Camille Laurin

trait aux aspects nouveaux de la vie moderne • élaborer un nouveau mode de vision et de représentation picturale permettant de mieux rendre compte du mouvement et du changement permanents de leur époque. 2. Quelques artistes impressionnistes Camille Pissarro est le doyen des impressionnistes. A l'Académie Suisse (un prestigieux atelier de peinture parisien créé en 1815, successivement dirigé par David, Gros, Delaroche et, depuis 1844, par le peintre suisse Charles Gleyre, où des modèles étaient

Camille Bryen est né à Nantes en 1907 où, à vingt ans, il publie son premier recueil de poèmes, Opopanax. Il s’installe définitivement à Paris en 1930. Attiré par les surréalistes, il publie en 1932, Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle et réalise en 1936 sa première peinture tachiste. Bryen cosigne le manifeste « dimensionniste » avec Jean Arp, Marcel Duchamp et Francis Picabia. Avec Raoul Ubac, il dépose des « objets dans les endroits

Courbet, ayant vu l’œuvre, le félicite. 1866 Laisse Le Déjeuner sur l'herbe inachevé ; succès au Salon avec Camille appréciée notamment par Zola ; rencontre avec Manet ; habite Sèvres où il entreprend les Femmes au Jardin, puis Honfleur ; difficultés financières. 1867 Habite chez Bazille 20, rue Visconti ; refusé au Salon ; séjour à SainteAdresse ; sa compagne et future épouse Camille Doncieux met au monde leur premier enfant, Jean. 1868 Reçu au Salon avec une toile ; difficultés financières

Georges Jacques Danton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube, est un avocat modeste et inconnu à la veille de la Révolution. Il va faire ses classes révolutionnaires à la tête des assemblées de son quartier et en particulier du club des Cordeliers, dont il devient un orateur réputé. C’est la chute de la monarchie qui en fait un des chefs de la Révolution. Danton se fait nommer au ministère de la Justice. Le 4 octobre 1793, Danton propose de déclarer que la patrie n’est plus en danger et le 9 octobre

fréquenta l’atelier de Charles Gleyre où il se lia d’amitié avec Pierre-Auguste Renoir, Frédéric Bazille, Alfred Sisley, Edouard Manet… Ensemble, ils fondèrent un mouvement artistique qui s'appellera plus tard l’ « impressionnisme ». Sa femme Camille Doncieux lui servit de modèle notamment pour  « La dame à la robe verte »  et surtout « Femmes au jardin ». Il aménagea dans une grande maison et un vaste jardin floral à Giverny. Il créa ensuite le jardin d'eau avec son étang aux nymphéas, qui

premières années de sa vie à Lima au Pérou où son père est mort. Après avoir fait ses études à Orléans, Gauguin s'embarque dans la marine marchande puis dans la marine française et navigue sur les mers du monde durant six ans. Il rencontre en 1874 Camille Pissarro et les impressionnistes. Un an plus tard, il expose au Salon avec les impressionnistes.. Il rencontre Van Gogh en 1888 à Paris. Sous l'influence du peintre Émile Bernard, son style évolue, il devient plus naturel et plus synthétique. Il cherche

prétexte qu'il représente une femme nue dans un contexte contemporain met le feu aux poudres. Manet rejoint le groupe des impressionnistes, composé notamment de Claude Monet, Pierre Auguste Renoir, Alfred Sisley et Frédéric Bazille,puis rejoints par Camille Pissarro, Paul Cézanne et Armand Guillaumin. Ce groupe exige que leurs œuvres puissent être présentées au public. L'empereur Napoléon III décrète la tenue d'un Salon des Refusés regroupant les œuvres qui n'avaient pas été retenu pour être présentées

Jardin -1867, Batteaux quittant le port, le Havre -1874-, La promenade -1875-) Pierre Auguste Renoir (Bal au moulin de la Glette -1876, Le Pont-Neuf -1872-, La serre -1864-, Nature morte au bouquet, -1871-, La Baigneuse au griffon -1870- ) Camille Pissarro (Paysage aux Pâtis -1867-, L'Hermitage à Pontoise -1867-, La Côte des Bœufs -1877-, Inondation à Pontoise -1882-, Le Marché de Pontoise -1886-) Paul Cézanne (Nature morte à la bouilloire -1869-, Marronniers et ferme du Jas de Bouffon

Camille Claudel est née à Fère-en-Tardenois (Aisne) le 8 décembre 1864, de Louis-Prosper Claudel, conservateur des hypothèques, et de Louise-Athanaïse Cerveaux, fille du médecin et nièce du prêtre du village. Après la disparition de Charles-Henri (né en août 1863)[1], le premier fils du couple, mort à seize jours, Camille devient l'ainée d'une famille qui comptera deux autres naissances. Par la suite, le couple s'installe à Villeneuve-sur-Fère, petit village à quelques kilomètres de Fère-en-Tardenois

deux sœurs Charlotte Robespierre et Henriette Robespierre. Sa famille paternelle était de bourgeoisie, ses grands-parents maternels étaient simples brasseurs à Arras. Il fit de brillantes études au collège Louis le Grand où il eut pour condisciples Camille Desmoulins et Louis-Marie Stanislas Fréron, il exerça d’abord la fonction d’avocat au barreau d'Arras, comme son père et son grand-père. Imprégné des idées des philosophes du XVIIIe siècle, notamment de Rousseau, il participa à la vie politique dans