Candide Allégorie

Quelle est l’originalité du plus long opéra de Stravinsky, The Rake’s Progress ? En 1964, le compositeur lui-même défend son œuvre dans un article intitulé : « Je ne demande qu’un peu de justice », publié dans un numéro de L’Avant-scène Opéra en 1992. C’est dire que des polémiques se firent jour autour de celle-ci. Benoît van Langenhove en fait état dans les « Repères sur l’opéra » qu’il propose en ligne sur le site lamediatheque.be. Le numéro de L’Avant-scène déjà mentionné donne aussi une analyse

dès 1840 dans La Presse avant d’être inséré dans España en 1845, en témoigne : Théophile Gautier y représente et y manifeste l’ambition poétique dans un monde désolé. En effet, l’émouvante personnification du pin se présente finalement comme une allégorie de la fonction du poète. LE PIN DES LANDES On ne voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car

I. L’art du récit - La fable est dynamique (que des actions) et théâtrale car elle met en scène deux animaux (symbolique, allégorique) - Vers hétérométrique : les vers de mètres différents (alexandrin, décasyllabe, octosyllabe) entraînent une diversité. - Variété ; souplesse, plaisir > rimes croisées, plates, embrassées (cf. fiche sur les rimes). Cela fait plus « naturel » et « vivant » - Temps : utilisation du présent de narration, qui rend le récit plus vivant, et de l’imparfait pour les actions

les gants, les meubles en arrière plan sont autant de signes de richesse et de modernité qui traduisent l'évolution du goût. Une envie de se différencier. Il cherche ainsi à donner à tous ces genres leurs lettres de noblesse. Par les mots « allégorie réelle », le peintre prévient son public que chacun des personnages représente une idée en même temps qu'un être de chair Le nu peut être perçu comme une représentation allégorique de la peinture qu'il admire et qui inspire l’art de Courbet. Courbet

l’âme du poète un silence macabre « sans tambour, ni musique » (v.17), « de longs corbillards » (v.16). Ces corbillards sont une métaphore pour représenter la mort de l’espoir qui a été vaincu par l’angoisse. En outre, nous pouvons observer là deux allégories : celle de l’espoir écrasé qui pleure représenté comme un perdant face à l’angoisse monstrueuse et dominatrice qui a tout gagné « atroce, despotique » (v.19). D’ailleurs l’angoisse comme l’espoir s’écrivent avec un lettre majuscule « Espoir » (v

au vers suivant) du vers 6, le multiplication des coupes(virgule,pause) (v.13-14) montrent que la conversation s’enveniment . *Le troisième temps est marque par le retour à la narration et à l’alexandrin régulièrement cadencé. Perrin Dandin, allégorie de la Justice, semble communiquer son autorité paisible à tout ce mouvement (excepté le passage à l’octosyllabe –v.18- écartant les 2 gourmands et le verdict rapporté en style direct avec 2 brèves formules « Tenez » et « Sans dépens »). Ce mouvement

insecte qui aspire le sang, donc la vie. Cette idée de monstre inquiétant est déjà présente au vers 7 avec « dévore ». L’horloge est pour Baudelaire un monstre qui nous dévore, nous aspire peu à peu. Cf Cronos dans la mythologie grecque. Les allégories du temps (« Maintenant », « Autrefois », « le Temps ») et celles de la Vertu, du Hasard, et du Repentir, mettent en scène des éléments abstraits qui se liguent tous ensemble contre l’être humain . L’ensemble du poème est donc une prosopopée :

La tempête Auteur : Shakespeare Date de composition : 1611 Classique : unité de lieu= l’ile, unité de temps = à peine plus longue que la durée de la représentation, unité d’action= pas d’intrigues secondaires. Personnages principaux : * Alonso, roi de Naples * Prospéro, roi légitime de Milan. Il a été exilé par son frère avec sa fille Miranda sur une ile déserte. Il possède des pouvoirs magiques et contrôle notamment Ariel, esprit de l’air. * Ferdinand, fils du roi de Naples

deviennent plus obscurs, ce qui reflète très bien l’évasion de l’auteur. Tout comme Nelligan, Baudelaire laisse place à l’évasion de son esprit. Effectivement, aux lignes 14-15 de la page 8 du cahier de notes on peut voir que Baudelaire utilise aussi des allégories pour exprimer l’envol de sa pensée. « Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides vas te purifier dans l’air supérieur » Dans cette citation l’auteur exprime la liberté de son esprit après la mort. Après avoir quitté la dépouille, l’esprit s’envole

sonnez ». Le poème se termine par « nous » qui exprime la fraternité à venir. Multiplicité de la tournure exclamative. Ces exclamations peuvent être de slogans politiques, des cris d’enthousiasme (« liberté », « paternité de Dieu »). Il y a trois allégories : fraternité, paternité et liberté. Exclamation d’admiration (« Ô sourire d’en haut ! Ô du ciel pour la terre/Majestueux amour ! »). L’enthousiasme se marque par une prosodie fantaisiste : alternance d’hexasyllabes et d’alexandrin régulière. Rimes