Camp de Drancy

La Rosa Mallet 3eme4 Stella Dossier Primo Levi Mme VILLANI Année 2021/2022Sommaire 1)Biographie 2)Analyse de la première de couverture/horizon d’attente/analyse du titre 3)Analyse du poème liminaire:photocopie

Des documents authentiques de Dora Bruder et sa famille 3.1 Qui est Dora Bruder ? Dans Dora Bruder, l’auteur essaie de tirer de l’oubli la vie d’une jeune fille juive Dora qui a trouvé la mort dans un camp de concentration pendant la deuxième guerre mondiale. Pourquoi Modiano a-t-il choisit cette fille parmi tant d’autres ? Modiano a été frappé par un simple avis de recherche dans un vieux journal, Paris-Soir, qui datait du 31 décembre 1941. Dans l’avis

nettement ds le film d'Alain Resnais . De ce fait, on peut considérer que ce film devient lui-même un objet d'H puisqu'il est fils de son temps . A cette époque, le symbole du système concentrationnaire nazi est Buchenwald – camp de concentration où polq - et non Auschwitz- camp d’extermination. * Ctxt amnisties+dbt GF réactive l’anticommunisme, dc mémoire vichyste.(double jeu du régime d Vichy)Dénoncia° excès de l’épura°. Pq ce syndrome de Vichy? 1.3. La glorifica° de la Fr résistante :

1942 ; Au rendez-vous allemand, 1944), de René Char (Feuillets d’Hypnos, 1946) ou de René Guy Cadou (Pleine Poitrine, 1946). Les poètes ne seront d’ailleurs pas épargnés par l’extermination nazie : Robert Desnos mourra dans un camp allemand et Max Jacob dans le camp de Drancy. Plus récemment, des chanteurs comme Léo Ferré ou Jean Ferrat, dans la lignée des poètes surréalistes, ont chanté leur engagement. La poésie d'avant-garde Une autre forme d'engagement se fait jour au XXe siècle, une poésie contestataire

absence dans les prisons pour les détenus politiques. A cet égard en 1997, le périodique Impact Médecin Hebdo a souligné les limites de la neutralité de l’organisation humanitaire, qui a été soupçonnée d’indifférence vis à vis du sort des internés de Drancy. Et d’ailleurs Bernard Kouchner alors secrétaire d’Etat à la santé a insisté sur le fait que ni la « Croix Rouge internationale ni la croix Rouge française ne se sont comportées comme des humanitaires auraient dû le faire. Mais c’est surtout concernant

et vérité, 1942 – Au rendez-vous allemand, 1944), de René Char (Feuillets d'Hypnos, 1946) ou de René-Guy Cadou (Pleine Poitrine, 1946). Les poètes ne seront pas épargnés par l'extermination nazie : Robert Desnos mourra dans un camp allemand et Max Jacob dans le camp de Drancy. Cependant, des individualités produiront des œuvres qui feront apparaître des approches différentes avec l'onirisme touche à tout de Jean Cocteau (Plain-Chant, 1923), les recherches d'expressivité d'Henri Michaux (Ailleurs,

désarticulés de ses toiles semblent symboliser son existence désormais recluse. 6. L’internement à Saint-Cyprien : Arrêté le 10 mai 1940 à Bruxelles, Felix Nussbaum est envoyé au camp de Saint-Cyprien en France. Ayant demandé son rapatriement en Allemagne, il profite du transfert pour s’échapper et retourner à Bruxelles. Son expérience au camp français de Saint-Cyprien le marque si profondément qu’elle imprègne désormais toute son œuvre. 7. Le triomphe de la mort : Felix Nussbaum peint ses dernières œuvres alors

les seuls à avoir mis au point un véritable système d’extermination. 4 III. Le crime contre l’humanité Document 4 : Témoignage de Marie-Claude Vaillant-Couturier au procès de Nuremberg (source : www.fndirp.asso.fr) Déportée dans le camp d’Auschwitz en janvier 1943 avec 230 autres Françaises – dont seulement 43 sont revenues – Marie-Claude Vaillant-Couturier témoigne au procès de Nuremberg le 28 janvier 1946. Elle est ici interrogée par le procureur général adjoint. M. Dubost

dégueulasse qui sort… » (p. 84). JEAN-CLAUDE GRUMBERG ET L’ATELIER Jean-Claude Grumberg n’a pas été déporté, il n’a pas connu directement l’horreur des camps. Comme il le rappelle dans la dédicace initiale, c’est son père, tailleur, qui est mort en camp de concentration (« nous n’attendions plus, ayant appris peu à peu le sens du mot “déporté” »). Comme beaucoup d’orphelins de la déportation, il éprouve le besoin de témoigner (voir dossier, p. 147). Serge Klarsfeld décrit ce sentiment dans le discours

dégueulasse qui sort… » (p. 84). JEAN-CLAUDE GRUMBERG ET L’ATELIER Jean-Claude Grumberg n’a pas été déporté, il n’a pas connu directement l’horreur des camps. Comme il le rappelle dans la dédicace initiale, c’est son père, tailleur, qui est mort en camp de concentration (« nous n’attendions plus, ayant appris peu à peu le sens du mot “déporté” »). Comme beaucoup d’orphelins de la déportation, il éprouve le besoin de témoigner (voir dossier, p. 147). Serge Klarsfeld décrit ce sentiment dans le discours