Candide Critique De La Monarchie

scientifiques et d’une biologie qui changea la place de l’homme sur Terre. Ainsi, en 1756, dans l’incipit d’Histoires des voyages de Scarmentado, écrite par lui-même, conte philosophique (genre alors très en vogue) de Voltaire, publié 3 ans avant Candide, l’auteur établit une parodie des récits de voyages. Cet extrait nous présente la naissance du narrateur, son éducation à Rome et deux étapes de son voyage en France et en Angleterre. En quoi cet incipit, qui relève du roman de formation, est-il

intellectuelle et philosophique. Alors que tous les esprits devaient être éclairés par les Lumières, on découvre que dans ce siècle toute l’obscurité n’était pas dévoilée. Effectivement, de nombreux courants minoritaires furent mit en place pour critiquer la raison et parler de plusieurs phénomènes en marge. C’est aussi dans cette période que le Fantastique prend ses racines, accompagné des romans gothiques et des romans noirs qui sont, à l’époque, inquiétants. En quoi les lumières ont-elles influencées

Candide de Voltaire (1759) En 1773, Voltaire écrit à D’Alembert : « si j’ai encore quelque temps à vivre, je le passerai à cultiver mon jardin comme Candide. J’ai assez vécu comme lui ». Genre : conte philosophique. Première édition : en 1759. Personnages principaux : Dans Candide, les personnages sont souvent ramenés à une seule caractéristique ou à une pensée, une idéologie. Leur psychologie n’est donc guère développée par le narrateur. Cette caractéristique renvoie au genre du conte, qui

« L’esprit des lois » , l’éloge de la monarchie contitutionnelle anglaise par Voltaire (Lettres philosophiques), invention du concept de «  souveraineté » par Rousseau (Du control social). L’adhesion aux idées des lumières jusque dans les cercles du pouvoir, la réunion des Etats généraux à un moment va la famine guette les pays : ces 3 facteurs expliquent en partie 1789. Si dans un premier temps, Louis XVI reste sur le trône in ne sait pas négocier le tournant d’une monarchie constitutionnelle : la république

assure la régence (1715-1723) jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Louis XV(1723-1774).A l’absolutisme rigoureux de Louis XIV succède une période de liberté et de renouveau. • Les mutations économiques et sociales L’Angleterre offre u modèle de monarchie parlementaire et de développement agricole, industriel et commercial. La prospérité économique de l’Europe se fonde sur la colonisation (Amérique, Afrique , Extrême-Orient) . L’apport scientifique français est très net dans de nombreux domaines :

écriture épistolaire Une lettre fictive Un énoncé ancré dans la situation d’énonciation Une rhétorique de l’étonnement II. Une satire de la vie parisienne Les embarras de Paris La ségrégation sociale La vanité des comportements III. Une critique du pouvoir Des allusions ironiques Le roi, habile manipulateur Une préscience de la révolution (?) Explications détaillées : I. Une écriture épistolaire. on « voit » une lettre, écrite par un certain Rica Expéditeur (Rica) à destinataire

esprit expérimental (l’expérience) -Rationalisme (rappel) du 18ème se fonder sur la raison et la logique -Les critiques antireligieuses (le rejet de l’obscurantisme, préjugés…) -Les critiques antimonarchiques (contre le despotisme), -Le despotisme éclairé : règne d’un roi dans une monarchie constitutionnelle - siècle des genres polémiques (pamphlet, libelles=écrits critiques très violents) et didactiques (faire parvenir des connaissances d’une manière claire). Qlqs écrivains du siècle et

utiliseront-ils. Le "mythe du bon sauvage" est un sujet récurrent chez des auteurs comme Rousseau ou Diderot. En effet, les philosophes du 18ème siècle utilisent ce thème afin de critiquer les récits de voyage, qui se multiplient avec les nombreux voyages autour du monde. Dans Le supplément au voyage de Bougainville paru en 1796, Diderot critique l'image pure et simple des sauvages diffusées par ces récits : des hommes généreux, libres de toute contrainte sociale ou politique, non corrompus par les sciences et

(1789 et ses suites) => 1715 – 1789. Le XVIII° est l’héritier d’un XVII° qu’il critique et combat peu à peu (monarchie absolue de droit divin, privilèges, inégalités, censure etc.), en même temps qu’il sait lui rester fidèle (fidélité à la monarchie : mais constitutionnelle et libérale, le « Philosophe » réalise la synthèse du « Libertin » et de l’ « Honnête Homme » tels qu’ils ont pu apparaître au XVII°, esprit critique héritier du « doute méthodique » de Descartes etc.). Il annonce toutefois, dans

par le refus d'une tradition figée dans ses préjugés et par la primauté accordée à la raison et à l'idée de progrès. 1. Quelle est la situation politique et sociale en France au xviiie siècle ? Au xviiie siècle, la France vit encore sous une monarchie absolue de droit divin. Après les famines du début du siècle, une certaine prospérité économique s'installe, qui profite à la bourgeoisie. Mais celle-ci, bien que riche, ne jouit d'aucun pouvoir politique, d'aucun privilège et subit l'autorité de