.2-3) et « [...]un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. » (l.9) ce qui montre ici une mauvaise qualité de vie. Lorsque Candide parle du nègre et au nègre il emploie des adjectifs péjoratifs tel que « [...]ce pauvre homme[...] » (l

la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. "Eh! mon Dieu! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi? - Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh ! mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? - Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue : il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droit'. « Eh ! Mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? – J'attends mon maître, monsieur Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. – Est-ce monsieur Vanderdendur, dit Candide qui t'a traité ainsi ? – Oui, Monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois