Candide Allégorie

glissement (l) et (s) dans a strophe 1 au malaise (z) dans la strophe 2; les rimes en -eu et -ai donnent aussi une impression désagréable. accumulation de sonorités en -gu et -c, v9 et 10. III. un récit allégorique: la condition du poète 1) une allégorie préparée: -  cʼest la dernière strophe qui donne la «clef» de lecture, et nous incite à relire le poème de façon symbolique: v13. -  on sʼaperçoit alors que la description reste très vague dans les 3 strophes précédentes: les marins ne sont pas décrits

souvent représentés par des animaux qui définissent leurs traits caractériels et sociaux. Dans le texte du corpus « l’huitre et les plaideurs » Les personnages sont associés à leur fonction de pèlerins. Néanmoins dans les textes de Voltaire tels que Candide et Zadig, les personnages ont un nom et une histoire, ils sont caractérisés par leurs particularités morales ; Zadig est juste, µCandide est naïf. La caractérisation des personnages leurs donne un aspect comique. Les personnages sont généralement

Tropismes Ce texte est de Nathalie Sarraute et vient du recueil Tropismes, écrit de 1939 à 1957. Ce sont de brèves argumentations expliquant les réactions primaires de la pensée arrivant avant la conscience. Dans ce texte, Nathalie Sarraute critique la société de consommation. C'est-à-dire les commerçants et les consommateurs. Dans un premier temps, je mettrais en évidence le lien entre ce texte et le genre de l’apologue. Puis j’étudierais ces procédés satiriques. L’apologue est un récit bref

surtout Tarrou, qui pense que on peut trouver le bonheur grâce à la peste. III-Un récit allégorique a) L'échappatoire -ville fermée à cause de la peste → occupation de Paris par les allemands, les deux personnages sortent de la ville, allégorie: zone libre, quitter la ville occupée, «laisser-passer» b) L'homme face au malheur -Réflexion sur la réaction de certains hommes face au malheur, au danger: se battent mais cherchent le repos à un moment, pour avoir une raison de se

Le Lion et le Moucheron Jean de la Fontaine (1621-1695), poète classique, est à l’origine des célèbres fables que nous connaissons tous mais il se révèle également être conteur. Il développe un art de plaire grâce à une imitation des anciens. Il utilise également un art de persuader en mettant en scène un merveilleux allégorique souvent représenté par des animaux. Les Fables de La Fontaine sont un recueil de douze livres de fables assemblées dans un ordre précis chargé de sens. Dans le livre

et les traînées verticales de la pluie symbolisant les barreaux d'une prison, au 2ème paragraphe avec tout de même un renforcement grâce au mot " barreaux ". les sons longs en " en " et " on " éternisent l'angoisse L'oxymore " jour noir " Les allégories comme " Espérance, Espoir, Esprit ",Cela exprime donc ici la misère morale, l'angoisse L'anaphore, avec le mot "quand" répété 3 fois les enjambements continuels, tout cela donne l'impression d'un mouvement lent et enchaîné inexorablement.

valeurs sur le monument des frères Morice : la fraternité, l’abondance, l’égalité, la paix, les droits de l’Homme (tablette), la solidité (le chêne), la liberté , le peuple (le lion), le suffrage universel (l’urne) ... On y voit plus précisément les allégories, sous forme de statues, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité Dalou évoque plus simplement la justice, l’éducation, le travail même si le peuple et le suffrage universel sont également présents. Les évocations de la liberté, du travail

Introduction Rimbaud rejoint, en septembre 1871, Verlaine à Paris avec ce long poème, le "Bateau ivre", qu'il va réciter au cénacle parnassien. Le poème est écrit à la première personne, le pronom personnel "je" désignant tant le bateau que Rimbaud. Le voyage est une longue métaphore de l'entreprise rimbaldienne en 25 quatrains d'alexandrins à rimes croisées. " Le Bateau ivre" est à la fois l'odyssée d'un bateau et d'un poète adolescent à la dérive. On y trouve des superpositions entre une situation

souffre des bruits désagréables : « gémissant », « affreux hurlement », « geindre ». Ils évoquent la douleur, et font mal de tête « se cognant la tête ». Il y a aussi nombreuses implications de l'angoisse ; cela fait avec les images, comparaisons, et allégories qui décrient cette atmosphère. Dans les 3 dernières strophes, on la vois avec la notion de claustrophobie grâce à l'image de la « chauve-souris qui se cognée à des plafonds pourris ». Aussi au vers 15, par exemple, on voit les « esprits errants » ;

apparaissent dans une sorte de trou noir. Cette personne demande surement de l’aide mais sans succès. Ce char est tiré par des chevaux qui foncent en direction d’un grand soldat, allégorie de la Paix il est nu, debout, droit, dégageant confiance et stabilité. Il est armé d'une lance, à laquelle est accrochée une balance, symbole de justice. Son bouclier est orné d'une colombe, l'emblème de la Paix. D’autres