Caligula

suicider et sera aussi le dernier de la dynastie des Julio-Claudiens. Son HISTOIRE : De son vrai nom, Lucius Domitius Ahenobarbus, que l’on appelera Tiberius Claudius Nero après son adoption, Néron est né le 15 décembre de 37 sous le règne de Caligula, à Antium (baie de Naples), à environ 80 kilomètres de Rome. Il est le fils de Gnæus Domitius Ahenobarbus, consul et aristocrate cruel, sans aucun sens moral, et d'Agrippine la Jeune, fille de Germanicus, arrière petite-fille d’Auguste. Après la

FICHE REVISION LATIN Mythologie Les 5er premier empereurs : Auguste Tibère Caligula Claude Néron Auguste et l'aménagement de Rome Il dressa de très nombreux monuments publics dont voici les principaux : le forum avec le temple de Mars Ultor le temple d'Apollon le temple de Jupiter Tonnant sur la capitale Il éleva un temple pour Apollon dans une partie de sa maison palatine qui fut frappée par un éclair comme l'annonçaient les haruspices. Il ajouta un portique avec une bibliothèque

lui donna une éducation soignée. Il fut d'abord attiré par le pythagorisme. Vers 20 ans, il tomba gravement malade et on l'envoya en Égypte se rétablir. De retour à Rome en 31, il commence le cursus honorum. Conseiller à la cour impériale sous Caligula - qui, semble-t-il, le jalousait[réf. nécessaire] -, il fut plus tard victime des intrigues de Messaline, la troisième épouse de Claude et, sous prétexte d'adultère avec Julia Livilla, sœur d'Agrippine, relégué en 41 en Corse, d'où il fut rappelé

et aussi surnommé Germanicus et Britannicus. Il est le fils de Drusus, frère de l'empereur Tibère, et de Livie (seconde épouse de l'empereur Auguste). Par sa mère Antonia, il était le petit fils de Marc-Antoine. Il succède à son cousin l'empereur Caligula, après l'assassinat de ce dernier. Il n'était pas préparé à sa fonction, de plus il était bègue, boiteux et épileptique. Il accorde la citoyenneté romaine aux chefs de la Gaulle. Il crée des colonies (par exemple Cologne). Il laisse gourverner ses

est un écrivain né en 1913 en Algérie et mort accidentellement en 1960. Son nom est associé à la pensée absurde à laquelle il a consacré une trilogie dont un roman, l’Etranger (1942), un essai, Le Mythe de Sisyphe (1942) et une pièce de théâtre, Caligula (1944). L’Etranger est donc le premier volet de la trilogie, est un roman court qui se situe avant la 2nde Guerre Mondiale et qui est centré sur le personnage Meursault. Le chapitre 4 de la deuxième partie du roman L'Etranger, s'ouvre sur l'annonce

dans la trilogie que Camus nommera « cycle de l’absurde » qui décrit les fondements de la philosophie camusienne : l’absurde. Cette trilogie comprend également l’essai philosophique intitulé Le Mythe de Sisyphe ainsi que les deux pièces de théâtre Caligula et Le Malentendu. Le roman a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967. Le roman met en scène un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste

subsistaient de la vieille constitution républicaine. TIBERE sa mort Victime d’hallucinations, se sentant persécuté partout et par tous, Tibère tombe en syncope le 16 mars 37 ap. J.-C. Il s’en remet, pour la plus grande frayeur de son entourage. Caligula aurait alors ordonné de le faire étouffer. D’autres historiens romains parlent d’un assassinat de Tibère par empoisonnement. D’autres encore n’excluent pas la version d’une mort naturelle.

autoritaire. Fait de son fils Néron un portrait sans concession, fondé sur une analyse impitoyable des caractères de sa belle-famille : les Domitius : « Je lis sur son visage / Des fiers Domitius l’humeur triste et sauvage ». Compare son fils à l’empereur Caligula (« Caïus ») qui était fou (« fureur » v.41). Mais c’est peut-être les vers 43-48 qui apportent l’éclairage le plus intéressant sur sa personnalité : Agrippine, qui essayait de convaincre Albine que son fils est en train de tourner à la tyrannie,

la répression et la censure qui frappent certaines pièces de Victor Hugo . Il semble évident que vous vous demandez probablement qui je suis. Je me nomme Jean-Louis Barrault, j'ai déjà réalisé plusieurs centaines de pièces de théâtre telles que: Caligula d'Albert Camus, ou, pour ne donner que d'infimes exemples Le roi se meurt d'Eugène Ionesco.Ces deux pièces me sont d'ailleurs particulièrement chères puisqu'elles reflètent ce qui pour moi est le théâtre de « demain » bien qu'il soit particulièrement

fait de son fils Néron un portrait sans concession, fondé sur une analyse impitoyable des caractères de sa belle-famille : les Domitius : « Je lis sur son visage / Des fiers Domitius l’humeur triste et sauvage ». Elle compare son fils à l’empereur Caligula (« Caïus ») qui était fou (« fureur » v.41). Elle analyse avec lucidité ce qu’elle considère comme une prédestination familiale à la cruauté et à la folie. Mais c’est peut-être les vers 43-48 qui apportent l’éclairage le plus intéressant sur