Caligula Et Le Style Royal

d'animaux : L'Ours ( v. 16 à 19 ) Le Singe ( v. 20 à 25 ) Le Renard ( v. 28 à 32 ) Moralité explicite ( v. 33 à la fin ) 2) Un récit vif et animé → procédés Le rythme → vers de différents mètres ex : présentation : alexandrins → majesté royale v. 3 : octosyllabe → plus fluide, plus rapide v 26-27 : commentaire en octosyllabe → comme s'il s'agissait d'une parenthèse → maintien de cette alternance de mètres Les nombreux enjambements, rejets, contre-rejets → mise en valeur de certains

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par Clotilde Meyer Petits Classiques Larousse - 1 – Ubu roi de Jarry Vers le Bac À l’écrit Sujet 1 Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation ; le théâtre, genre et registre ; démontrer, convaincre, persuader. TEXTE 1 : Albert Camus, Caligula, I, 8 TEXTE 2 : Alfred Jarry, Ubu roi, III, 2, de « apportez la caisse à Nobles » à « faire des lois maintenant ». TEXTE 3 : Jean Anouilh, Antigone a. Question préliminaire (sur 4 points) Après avoir lu tous les textes du corpus, vous répondrez

est-elle un apologue satirique ? (annonce de plan) Voir explication 1ère mouvement (v. 1-14) : l’annonce d’une grande fête royale (a) La solennité des v. 1-2 met en relief la puissance du Lion, mais aussi sa vanité (v. 1-2)· Emploi de l’alexandrin et de l’enjambement· Diérèse à « Lionne » et « nations »· Style noble : « Majesté », « Ciel », « maître » monarchie absolue de droit divin· le CC de temps (« un jour ») montre que la décision du Lion s’apparente à un caprice ;

naturel en 1831, et en aura sa garde. Secrétaire du duc d'Orléans, il écrit des vers et des vaudevilles. Représentée au Théâtre-Français en 1829, sa pièce Henri III et sa cour, lui valut de véritables ovations. Après bien des avanies au Palais Royal, Dumas devient bibliothécaire adjoint du duc d'Orléans. En 1830, seuls parmi les grands romantiques, il participe activement d'un enthousiasme fantaisiste, à la révolution de Juillet. Il enlève la poudrière de Soissons puis demande à La Fayette

une série de types de despotes.                 Caligula dans la pièce de Camus se montre cynique et pervers, forçant Lépidus dont il vient de tuer le fils à répéter qu’il n’est pas de mauvaise humeur, « au contraire » ! Il fait preuve de cruauté morale autant qu’il se livre à  des exactions physiques. Il règne par la terreur que répand sa folie. Ubu, de Jarry, est aussi un tyran déséquilibré et grotesque. Aux mauvaises manières partagées avec Caligula, il ajoute la grossièreté dans le langage, ponctuant

vraiment ? *Alain-Fournier : Le Grand Meaulnes (1913). Un adolescent rencontre la femme de sa vie, la perd, la recherche, la retrouve... *Marcel Proust : Un amour de Swann (1913). Le roman de la jalousie amoureuse. Analyse psychologique très fine, et style très "écrit". *André Gide: L’Immoraliste (1902). L’homme qui décide de laisser libre cours à ses désirs. Roman assez court, à comparer avec La Porte étroite, dans lequel une jeune femme décide à l’inverse de ne pas vivre son amour. La Symphonie pastorale

une série de types de despotes.                 Caligula dans la pièce de Camus se montre cynique et pervers, forçant Lépidus dont il vient de tuer le fils à répéter qu’il n’est pas de mauvaise humeur, « au contraire » ! Il fait preuve de cruauté morale autant qu’il se livre à  des exactions physiques. Il règne par la terreur que répand sa folie. Ubu, de Jarry, est aussi un tyran déséquilibré et grotesque. Aux mauvaises manières partagées avec Caligula, il ajoute la grossièreté dans le langage, ponctuant

la tradition de l’hérédité transparaît tout en faisant référence aux rois de France. Ce choix de l’auteur accorde au héros des lettres de noblesse ; cela renvoie à la tragédie classique dont les héros appartiennent le plus souvent aux dynasties royales. Bien qu’il soit impuissant, il veut maîtriser cette annonce auprès de sa famille et retourne auprès d’eux à la suite d’une longue absence. Il devient donc le messager de sa propre mort bien qu’il ne parvienne finalement pas à délivrer son message

l’occasion de le remarquer au cours de mon développement. Leurs pièces de théâtre se répondent, s’opposent et se complètent. Et surtout elles témoignent de leur engagement politique. A ce propos, il faut savoir que chacun des deux auteurs avait leur propre style théâtral. Sartre faisait ce qu’il appelait un théâtre de situation. Dans la plupart de ses pièces, les personnages sont dans des situations particulières et se trouvent obligés de s’engager afin de trouver une forme de liberté. Mais, bien souvent,