Camarade

questions ci-dessous et essaye de répondre, au crayon à papier, à celles dont tu penses connaître les réponses. Compare tes réponses avec celles de tes camarades. Visionne ensuite le documentaire intitulé “Vol en impesanteur” et complète le questionnaire au fur et à mesure. Lorsque tu auras terminé, compare ce que tu as noté avec ce qu’ont écrit tes camarades, puis rédige un résumé au dos de cette feuille qui expliquera ce que tu veux retenir à propos de l’impesanteur et pourra définir les mots suivants

est à noter, elle consistait à effectuer un sondage concernant un échantillon de rectangle inscrit sur une feuille tout en interrogeant nos camarades sur la question : « quel est selon vous le rectangle le plus harmonieux ? ». Ce sondage nous a donné des résultats assez étonnants qui confirmèrent les vertus de ce nombre. En effet, la majorité de nos camarades ont choisi le rectangle d’or caractérisé par le rapport entre le grand côté et le petit côté donnant le résultat = 1.618 soit

demande : • l’objet de sa visite • son identité • son média (journal, radio, TV…) ! je rendS compte à mon chef. Je ne dévoile pas d’informations qui pourraient remettre en cause les opérations en cours, ma mission, ma sécurité, celle de mes camarades et de ma famille Un journaliste me demande une interview : S’il n’eSt paS accompagné par une autorité militaire, je l’oriente vers mon chef Si je SuiS autoriSé à répondre : • Je reste à mon niveau de responsabilité • Je parle uniquement de ma

en 1932.Hans Schwarz est un jeune homme de seize ans, il étudie au lycée Karl Alexander en Allemagne. Ce lycée est fréquenté par des familles riches. Hans est juif, c’est un élève moyen sans talent particulier il n’a pas d’ami au collège et ses camarades le taquine. Un jour un nouvel élève arrive a l’école : Conrad Graf von Hohenfels. Hans essaye par tout les moyens de devenir sont ami : se porter volontaire pour les exercices de gymnastique, devenir prestigieux en classe etc. Un jour Hans aperçoit

colonie. C’est alors le début des ennuies car Temple se laisse prendre au jeu de ces camarade à propos de sexe alors qu’elle est ignare à ce sujet là. Elle tombe malade et rentre chez elle. Les années passèrent et Temple rentra aux collèges où tout était déstabilisant pour elle. Mais elle s’y habitue et reste deux ans et demi avant d’être renvoyé à cause d’un de ces excès de colère qui aurait pu rendre une camarade aveugle. Elle atterrit donc dans une école perdue au milieu d’une montagne, l’école

informations nécessaires ». En 1948, Pietro Secchia demande l’application rigoureuse de cet article : « les camarades présentants le nouvel inscrit doivent le connaître depuis un certain temps et doivent eux-mêmes être connus des responsables de la cellule. » et « la connaissance des hommes dans leur activité passée et présente permet de démasquer ces ennemis de classe de les isoler des autres camarades. ». En cas de déménager dans une nouvelle section, le contrôle qualitatif et quantitatif est assuré

l’infirmerie une jeune fille en pleurs accompagnée d’une camarade. Je la fait entrer et s’assoir, pour qu’on l’on discute de ce qui ne va pas, je demande alors à sa camarade d’attendre dans la salle d’attente. La jeune fille R., ne veut pas rester sans sa « meilleur amie » qui connait le problème. L’infirmière scolaire étant au téléphone à l’arrivée de la jeune fille R., je commence l’entretien, je lui demande si elle est bien sur de vouloir que sa camarade reste ce à quoi elle acquiesce. Je tente de la

rencontre de Bréval le caporal, de Sulphart le roquet rouquin, de Broucke le ch’timi, de Bouffioux le gros simplet, de Fouillard le maigre crasseux, sans oublier Jacques Larcher (pseudonyme du narrateur) avec qui il va se lier d’amitié. Ces fiers camarades parlent tous ensemble de Paris, de la Marne, de la Retraite (période héroïque s’il en est) dans une ambiance franche et virile. Ils font tour à tour des blagues, des imitations et rient comme s’ils avaient bu. Puis ils se couchent tous ensemble dans

bout de la nuit (Cliquer) et A l’ouest rien de nouveau. (Cliquer) Erich Maria Remarque est un écrivain allemand ; il s’est inspiré de son histoire personnelle pour écrire son livre publié en 1929. Paul Bäumer, le narrateur s’est engagé avec ses camarades après un bourrage de crâne patriotique de leur professeur. Mais ils découvrent très vite les horreurs de la guerre. Pour Remarque, le traumatisme était d’autant plus grand car il avait 19 ans au moment de la guerre et il n’était pas encore installé

Hohenfels : Egalement âgé de seize ans (p. 13, 18, 28), il est le descendant d’une famille aristocrate protestante allemande (p. 52). Il arrive à Stuttgart en 1932, quelques jours après l’anniversaire de Hans (première page). Il marqua Hans et ses camarades par son élégance. Il est aussi cultivé, et collectionne également d’anciennes pièces de monnaie, ce qui lui donne plusieurs points communs avec Hans, avec lequel il noue une profonde amitié. Mais cette relation déplait à ses parents, partisans de