Caméra cachée

show télévisé « Terror is reality ». Habillé en catcheur, le photoreporter devenu riche et célèbre (mais aussi plus bedonnant) suite à son reportage sur les événements ayant frappé la ville de Willamette, casse des dizaines de zombies devant les caméras de TV, au beau milieu d’un ring encadré de broyeurs mortels. Suplex, coups de tête, projections et hectolitres de sang sont au programme. Une fois ce spectacle de télé réalité terminé, Frank retourne au vestiaire et surprend une conversation compromettante

(la personne réelle qui a écrit le texte) ni avec les personnages (le narrateur n’est pas forcément un personnage du récit). Le point de vue est un choix que fait le narrateur pour raconter son histoire: il choisit un angle de vue, un jeu de “caméras”. Le point de vue est en relation avec ce qu’il sait des faits et des événements Il existe : - deux types de narrateur : le narrateur-personnage et le narrateur extérieur. - trois types de point de vue : externe, interne et omniscient. Le narrateur-personnage:

projeter sur grand écran des images filmées en direct par des caméras situées au point d’émission. La vidéotransmission est plus étendue que la visioconférence. Elle permet de mettre en liaison des groupes de personnes très nombreux (jusqu’à plusieurs centaines de personnes). Une énergie de communication pour le traitement de l’image reçue ; Une caméra de prise de vue panoramique qui donne une vue généra Un local technique (caméra, écran, régie, cadreur, décodeur). 3

plan l'arrivé des hors-la-loi. Ce qui permet de créer une profondeur de champs. Puis commence un montage parallèle qui donne l'impression que la prise de vue est subjective aux enfants et aux cow-boys. Une fois les plan cow-boys/enfants passé, la caméra se concentre sur le combat entre les fourmis et les scorpions. Sam Peckinpah se sert d'un gros plan en plongé pour nous montrer ce carnage. On repasse sur les enfants mais cette fois si ils apparaissent dans le cadre en gros plan, contre-plongé. Jusqu'à

 Analyse filmique – Point de vue Elephant de Gus Van Sant (2003) est une fiction qui revient sur le fait divers de la fusillade qui a eu lieu au lycée Columbine en 1999. La séquence choisie est le moment où Elias prend en photo John au milieu d'un couloir de lycée. Michelle passe au moment où la photo est prise. Cette séquence se répète trois fois dans le film, trois fois avec un point de vue différent. Ici on va suivre le point de vue de Michelle qui commence à 55:48. On la voit

Déceler les éventuelles failles du bâti.  Concernant les failles potentielles du bâti, en plus de l’étude des faiblesses des matériaux utilisés par l’habitation, nous utiliserons deux autres techniques : La thermographie : utilisation d’une camera thermique infrarouge qui décèle les faiblesses thermiques de l'enveloppe du bâtiment L’infiltrométrie : qui contrôle l'étanchéité et la perméabilité à l’air de l’habitat L’audit thermique : C’est l’examen des usages et consommations

important de l’histoire. II. Les mouvements de caméra - La caméra en mouvement joue un rôle technique (suivre le déplacement d’un personnage ou d’un véhicule, par exemple), descriptif (montrer l’étendue d’un paysage...), dramatique (souligner un regard ou un geste, mettre en évidence un objet...). L’utilisation du mouvement de la caméra peut également participer à l’écriture du film en intégrant ou traduisant le style du cinéaste : la caméra constamment portée de Breaking the Waves, de Lars Von

NOTE DE SYNTHESE CONCEPT D’UN BOÎTE A IDEES Certaines entreprises mettent en place une boîte à idées pour bénéficier des idées venant des salariés afin de faire évoluer celle-ci en terme de compétitivité et de résultats. Elle peut être un excellent moyen pour faire remonter les problèmes d’ordre organisationnel ou technique. Il existe deux types possibles de boîte à idées : physique ou virtuel. La première doit être stratégiquement placées à la portée de tous, à côté de la machine à café

secondes entre chaque plan, elle dure environ cinquante secondes et se déroule dans la salle d’une petite boutique du village. Au tout début de l’analyse, on assiste à l’arrivée « des représentants de la nation » dans le commerce. Le mouvement de caméra est fixe et a un angle de prise de vue frontal. C’est un plan américain. Tout au long de la première partie, on entend au loin le tintement des cloches ainsi que les cris du peuple, dans la rue. Dans la salle, on entend également des bruits de pas

arrive l’identification de Keyzer Soze selon le 2e rescapé, un hongrois. Musique voir Power Point Elle accompagne l’image selon rythme des plans. Musique courte pour insister sur le départ, et la fragilité de Verbal King handicapé. Mouvement de camera : Combinaison de zooms lents et progressifs & des travelling qui finissent en plans rapprochés serrés. Cela crée une constante sensation de mouvement dans un espace limité. Son extradiégétique lorsque l’on entend les inspecteurs parlaient alors